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- Pour Ceux qui pensent avoir tout fait… L'Aranui Vous emmène là où peu sont allés
Aranui : 40 Ans d’Aventure Humaine et Maritime vers les Marquises – Cap sur les Australes en 2027 avec l’Aranoa En 2024 , les Croisières Aranui ont célébrés leur 40e anniversaire . Pour marquer cette étape importante, la compagnie a créée une vidéo-documentaire inédite retraçant l’histoire de cette aventure humaine et maritime hors du commun. On y découvre le lien unique tissé avec les îles Marquises, un archipel aussi spectaculaire qu’authentique, accessible grâce à un concept inédit : celui de la croisière-cargo . Un Navire légendaire à taille humaine L’ Aranui 5 , en service depuis 2015, est un cargo mixte conçu sur mesure pour transporter à la fois des marchandises essentielles et jusqu’à 230 passagers dans des conditions de confort remarquables. Il dessert régulièrement les Marquises depuis Tahiti , apportant ravitaillement et contacts humains aux communautés isolées tout en ouvrant les portes de leur monde aux voyageurs curieux. Cette croisière pas comme les autres attire un public international, dont une clientèle belge : environ 150 Belges embarquent chaque année pour cette traversée hors du commun. Une fidélité qui s’explique par la rareté, l’authenticité et l’émotion du voyage. Un succès qui se confirme d’année en année L’engouement pour l’Aranui ne faiblit pas. De nombreuses cabines sont déjà complètes pour 2025 , et certaines catégories affichent même complet pour 2026 ! Cela témoigne de l’attractivité exceptionnelle du produit : un voyage d’exception , très loin des standards de croisière classiques, où l’humain et la découverte priment. Une Expérience Polynésienne Authentique À bord, l’ambiance est chaleureuse, familiale, polynésienne avant tout. L’ équipage, 100 % local , partage avec fierté sa culture, ses traditions et ses histoires. Ces hommes et femmes sont bien plus que des marins : ce sont des ambassadeurs culturels , et souvent de vrais compagnons de voyage. Les animations à bord , les excursions à terre , les rencontres avec les Marquisiens , les dîners à thème , la musique du groupe Aranui Band , les danses Tamure et la gastronomie locale complètent un tableau où la Polynésie est vécue de l’intérieur, avec intensité et sincérité. L’Aranoa : Nouveau Chapitre vers les Australes en 2027 Fort de ce succès, la compagnie franchira un nouveau cap en 2027 avec l’arrivée de l’ Aranoa , un navire mixte moderne dédié aux îles Australes : Rurutu, Tubuai, Raivavae, Rapa… Loin des circuits touristiques, ces îles préservent des traditions rares et une nature encore plus sauvage. L’Aranoa prolongera l’esprit Aranui : logistique vitale, tourisme responsable, immersion culturelle.(198 passagers pour 93 cabines dont 62 avec balcons. ) Conclusion : un Voyage Unique, à réserver très tôt Avec ses 40 ans d’histoire , l’Aranui est bien plus qu’un navire : c’est un trait d’union entre les peuples , une aventure humaine à ne pas manquer. Si vous souhaitez découvrir les Marquises en 2025 ou 2026, n’attendez pas : les cabines partent vite, et les places sont limitées par la capacité volontairement restreinte du navire . Alors, pour ceux qui pensent avoir déjà tout vu… Il reste encore les Marquises. Merci à Vaima Devimeux Représentante Europe Aranui Cruises ETIENNE
- La croisière de luxe n’est plus un simple segment : elle devient un besoin pour de nombreux clients. Explora Journeys l'a bien compris.
Le lundi 14 juillet 2025, Explora Journeys a franchi une étape majeure de son développement avec une triple cérémonie maritime organisée sur la splendide côte ligure, à Sestri, en Italie. Ce moment historique a marqué trois jalons clés dans l’expansion de sa flotte : la mise à flot de l’EXPLORA III , la découpe de la première tôle de l’EXPLORA V , et la cérémonie de la pièce de monnaie de l’EXPLORA IV . Ces événements illustrent la croissance continue de la marque et réaffirment son attachement aux traditions maritimes, tout en réinventant l’expérience du voyage en mer. Explora Journeys ne propose pas simplement des croisières : elle incarne une nouvelle ère du voyage océanique, fondée sur le bien-être , la beauté , et une connexion profonde avec la mer . La demande pour des expériences de croisière haut de gamme ne cesse d’augmenter. Ce qui était autrefois perçu comme un segment de niche devient aujourd’hui une véritable nécessité pour une clientèle à la recherche de sens, de sérénité et d’exclusivité. Les navires de la flotte Explora — pensés comme de véritables yachts privés — répondent parfaitement à cette aspiration croissante. Chaque voyage est conçu pour emmener les hôtes vers les destinations les plus inspirantes du globe, tout en les invitant à adopter un état d’esprit unique : l’ Ocean State of Mind . Les nouveaux navires EXPLORA III, IV et V , actuellement en construction au chantier naval Fincantieri de Gênes, symbolisent cet engagement envers l’innovation et la durabilité. Ils seront propulsés au GNL (gaz naturel liquéfié) , l’un des carburants les plus propres du secteur maritime. Par ailleurs, un ambitieux projet de recherche est en cours pour permettre à l’ EXPLORA V et à l’ EXPLORA VI de disposer d’une capacité de carburant avancée, capable de convertir le GNL renouvelable en hydrogène , réduisant ainsi significativement les émissions polluantes. À travers ces avancées, Explora Journeys confirme que la croisière de luxe ne se contente plus d’être une option. Elle répond aujourd’hui à un besoin profond de voyage conscient, élégant et responsable , pour une nouvelle génération d’explorateurs en quête d’authenticité et d’émotion. ETIENNE
- Tomorrowland continue de vibrer, tout comme les party flights
Nous sommes unis aux côtés des organisateurs, des équipes et des People of Tomorrow, confiants dans leur résilience à préserver l’esprit du festival et à offrir, une fois encore, une expérience véritablement magique. - Brussels Airlines Bruxelles, le 18 juillet 2025 - Le monde entier se retrouve en Belgique cet été, alors que Brussels Airlines et Tomorrowland s'unissent une nouvelle fois pour offrir un début magique à des milliers de People of Tomorrow. Même si un incendie a endommagé la scène principale du festival, celui-ci continue, tout comme les légendaires vols festifs. Plus de 25 000 voyageurs du programme Global Journey, venus de 165 pays, feront de la Belgique le cœur battant de l’unité mondiale et de la musique. De plus, Tomorrowland propose des itinéraires Global Journey en train, en bus et même à vélo pour permettre aux festivaliers de se rendre à Tomorrowland. Mercredi 16 juillet, le premier party flight de l'année, le SN1687 en provenance d'Ibiza, a atterri à Brussels Airport avec à bord 180 festivaliers, accompagnés d’un set de la DJ belge Nina Black. Ce n'est que l'un des sept vols festifs exclusifs au départ de villes telles que Barcelone, Copenhague et Vienne, offrant à plus de 1 000 passagers une expérience unique au monde. En complément de ces vols, dix Gate Parties sont organisées dans des aéroports à travers l'Europe, pour faire vibrer l'esprit Tomorrowland dès l'arrivée des passagers. Amare : l'icône volante de l'unité Brussels Airlines et Tomorrowland travaillent ensemble depuis 2012 et ont récemment renouvelé leur collaboration jusqu'en 2028. Ce partenariat repose sur des valeurs communes : connecter les cultures, explorer le monde et promouvoir l'unité. Lancé en avril 2024, Amare est un Airbus A320neo spécialement conçu et co-créé par Brussels Airlines et Tomorrowland. Le design vibrant de l'avion reflète l'énergie du festival, avec des mouvements dynamiques, des lignes d’énergie magique et des éléments empruntés à l'univers de Tomorrowland, où Amare joue un rôle clé dans les histoires et sur scène. Dans le cadre de leurs efforts continus pour un transport plus durable, Brussels Airlines et Tomorrowland proposent uniquement des tarifs verts pour les forfaits Global Journey, permettant aux voyageurs d'acheter du carburant aviation durable, de compenser leurs émissions de CO₂ liées à leur vol et de soutenir une aviation plus respectueuse de l'environnement. « Cette année, près de 50 000 personnes se rendront à Tomorrowland avec un Global Journey, un record ! Nous accueillons plus de 25 000 personnes en avion, mais pour les distances plus courtes, nous proposons également des trajets en train, en bus et même à vélo. Nous organisons des DJ sets en direct dans les trains au départ de Düsseldorf et d'Amsterdam, et nous encourageons fortement le covoiturage afin de réduire notre empreinte environnementale, tout en préservant l'esprit d'unité et de convivialité qui règne lors de chaque voyage. » - Debby Wilmsen , porte-parole, Tomorrowland Enregistrement à DreamVille et trajets Amare Vous rentrez chez vous ? Les festivaliers peuvent enregistrer leurs bagages directement au point de dépôt bagages Brussels Airlines sur le site du camping DreamVille. Un service d'assistance de la compagnie aérienne est également disponible sur place pour répondre aux questions. Et bien sûr, tous les festivaliers sont invités à monter à bord de la grande roue The Home of Amare , qui offre une vue panoramique imprenable sur le site magique de Tomorrowland à Boom. Global Journey : la plus grande opération de transport jamais organisée pour un festival Global Journey de Tomorrowland est le programme de voyage le plus complet au monde pour un festival, combinant vols, trains, bus et hébergement pour une expérience fluide. Cette année, près de 50 000 People of Tomorrow voyagent grâce aux forfaits Global Journey. 25 300 passagers voyagent avec Brussels Airlines Près de 10 000 personnes voyagent en bus Plus de 9 000 optent pour des forfaits en train 466 choisissent les voyages Discover Europe 18 personnes participent au forfait cycliste Ridley 40 hôtels Global Journey à Bruxelles10 hôtels Global Journey à Anvers Chaque forfait Global Journey comprend l'accès complet au festival Full Madness et le transport aller-retour vers le site, avec des options allant du camping DreamVille à des hôtels à thème et des auberges à travers la Belgique. Une nouvelle expérience Global Journey axée sur les jeunes rassemble les festivaliers de moins de 26 ans pour quatre jours de découverte à travers la Belgique, avec notamment les « Gentse Feesten » et des rencontres de groupe pendant le festival. L'aéroport de Bruxelles accueille les People of Tomorrow En juillet, l'esprit Tomorrowland s'empare aussi de Brussels Airport : Une cabine DJ avec des sets live les 21 et 28 juillet Des performances live pour accueillir les visiteurs les 16, 17, 23 et 24 juillet Le tout premier pop-up store Tomorrowland dans le Pier A Pendant ce temps, dans la ville de Bruxelles, les visiteurs pourront profiter d'une programmation spéciale comprenant : Invités à la Gare Maritime (les jeudis) Le Jardin des Éléments (les lundis) Des concerts exclusifs Symphony of Unity et bien plus encore.
- Une rencontre inédite entre deux étoiles Michelin
C’est à l’occasion de son 60e anniversaire que Jean-Michel Dienst, chef étoilé du restaurant Les Pieds dans le Plat à Marenne, a convié un invité tout particulier : Curtis Maquet, jeune chef prodige récemment étoilé avec Le Beau Rivage à Dave. Cette rencontre, placée sous le signe de la convivialité et de la passion, a réuni deux générations de chefs unis par une même exigence et une vision partagée d’une gastronomie sincère et inventive. Jean-Michel, figure authentique et joviale de la scène culinaire belge, a su faire rayonner son établissement depuis plus de dix ans avec une étoile Michelin bien méritée. Curtis, 24 ans, impressionne par son calme et une maturité rare, déjà saluée par une première étoile obtenue en ce début d’année 2025. La rencontre fut unique, harmonieuse, empreinte de respect mutuel. Deux étoiles, deux sensibilités, mais un même amour du goût, de la création et du partage. Une célébration pleine de saveurs et d'émotions. Nous vous recommandons vivement une visite chez ces deux chefs d'exception. Tous deux offrent une expérience culinaire mémorable, avec un rapport qualité/prix hors du commun. ETIENNE
- Les États-Unis en perte de charme : les touristes belges vont-ils tourner le dos au rêve américain ?
Alors que le dollar faiblit et que voyager aux États-Unis devient moins coûteux, un paradoxe s’installe : les Belges hésitent de plus en plus à traverser l’Atlantique. En cause ? Un climat politique peu accueillant, une promotion touristique en chute libre, et une série de décisions qui donnent aux visiteurs le sentiment d’être indésirables. Le rêve américain à prix cassé… mais sans séduction En principe, la baisse du dollar face à l’euro devrait booster le tourisme américain : les hôtels, restaurants, et locations sont bien plus abordables pour les Européens.Mais dans les faits, les demandes restent molles . Pourquoi ? Parce que les États-Unis ne font plus rêver . Ils inquiètent, ils agacent, et ils ne communiquent plus. Et cela ne va pas s’arranger. Brand USA étranglé : -80 % de budget d’ici 2026 C’est un séisme discret, mais aux conséquences potentiellement désastreuses : Les subsides fédéraux de Brand USA passeront de 100 millions de dollars à seulement 20 millions en 2026 et 2027 .Une chute de 80 % qui compromet directement la promotion touristique du pays à l’étranger . Sans budget, plus de campagnes télé en Europe, plus de présence forte sur les salons, plus de storytelling attractif.C’est une opportunité manquée , au pire moment : les concurrents (Canada, Japon, Mexique) accélèrent pendant que les USA freinent. Quel impact sur IPW 2026 à Fort Lauderdale ? IPW , c’est le plus grand salon du tourisme réceptif des États-Unis , réunissant chaque année des milliers d’acheteurs, journalistes et destinations. En 2026, il se tiendra à Fort Lauderdale , en Floride. Mais avec un Brand USA privé de 80 % de son budget, l’édition 2026 risque de manquer d’ambition, de visibilité et de participants internationaux . Risques concrets : Moins de délégations européennes (dont belges), faute d’invitations ou de soutien financier. Réduction du programme média, pourtant essentiel pour stimuler les réservations. Image affaiblie des États-Unis comme acteur leader du tourisme mondial. Diminution des retombées économiques locales pour Fort Lauderdale. Un salon amputé de sa dimension internationale, c’est un signal catastrophique pour l’industrie. Un dollar faible… mais des barrières hautes Même si l’euro permet aujourd’hui de "gagner" 10 à 15 % de pouvoir d’achat , ce gain est annulé par : La hausse du prix de l’ ESTA . L’augmentation des frais d’entrée dans les parcs nationaux pour les non-Américains. Des formalités douanières toujours stressantes , parfois dissuasives. Et surtout, un climat politique hostile , incarné par le discours sécuritaire de Donald Trump. ....... Le tourisme belge à la croisée des chemins Les touristes belges – curieux, fidèles, et gros dépensiers – pourraient devenir la prochaine "fuite" invisible du tourisme américain.Ils ne claquent pas la porte. Ils l’ignorent simplement . Et se tournent vers des destinations plus accueillantes, plus simples, mieux promues . Et quid les élections mid-term de 2026 aux Etats -Unis : un "reset" politique possible, mais pas garanti Les midterms ne sont pas une baguette magique. Elles peuvent freiner ou corriger certaines tendances , mais ne changent pas à elles seules l’image internationale d’un pays . Si le Congrès évolue dans une direction plus ouverte et pro-tourisme, cela pourrait redonner une impulsion bienvenue aux relations touristiques entre les États-Unis et l’Europe, notamment la Belgique. Mais seul un changement plus global de ton et de stratégie pourra vraiment inverser la tendance. Conclusion : silence radio sur le rêve américain ? Moins de budget. Moins de communication. Plus d’obstacles. Alors que le dollar crée une fenêtre économique idéale, les États-Unis sabotent leur propre attractivité. Et si rien ne change, IPW 2026 pourrait symboliser une fracture durable entre l’Amérique et ses visiteurs étrangers . Car si les USA ne veulent plus séduire, le monde, lui, n’attendra pas. ETIENNE
- Belgique : L’Art de Taxer Après Coup – Quand la Boarding Tax Atterrit sur Vos Billets Déjà Payés
Bienvenue en Belgique, ce laboratoire surréaliste où la fiscalité semble parfois écrite par des scénaristes de théâtre d’absurde. Dernier acte en date : la “boarding tax”, une taxe d’embarquement revue et corrigée pour atteindre 5 € sur les vols intra-européens de plus de 500 km… y compris ceux réservés avant son entrée en vigueur. Brussels Airlines, pourtant en convalescence post-Covid , doit aujourd’hui encaisser une facture d’un million d’euros pour des billets vendus en toute légalité, bien avant que le gouvernement ne sorte cette trouvaille fiscale de son chapeau. Résultat : une provision d’urgence, un été plombé, et une concurrence qui jubile. Une taxe rétroactive : l’art de punir après service Imaginez : vous achetez un billet en mars pour partir en juillet. En avril, une nouvelle taxe est imaginée. En mai, elle est votée. Et en juillet, elle vous est appliquée… mais uniquement du côté de la compagnie aérienne. Le passager, lui, ne verra rien sur son ticket. Le transporteur, en revanche, doit avaler la pilule. C’est un peu comme si un restaurateur recevait une facture de TVA surprise sur des menus déjà servis… et digérés. Taxe écologique ou cache-misère budgétaire ? Officiellement, la boarding tax vise à encourager le train pour les courts trajets. L’intention semble louable. Dans les faits, c’est une autre chanson. Les vols de moins de 500 km sont déjà surtaxés à 10 € ; Les vols long-courriers, pourtant les plus polluants, ne sont pas concernés par cette hausse ; Et les passagers déjà enregistrés… ne sont pas épargnés. La conclusion est limpide : cette taxe ne change rien aux habitudes de vol, elle incite simplement à éviter Bruxelles comme aéroport de départ. Une spécialité belge : se tirer dans l’aile Le gouvernement fédéral, sous pression de Bart De Wever, cherche à rebalancer les efforts fiscaux entre Régions. Résultat : on frappe Brussels Airlines en pleine montée en régime, tout en épargnant les low-costs établis à Charleroi ou les géants comme Lufthansa. Pendant ce temps, Ryanair, Transavia ou même les aéroports frontaliers (Lille, Eindhoven, Cologne) attirent les voyageurs en quête d’un vol plus… rationnellement taxé. Bravo pour l’attractivité économique. Et après ? Une taxe sur la poignée de valise ? À ce rythme, tout devient envisageable : une redevance sur les valises restées trop longtemps sur le tapis roulant ? Un prélèvement sur les minutes passées dans la file de contrôle ? Tout sauf toucher à la voiture, toujours reine des politiques molles. Conclusion : Taxer l’avion, oui. Le faire à l’aveugle, non. Ce n’est pas la taxation du transport aérien qui choque. C’est la méthode, improvisée, rétroactive, injuste, qui transforme une mesure soi-disant verte en sanction budgétaire déguisée. Et comme souvent en Belgique, ce sont nos propres compagnies qui dégustent. En attendant la prochaine idée lumineuse, préparez-vous : l'été sera chaud… et surtaxé. ETIENNE
- Le WTTC salue la Flandre comme modèle du tourisme de demain
Bruxelles, juillet 2025 — Le Conseil mondial du voyage et du tourisme (WTTC) vient de désigner la Flandre comme un exemple phare en matière de gestion durable du tourisme. Dans son dernier rapport intitulé "Managing Destination Overcrowding: A Call to Action" , l’organisation internationale souligne la pertinence de la stratégie flamande "Travel to Tomorrow" , en l’érigeant en référence pour les destinations confrontées aux défis du sur-tourisme. Une vision tournée vers l’avenir Au cœur de cette reconnaissance, la démarche de Visit Flanders , qui développe depuis plusieurs années une approche novatrice centrée sur le bien-être des résidents, la durabilité et l’inclusion . La stratégie "Travel to Tomorrow" encourage un tourisme respectueux, qui ne vise pas uniquement à accroître le nombre de visiteurs, mais à maximiser la valeur sociale et économique pour la communauté locale. Le WTTC insiste sur le fait que les destinations qui placent les habitants au cœur de la planification touristique sont mieux préparées à faire face aux tensions croissantes liées à la surfréquentation. En cela, la Flandre fait figure de pionnière. Une gouvernance participative exemplaire Le rapport du WTTC souligne l’importance de la concertation locale mise en œuvre en Flandre. Les politiques touristiques sont développées en dialogue avec les citoyens , les autorités locales et les acteurs du secteur. Cette gouvernance intelligente permet d’anticiper les impacts, d’adapter les capacités d’accueil, et d’assurer une meilleure cohabitation entre résidents et visiteurs . En parallèle, la Flandre se distingue par l’utilisation rigoureuse de données locales pour orienter ses décisions : flux de visiteurs, retours d’expérience des habitants, indicateurs de pression… Une méthode saluée pour sa rigueur et sa transparence. Le tourisme comme levier de qualité de vie Plutôt que de voir le tourisme comme une fin en soi, la Flandre l’aborde comme un outil au service du territoire et de ses habitants . Cela se traduit par : des investissements locaux grâce aux recettes touristiques, la préservation du patrimoine culturel et naturel , et le soutien aux initiatives locales valorisant le vivre ensemble . Cette approche humaniste et équilibrée, qui refuse la logique purement quantitative, est selon le WTTC un modèle à suivre pour d'autres régions du monde. Un appel global à repenser le tourisme En publiant ce rapport, le WTTC appelle les destinations à adopter des modèles inspirés de celui de la Flandre , fondés sur trois piliers : participation, durabilité et résilience . L'organisation met toutefois en garde contre les réponses simplistes comme les taxes touristiques punitives ou les interdictions arbitraires, qui risquent de nuire à l’économie locale sans résoudre les causes profondes. En résumé La Flandre est aujourd’hui saluée sur la scène internationale pour avoir su transformer le tourisme en un levier d’équilibre, de durabilité et d’enrichissement mutuel. À travers la stratégie "Travel to Tomorrow" , elle prouve qu’un autre tourisme est possible : plus respectueux, plus juste, et mieux intégré aux dynamiques locales. Le WTTC espère que d’autres territoires emboîteront le pas. ETIENNE
- Scan-cars et tickets virtuels : la chasse à la voiture, nouvel art de vivre bruxellois… au détriment du Tourisme et pas que... !
Chapeau : À Bruxelles, les automobilistes sont devenus les cibles préférées d’une politique de stationnement automatisée, punitive et inefficace. Derrière l’argument écologique, ce sont le commerce de proximité, le tourisme et l’économie urbaine tout entière qui trinquent. Chronique d’un acharnement bureaucratique devenu stratégie par défaut. Une ville sans gouvernement, mais avec des amendes Pendant qu’on attend toujours un gouvernement régional à Bruxelles – après tout, pourquoi se presser quand on peut prolonger la vacance du pouvoir comme on prolonge les délais de recouvrement des amendes –, la machine à punir l’automobiliste tourne à plein régime. Qu’on se le dise : le stationnement est devenu le grand jeu de société local. Les règles sont simples : tu te gares, tu perds. Tu contestes, tu perds plus tard. Et si tu ne payes pas, tu figures dans une statistique de recouvrement lamentable, mais ça n’empêche personne d’annoncer triomphalement des recettes record. Les scan-cars, champions des recettes virtuelles En 2024, les scan-cars – ces sympathiques robots au service de la vertu urbaine – ont craché pour 138 millions d’euros de redevances. C’est beau, c’est propre, ça fait sérieux. Enfin, sérieux… jusqu’au moment où l’on découvre que moins d’un tiers est effectivement encaissé. Mais ce détail n’émeut pas nos gestionnaires. Ils préfèrent se féliciter de cette pluie de contraventions, persuadés qu’ils tiennent là la solution à tous les maux de la ville : réduire la voiture, remplir les caisses (même virtuellement) et convaincre les habitants qu’ils vivent dans la capitale la plus exemplaire d’Europe. Le centre-ville se vide, la périphérie se frotte les mains Résultat ? Les Bruxellois, qui n’en peuvent plus de se faire scanner comme du bétail stationné, ont trouvé la parade : ils filent faire leurs courses et leurs loisirs en périphérie, là où le ticket n’est pas un péage sur le droit de vivre. Les commerçants de Waterloo, Dilbeek ou Wavre disent merci. Les restaurateurs de la périphérie se frottent les mains. Les centres commerciaux extra-muros alignent les parkings gratuits comme des appâts. Et pendant ce temps, le cœur de Bruxelles se vide, lentement mais sûrement, de sa clientèle la plus précieuse : celle qui consomme. Un tourisme freiné à coups de procès-verbaux Mais la saignée ne s’arrête pas là. Le tourisme aussi paie le prix de cette croisade motorisée. On a beau vanter les charmes de la Grand-Place, de l’Atomium ou des institutions européennes, il faut encore pouvoir y accéder. Et dans une ville où le moindre arrêt devient un guet-apens à amende, beaucoup de touristes choisissent désormais de contourner Bruxelles.Les autocaristes rechignent à s’y aventurer, les visiteurs en voiture optent pour Bruges ou Gand, et même les voyageurs étrangers, une fois descendus du Thalys ou de l’avion, découvrent à leurs frais qu’un city-trip dans la « capitale de l’Europe » commence par une course d’obstacles tarifée : taxis chers, parkings rarissimes, signalétique confuse, et une ambiance plus punitive qu’accueillante. Les hôtels s’en plaignent discrètement, les musées comptent leurs visiteurs, et les guides touristiques adaptent leur discours : « Bruxelles ? Charmante, mais gare-toi ailleurs. » Quelle promotion pour une ville qui se rêve vitrine internationale. On voulait un tourisme durable, on obtient un tourisme distant. On pensait réguler, on dissuade. Des principes verts, des résultats gris Ah, bien sûr, on nous explique que c’est une question d’écologie, de mobilité durable, de réappropriation de l’espace public. Très bien. Mais personne ne parle de la dimension économique du désastre. Personne ne se demande combien d’emplois dépendaient de ces flux de visiteurs qui, jadis, venaient faire un peu de shopping, dîner en ville ou se payer une sortie culturelle. Non, ça, c’est secondaire. Ce qui compte, c’est de montrer qu’on lutte contre la voiture, qu’on interdit, qu’on tarifie, qu’on sanctionne. Même si la moitié des amendes finit par s’évaporer. La gouvernance par contravention On en arrive au comble du ridicule : des communes qui inscrivent dans leur budget des recettes fictives – ces fameux “droits constatés” qui ne seront jamais recouvrés – et qui, faute de rentrée réelle, compensent par des hausses d’autres taxes ou une réduction des services. On applaudit la cohérence. On applaudit surtout l’institutionnalisation de la punition automobile comme horizon politique. Car pendant que la Région se cherche un exécutif, les scan-cars, eux, gouvernent déjà. Ils roulent, ils flashent, ils dressent procès-verbal sans débat, sans opposition, sans discernement. C’est la démocratie automatique, le parcmètre vengeur devenu juge et partie. Et qu’on ne vienne pas prétendre que tout cela va financer la mobilité douce : une fois déduits les frais de fonctionnement de cette formidable usine à PV, il ne reste que des miettes pour investir dans les pistes cyclables, les trottoirs ou les transports publics. Bruxelles contre elle-même En réalité, la politique du stationnement bruxellois est devenue un prétexte commode pour masquer l’incapacité chronique de nos élus à élaborer une vision économique cohérente. Le commerce de proximité s’effondre ? C’est la faute d’Amazon. Les restaurants ferment ? C’est la conjoncture. Les salles de spectacle peinent à remplir ? C’est le goût des gens. Le tourisme se replie ? Ce sont les aléas du marché.Mais surtout, surtout, ne jamais remettre en question le dogme anti-voiture qui fait fuir les familles, les seniors, les clients d’un soir et désormais… les visiteurs d’un week-end. ETIENNE
- Brussels Airport passe en mode festival
Les lundis 21 et 28 juillet, Brussels Airport se transforme en mini-festival. De 7h à 19h, des DJ mixeront en live près des portes A (au niveau de Beers & Cheers ). Line-up 21 juillet 07h–09h : Louis XIV · 09h–11h : Breaze · 11h–13h : Mars 13h–15h : 5napback · 15h–17h : Jana Vitiligo · 17h–19h : Hide n Seek Line-up 28 juillet 07h–09h : DJ Sef sansT · 09h–11h : Averix · 11h–13h : Bryan V 13h–15h : Karakals · 15h–17h : Lady Bee · 17h–19h : Andrei Stan Prêt à partir ? L’appli, aussi ! Votre client voyage-t-il bientôt au départ de Brussels Airport ? Alors, n’oubliez pas de lui recommander de télécharger l’application Brussels Airport . Elle lui permet de rester informé en temps réel du statut de son vol et des temps d’attente aux contrôles de sécurité et de douane. Un outil pratique pour un voyage plus fluide et sans stress. Téléhargez l'app
- Changement de coordination au sein de Gigatour : Geoffrey Melin succède à Guillaume Dubois
Gigatour annonce une transition importante dans sa structure organisationnelle. Guillaume Dubois, coordinateur et secrétaire du réseau, passe le relais opérationnel pour rejoindre le Conseil d’administration, où il succède à son père, Éric Dubois, membre co-fondateur du réseau Gigatop devenu Gigatour. « Après quelques temps à coordonner les opérations de terrain, devenir administrateur chez Gigatour est une étape naturelle pour moi. Je quitte le poste de coordinateur et secrétaire l’esprit tranquille, convaincu que Geoffrey Melin saura relever ce défi avec passion et compétence. » — Guillaume Dubois Le choix s’est porté sur Geoffrey Melin pour son expérience professionnelle dans le secteur touristique, son enthousiasme ainsi que sa volonté d’assurer une continuité tout en insufflant une nouvelle dynamique. Professionnel du tourisme depuis de nombreuses années, Geoffrey Melin (39 ans), originaire de Namur, a occupé plusieurs postes à responsabilité dans le secteur : gestionnaire de projets touristiques, responsable commercial pour une plateforme de réservation dédiée aux agences de voyages, puis directeur d’agences chez Interhome. Il dispose ainsi d’une vision à 360° du secteur. « J’ai volontairement quitté mon précédent poste pour m’investir pleinement dans ce projet collectif. Je suis honoré de la confiance accordée. C’est avec beaucoup d’enthousiasme que je m’engage au service du réseau. Je serai un interlocuteur attentif, réactif et engagé aux côtés de chaque membre & des partenaires/fournisseurs. » — Geoffrey Melin Ce changement symbolise la continuité intergénérationnelle et une volonté forte de construire l’avenir avec ambition. L’ensemble des membres de Gigatour souhaite beaucoup de succès à Guillaume et Geoffrey dans leurs nouvelles fonctions & remercie Eric en sachant que leurs chemins se croiseront encore. Ensemble, continuons à faire vivre un réseau solide, profondément humain et tourné vers l’avenir.
- Silverjet dit au revoir à Maité Quijo – et souhaite la bienvenue à Isabelle Antoine
Silverjet remercie chaleureusement Maité Quijo pour ses nombreuses années d’engagement et lui souhaite beaucoup de succès dans sa nouvelle aventure. Parallèlement, nous sommes ravis d’accueillir Isabelle Antoine au sein de notre équipe. Isabelle est bien connue du marché francophone : avec plus de 20 ans d’expérience notamment chez Uniclam et Rainbow, elle apporte une expertise précieuse. Elle se concentrera principalement sur les ventes et débutera le 18 août . Nous nous réjouissons déjà de cette future collaboration !
- Le Brésil se prépare pour une saison record d’observation de baleines
Entre mai et novembre, le Brésil offre un spectacle naturel unique le long de ses côtes. Les deux espèces les plus fréquentes sont les baleines à bosse (baleia jubarte) et les baleines franches australes, chacune ayant des habitats et des périodes d’observation distinctes. Les baleines à bosse, appelées baleias jubarte en portugais, sont les vedettes de cette saison le long d’une grande partie du littoral brésilien. Ces impressionnants mammifères marins migrent chaque année des eaux froides de l’Antarctique vers les côtes chaudes et calmes du Brésil pour s’y reproduire et mettre bas. Elles sont appréciées des touristes pour leurs comportements « aériens » spectaculaires : avec maints sauts, coups de queue et de nageoires. Elles offrent un véritable ballet aquatique. Fait remarquable : la population de baleines à bosse a fortement augmenté ces dernières années, et l’espèce ne figure plus sur la liste des animaux en danger d’extinction. Cette renaissance témoigne du succès des efforts de conservation au niveau mondial. Selon le dernier recensement aérien de l’Institut Baleia Jubarte, environ 30 000 baleines à bosse longent actuellement la côte brésilienne. Les principales régions d’observation et leurs périodes recommandées sont: - Littoral Nord de São Paulo : la saison d’observation s’y étend de mai à novembre, avec un pic en juin et juillet. En 2025, la saison a commencé tôt avec des premiers signalements dès le 1er mai à Ilhabela et dès le 28 avril à São Sebastião. Au 9 juin, plus de 200 baleines avaient déjà été repérées, laissant présager une saison record. Le Projet Baleia à Vista (ProBaV) joue un rôle clé dans le suivi et l’identification photo des baleines. À ce jour, 718 individus ont été catalogués dans cette région. Le tourisme d’observation devrait attirer 120 000 visiteurs et générer 138 millions R$ (plus de 21 millions d’euros) dans la région, notamment à Caraguatatuba et Ilhabela, où plus de 200 professionnels ont été formés aux bonnes pratiques d'observations. - Bahia (Abrolhos, Praia do Forte) : cette région du nord-est est le principal sanctuaire de reproduction. La saison dure de juillet à novembre, avec un pic en août-septembre. À Praia do Forte, le Projet Baleia Jubarte propose des sorties en mer et des activités éducatives. - Arraial do Cabo (État de Rio de Janeiro) : considérée comme la meilleure zone d’observation terrestre au Brésil selon l’Institut Baleia Jubarte, cette station balnéaire offre une saison d’observation de juin à septembre. Les points de vue de Pontal do Atalaia et Flávia Alessandra offrent d’excellentes opportunités. Le lancement de la saison inclut des conférences et une baleine gonflable géante de 16 mètres permettant d’explorer son anatomie de l’intérieur. - Santa Catarina : sanctuaire des baleines franches australes : classées comme espèce menacée, les baleines franches australes choisissent le littoral sud de l’État de Santa Catarina comme principal site de reproduction. Elles migrent de l’Antarctique vers ces eaux plus calmes pour s’y accoupler, mettre bas et élever leurs petits. La saison s’étend habituellement de juillet à novembre, avec un pic en août-septembre. Mais en 2025, les premiers signalements ont eu lieu entre le 27 et le 29 mai à Praia do Rosa (Imbituba) et Praia do Sol (Laguna). Deux femelles connues, déjà identifiées par le Projet Franca Austral (ProFRANCA), ont été observées. En septembre 2024, 216 baleines franches avaient été recensées entre Rio Grande do Sul et Florianópolis, dont 214 femelles avec leurs petits. L’arrivée anticipée cette année souligne l’importance d’un respect accru des règles d’observation, notamment pour les bateaux et les drones. Quelques conseils pour effectuer une observation responsable Choisir un opérateur certifié : privilégiez les agences accréditées par les autorités locales. Respecter les distances : rester à au moins 100 mètres des animaux en toute circonstance. Utilisation du bateau : moteur allumé, mais hélice arrêtée à l’approche ; interdiction de poursuivre ou de perturber les animaux. Des amendes sont prévues en cas de non-respect. Patience et respect : l’observation dépend des conditions naturelles. C’est aussi un moment de connexion avec la nature et de prise de conscience de la nécessité de protéger nos océans.
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