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  • Crédit vacances : un client sur dix s’endette pour partir… et les agences belges sont (peu) préparées

    Un Belge sur 10 contracte un prêt pour partir en vacances . Chez les moins de 27 ans, c’est un sur cinq . Ce chiffre, encore tabou dans le secteur, est pourtant une réalité commerciale que les agences de voyages belges ne peuvent plus ignorer. Un marché qui existe déjà… mais sans vous ? Les prêts vacances sont bel et bien en forte croissance en Belgique . Des acteurs comme ING , KBC , Beobank ou Mozzeno proposent des crédits de 500 à 50 000 €, à un TAEG moyen de 7 à 8 % , pour financer circuits, séjours ou voyages de noces.  Ce sont vos clients… mais ils passent par leur banque au lieu de vous le dire. Résultat : vous vendez la prestation, mais vous laissez la relation financière à un tiers , voire perdez une vente si l’obtention du crédit échoue. Les jeunes s’endettent pour s’évader Les moins de 27 ans représentent une cible prioritaire : plus de 20 % financent leurs vacances à crédit , souvent pour des voyages longs, des “grands moments” (PVT, lune de miel, tour du monde). Ils sont prêts à payer plus cher pour vivre l’expérience , même si cela signifie s’endetter. Et pourtant,  peu d’agences proposent une solution de paiement adaptée à ces profils . Le paiement fractionné : la grande absente du marché belge Alors que des solutions comme Alma sont disponibles en Belgique depuis 2022, peu d’agences belges l’ont intégré . En France, de nombreux acteurs touristiques (tour-opérateurs, OTA, agences) permettent le paiement en 3× ou 4×, parfois jusqu’à 10 fois sans frais.En Belgique, le retard est flagrant , alors que la demande existe . Les clients attendent cette souplesse. Si ce n’est pas vous, ce sera une plateforme étrangère. Ce que les pros doivent retenir Opportunité commerciale immédiate : Attirez les clients jeunes et les budgets moyens avec une offre de paiement souple , sans recours à un crédit bancaire. Convertissez plus facilement les paniers entre 1 500 € et 5 000 € , où l’abandon de panier est élevé. Protection du client = fidélisation : Vous montrez que vous comprenez ses contraintes. Vous lui évitez un crédit à 8 % pour un voyage éphémère. Outils disponibles : Alma, Oney, Klarna, ou autres solutions locales compatibles avec les banques belges (Bancontact, SEPA, etc.). En conclusion : êtes-vous du bon côté du crédit ? Le financement est déjà là , mais en dehors de votre écosystème . Soit vous l’intégrez (via une offre simple de paiement fractionné ou un partenariat crédit transparent), Soit vous restez en marge d’un levier de vente majeur — tout en laissant vos clients s’endetter… sans vous. ETIENNE

  • Live to Travel : C’est bientôt le moment !

    Le Roadshow annuel Live To Travel approche à grands pas, et vous êtes chaleureusement invité(e) ! Profitez d’une soirée conviviale remplie de présentations, de réseautage, de délicieuses bouchées et boissons. Faites connaissance avec nos fournisseurs préférés d’Afrique, d’Océanie, du Moyen-Orient et de destinations balnéaires. Et qui sait… peut-être repartirez-vous avec l’un des superbes prix de notre tombola ! Où & quand ? Lundi 15/09/2025 – De Montil, Affligem (Belgique) Ateliers & présentations dès 17h30. Fin vers 00h00. Mardi 16/09/2025 – Off Meeting, Event & Hotel, Wavre (Belgique) Ateliers & présentations dès 17h30. Fin vers 23h30. Mercredi 17/09/2025 – Van der Valk Hotel, Vianen (Pays-Bas) Présentations dès 14h00, atelier dès 17h00. Fin vers 22h00. Pas de souci donc si, en tant qu’agent de voyages flamand, vous ne pouvez pas être présent le lundi ! Ceux qui le souhaitent peuvent tout à fait participer à l’événement destiné à nos partenaires wallons ou néerlandais. Pourquoi vous ne voulez surtout pas manquer ça : Rencontres & échanges Faites connaissance avec nos formidables fournisseurs, l’équipe Live To Travel, ainsi que vos collègues agents de voyages. Nouveau cette année : fournisseurs sur scène ! Nous lançons un tout nouveau concept en Belgique ! Après des éditions réussies aux Pays-Bas, où une session de présentations a lieu l’après-midi, nous l’introduisons maintenant en Belgique dans un format soirée chaleureux. Attendez-vous à des présentations courtes, percutantes et inspirantes de nos fournisseurs, pleines de conseils concrets. Le programme suivra. Tombola Les prix tant convoités seront à nouveau de la partie cette année, avec une condition supplémentaire : seuls ceux qui assistent à une ou plusieurs présentations auront une chance de gagner un prix. La connaissance paie – littéralement ! Good vibes only Un lieu agréable, de délicieuses bouchées, un verre à la main… et une bonne dose d’inspiration voyage. Car qui a dit que travailler ne pouvait pas être fun ?

  • Charleroi 2045 vs Zaventem 2029 : Deux poids, deux mesures dans le ciel belge ?

    Alors que l’aéroport de Charleroi obtient une autorisation d’exploitation jusqu’en 2045 , Brussels Airport (Zaventem) voit son permis annulé et prolongé d’office jusqu’en 2029 . Une décision qui interroge, choque parfois, et pose une vraie question : à quoi joue-t-on dans l’aménagement du territoire aérien en Belgique ?  Le grand écart réglementaire Charleroi , sous tutelle de la Région wallonne, a obtenu 20 ans de permis d’environnement. Un blanc-seing qui intègre le développement de nouvelles infrastructures, une augmentation du trafic et la validation anticipée d’un masterplan futuriste. Zaventem , principal aéroport du pays, a vu son permis annulé par un tribunal flamand pour non-respect de procédures européennes (Balanced Approach). Il n’a le droit d’opérer que jusqu’en juin 2029 , le temps que la Flandre reparte de zéro. Un même pays, deux aéroports internationaux, mais deux logiques radicalement opposées . Et sur le plan économique ? Brussels Airport , pilier national, dégage des bénéfices records : plus de €91 millions de résultat net en 2024. Noté BBB+ par Fitch, il attire des compagnies régulières, cargo express, et investit €500M pour se moderniser. Charleroi , ex-fleuron du low-cost, a longtemps été déficitaire , dépendant d’aides publiques régionales, et reste ultra-dépendant de Ryanair (≈75 % du trafic). Il a retrouvé des profits en 2024, mais son modèle économique reste fragile. Question clé : si Ryanair décidait de plier bagage, Charleroi survivrait-il ? Rien n’est moins sûr. Vol politique ou turbulences de gouvernance ? Derrière ces divergences se cache une tension plus profonde : La Région wallonne , propriétaire de l’aéroport de Charleroi, semble avoir verrouillé politiquement l’avenir de son aéroport pour deux décennies. La Région flamande , elle, se retrouve contrainte de remettre à plat le permis de Zaventem dans un contexte juridique tendu, sous surveillance des riverains et de l’Europe. Cette situation alimente un sentiment de deux vitesses , voire de distorsion de concurrence , entre les deux principaux hubs aériens du pays. Conclusion : un modèle belge en perte d'altitude ? Charleroi obtient un feu vert de 20 ans avec un business model fragile et dépendant, tandis que Brussels Airport — performant, stratégique et rentable — doit se battre pour exister au-delà de 2029. Le ciel belge est-il gouverné par des logiques politiques plutôt qu’économiques ou environnementales ?Et si le véritable enjeu, c’était de repenser l’avenir aéroportuaire belge de manière coordonnée et non régionalisée ? En attendant, les passagers volent, les subventions tombent… et les décisions restent, elles, ancrées au sol . ETIENNE

  • L’AUTOCARISME TOURISTIQUE EN BELGIQUE : UN PILIER DU VOYAGE EN GROUPE

    Un maillon essentiel du tourisme belge L’autocarisme touristique joue un rôle de premier plan dans la mobilité des voyageurs en Belgique. Offrant confort, flexibilité, accessibilité et sécurité, l’autocar constitue une alternative économique et durable pour découvrir la Belgique et l’Europe. De plus en plus prisé, notamment par les seniors, les groupes scolaires, les familles et les associations, ce mode de transport bénéficie d’une offre variée allant des excursions d’un jour aux circuits européens de plusieurs jours. Des services touristiques diversifiés Les entreprises belges d’autocarisme touristique proposent une large gamme d’activités : Excursions & city-trips Vers des destinations emblématiques telles que Bruges , Gand , Anvers , Bruxelles , mais aussi à l'étranger : Paris , Amsterdam , Luxembourg , Cologne , etc. Circuits touristiques en Europe Des voyages organisés vers l’ Italie , l’ Espagne , les Balkans , les pays nordiques , etc., combinant découvertes culturelles , gastronomie et paysages . Transport scolaire et pédagogique Une part importante du secteur est consacrée aux voyages éducatifs , aux classes vertes et aux voyages linguistiques , principalement pour les écoles primaires et secondaires. Tourisme événementiel Participation à des événements, parcs d’attractions (Disneyland Paris, Walibi, Pairi Daiza, Plopsaland), concerts , ou festivals . Voyages de groupe et incentives Pour associations , clubs sportifs , maisons de repos , ou entreprises , avec un service souvent personnalisé (guides, repas, hébergements, etc.). Données récentes (2024–2025) : croissance confirmée Le secteur connaît une nette progression : En 2024 , les Belges ont effectué 23,66 millions de voyages , un record (+2,1 % par rapport à 2023), pour un total de 181,4 millions de nuitées (+10,9 %). 11,2 % des Belges ont utilisé l’autocar au moins une fois entre 2023 et 2024 : 6,9 % pour des voyages de plusieurs jours, 5 % pour des excursions d’un jour. En 2025 , on estime que 810 000 Belges voyageront en autocar durant l’été (juillet–août), soit une augmentation de plus de 15 % par rapport à l’année précédente. Cela représente 2 300 autocars en circulation pour environ 18 000 trajets . Carnaval 2025 a vu 75 000 voyageurs belges partir en autocar, contre 60 000 en 2024. Durée moyenne des séjours en 2024 : 7,7 jours, contre 7,1 en 2023. Tendance claire : les Belges voyagent davantage, plus longtemps, et utilisent l’autocar comme solution économique et écologique. Principaux opérateurs en Belgique Voici une petite sélection des acteurs majeurs qui structurent le marché belge de l’autocar touristique : Voyages Léonard (Liège) Référence en Wallonie, avec une offre variée de séjours touristiques en Belgique et à l’étranger, souvent accompagnés de guides. BT TOURS (Brabant Wallon) Opérateur dynamique proposant des voyages scolaires , groupes privés , excursions culturelles , avec une flotte récente et un service personnalisé . Très actif auprès des collectivités et établissements scolaires. Gino Tours (Jabbeke) Entreprise familiale spécialisée dans les excursions d’un jour et les voyages organisés à l’étranger. Forte présence régionale. Staf Cars (Flandre) Un des leaders du transport haut de gamme. L’entreprise propose une flotte moderne et des circuits longue distance à travers l’Europe. Keolis Belgium Groupe international présent dans tout le pays. Il combine transport régulier, scolaire et touristique , avec une flotte importante et un réseau bien établi. Et j'en passe..... Vers un autocarisme plus durable Face aux défis climatiques, le secteur mise sur : Des autocars aux normes Euro 6 , hybrides ou alimentés au gaz naturel . Une optimisation des trajets pour réduire les émissions. La promotion du car comme alternative au transport individuel ou à l’avion . L’autocar est aujourd’hui l’un des moyens de transport les plus écologiques par passager transporté, devant la voiture et l’avion. Conclusion L’autocarisme touristique belge est en pleine croissance , porté par une demande constante de voyages organisés , de découvertes culturelles et de mobilité durable . Grâce à des opérateurs fiables et une offre de plus en plus diversifiée, il représente une solution de choix pour les voyageurs souhaitant conjuguer confort, économie et écologie . ETIENNE

  • Walibi Belgium : l’ambassadeur belge face aux géants européens 

    En 2025, Walibi Belgium fête ses 50 ans — un demi-siècle de frissons, de transformations et d’innovations. Mais dans l’univers européen des loisirs, comment se positionne-t-il face aux mastodontes ?  Classement 2024 des grands parcs européens (visiteurs) Rang Parc Visiteurs 2024 1 Disneyland Paris ~10,4 M 2 Europa‑Park (Allemagne) ~6 M 3 Walt Disney Studios (Paris) ~5,7 M 4 Efteling (Pays-Bas) ~5,6 M 5 Tivoli Gardens (Danemark) ~4,25 M 6 PortAventura (Espagne) ~4 M 7 Gardaland (Italie) ~2,95 M 8 Parc Astérix (France) ~2,84 M 9 Puy du Fou (France) 2,8 M Pitch Perfect+11Wikipédia+11mousenotifier.com+11 Wikipédia+1mousenotifier.com+1 Havas Media Network+4Wikipédia+4mousenotifier.com+4 Wikipédia 10 Futuroscope (France) ~2,05 M 11 Toverland (Pays-Bas) 1,174 M 12 Walibi Belgium (Belgique) ~1,05 M Walibi Belgium : un atout national 1,05 million de visiteurs en 2024 , en croissance affirmée, renforcée par les innovations récentes (Dock World, Mecalodon) et les animations d’anniversaire. Unique parc belge à proposer un coaster haut niveau , une programmation saisonnière bien rodée (Halloween, hiver) et des zones thématiques multi-niveaux. Un engagement de 100+ millions d’€ depuis 2017, confirmant sa volonté de rivaliser sur le plan européen.   Autres parcs belges : diversité et complémentarité Plopsaland De Panne : n° 1 en Belgique pour les familles, thème Studio 100. Bellewaerde (Ypres) : parc d’attractions et safari, vert et familial. Bobbejaanland (Lichtaart) : sensations fortes pour ados et adultes. Aqualibi (Wavre) : parc aquatique indoor complémentaire à Walibi. Plopsa Coo , Plopsa Indoor Hasselt , Plopsa Station Antwerp : cibles jeunes enfants, très appréciés. En résumé Walibi est le parc belge le plus ambitieux en termes de sensations et de fréquentation (>1 M visiteurs), avec un modèle d’évolution continue. Les autres parcs belges occupent des niches complémentaires, mais Walibi demeure le seul acteur belge à rivaliser sur le plan européen . Walibi Belgium est une réussite belge incarnant à la fois innovation , expérience immersive et croissance mesurable , face à des mastodontes comme Disneyland ou Puy du Fou. ETIENNE

  • Le Surtourisme ou Tourisme de masse : une bombe à retardement ?

    Paradoxe de notre temps : les destinations les plus admirées deviennent invivables. Venise, Barcelone, Bali, Dubrovnik, Machu Picchu, Kyoto, Santorin… Autant de noms qui font rêver les voyageurs du monde entier. Mais pour leurs habitants, ces lieux paradisiaques deviennent un cauchemar quotidien . Le surtourisme – ou "overtourism" en anglais – désigne la surcharge touristique que subissent certaines destinations, mettant en péril leur environnement, leur économie locale et leur qualité de vie. Pourquoi le surtourisme explose ? Plusieurs facteurs se combinent : Explosion du tourisme mondial : plus de 1,4 milliard de touristes internationaux chaque année selon l’OMT. Vols low-cost et plateformes comme Airbnb qui ont banalisé les voyages. Effet réseaux sociaux : certaines destinations deviennent virales, attirant des foules désorganisées. Croisières massives : des dizaines de milliers de touristes débarquent chaque jour dans des centres historiques. Conséquences : Villes asphyxiées et nature dégradée Venise perd ses habitants, chassés par les loyers trop élevés. La ville devient un décor. Barcelone voit ses quartiers historiques dévorés par les locations touristiques. L’île de Bali lutte contre une pollution croissante de ses plages et de ses eaux. L’Islande , avec 370 000 habitants, accueille plus de 2 millions de touristes chaque année. Le Machu Picchu a dû limiter l’accès quotidien pour protéger le site... Les résidents fuient , les prix flambent , et les infrastructures craquent. Certaines destinations sont littéralement sacrifiées sur l’autel du tourisme de masse . Y a-t-il des solutions ? Oui… mais elles demandent courage et volonté politique. Voici les principales pistes expérimentées dans le monde : 1. Limiter le nombre de visiteurs Le Machu Picchu impose des créneaux horaires et un nombre maximum de visiteurs par jour. Les Cinque Terre (Italie) testent des quotas via une application de réservation. 2. Taxer davantage le tourisme Venise met en place un ticket d’entrée journalier pour les visiteurs. Certaines villes appliquent des taxes de séjour élevées ou des éco-contributions (ex. Amsterdam, Islande). Mais est-ce vraiment efficace ? Taxer le tourisme peut freiner un certain type de tourisme de masse , en particulier les croisiéristes ou les visiteurs à la journée. Cela peut aussi générer des revenus pour réparer les dégâts et protéger les sites . Mais à elle seule, la taxe ne suffit pas : Les touristes les plus fortunés ne sont pas dissuadés. Cela peut aggraver les inégalités (voyager devient un luxe). Et certaines villes deviennent encore plus dépendantes de ces revenus touristiques. La taxation ne peut fonctionner que si elle est intégrée à une stratégie plus globale : limitation des capacités, diversification économique, encadrement du marché immobilier, sensibilisation des voyageurs. 3. Réguler les plateformes de location Barcelone, New York ou Paris interdisent ou limitent fortement les locations Airbnb non déclarées. Kyoto oblige les propriétaires à limiter les durées de location et à signaler leur bien. 4. Désaisonnaliser et répartir les flux Promouvoir le tourisme hors-saison. Développer des itinéraires secondaires pour soulager les centres historiques. 5. Sensibiliser les voyageurs Campagnes de communication sur le respect des lieux, des habitants et des cultures locales. Incitation au slow tourism , plus respectueux, plus lent, plus conscient. Et maintenant ? Le tourisme est une richesse économique incontestable. Mais mal géré, il devient un poison. Face au changement climatique, à la perte de biodiversité et à la montée des inégalités urbaines, le modèle touristique mondial doit évoluer . Les solutions existent. Certaines sont déjà en place. Mais elles nécessitent de repenser la logique du “plus toujours plus”, et de revenir à une forme de tourisme plus respectueuse, plus éthique, plus équilibrée . ETIENNE

  • Live to Travel : C’est bientôt le moment !

    Le Roadshow annuel Live To Travel approche à grands pas, et vous êtes chaleureusement invité(e) ! Profitez d’une soirée conviviale remplie de présentations, de réseautage, de délicieuses bouchées et boissons. Faites connaissance avec nos fournisseurs préférés d’Afrique, d’Océanie, du Moyen-Orient et de destinations balnéaires. Et qui sait… peut-être repartirez-vous avec l’un des superbes prix de notre tombola ! Où & quand ? Lundi 15/09/2025 – De Montil, Affligem (Belgique) Ateliers & présentations dès 17h30. Fin vers 00h00. Mardi 16/09/2025 – Off Meeting, Event & Hotel, Wavre (Belgique) Ateliers & présentations dès 17h30. Fin vers 23h30. Mercredi 17/09/2025 – Van der Valk Hotel, Vianen (Pays-Bas) Présentations dès 14h00, atelier dès 17h00. Fin vers 22h00. Pas de souci donc si, en tant qu’agent de voyages flamand, vous ne pouvez pas être présent le lundi ! Ceux qui le souhaitent peuvent tout à fait participer à l’événement destiné à nos partenaires wallons ou néerlandais. Pourquoi vous ne voulez surtout pas manquer ça : Rencontres & échanges Faites connaissance avec nos formidables fournisseurs, l’équipe Live To Travel, ainsi que vos collègues agents de voyages. Nouveau cette année : fournisseurs sur scène ! Nous lançons un tout nouveau concept en Belgique ! Après des éditions réussies aux Pays-Bas, où une session de présentations a lieu l’après-midi, nous l’introduisons maintenant en Belgique dans un format soirée chaleureux. Attendez-vous à des présentations courtes, percutantes et inspirantes de nos fournisseurs, pleines de conseils concrets. Le programme suivra. Tombola Les prix tant convoités seront à nouveau de la partie cette année, avec une condition supplémentaire : seuls ceux qui assistent à une ou plusieurs présentations auront une chance de gagner un prix. La connaissance paie – littéralement ! Good vibes only Un lieu agréable, de délicieuses bouchées, un verre à la main… et une bonne dose d’inspiration voyage. Car qui a dit que travailler ne pouvait pas être fun ?

  • Cap au large : Et si la Croisière se passait en Mer… et nulle part ailleurs ?

    Seulement un questionnement pour le futur.... Dans un monde où les escales de croisière saturent les ports historiques et mettent à rude épreuve les villes côtières, une idée audacieuse refait surface : et si les croisières se passaient uniquement en mer, sans jamais accoster ? Quand la croisière devient le problème Venise, Dubrovnik, Santorin… Ces joyaux de la Méditerranée partagent un point commun : ils étouffent. Chaque été, des flots de touristes débarquent quotidiennement, souvent sans y passer la nuit, contribuant peu à l’économie locale mais beaucoup aux nuisances : pollution, bruit, congestion, disparition du tissu local. Le coupable ? Une partie du tourisme de croisière, qui transforme certaines escales en parcs d’attraction éphémères . Et si le navire devenait la destination ? Face à ce constat, un nouveau modèle émerge : la croisière sans escale . Une forme de voyage où tout se passe en mer , loin de la terre ferme. Une odyssée flottante où le navire ne sert plus de simple moyen de transport, mais devient l’expérience en soi . À bord : spas, restaurants gastronomiques, spectacles, ateliers culturels, piscines à débordement… et même méditation en haute mer , au lever du soleil, sur le pont avant. Méditer au rythme des vagues Imaginez : le silence à l’horizon, l’immensité liquide autour de vous, l’air iodé qui caresse le visage. Un espace hors du temps. Chaque matin, les passagers sont invités à une séance de méditation guidée, en plein air. Pas de klaxon, pas de port à rejoindre. Juste la respiration synchronisée avec le ressac, l’esprit bercé par l’infini de l’océan. Des retraites de pleine conscience peuvent même être organisées à bord : silence volontaire, ateliers sur la lenteur, lectures introspectives. Ici, le voyage devient intérieur autant qu'extérieur. Une réponse au surtourisme ? Ce type de croisière pourrait répondre à une demande croissante pour un tourisme plus durable . En ne débarquant nulle part, on ne surcharge aucun patrimoine, aucune ville. Et en centrant l’expérience sur le bien-être, la réflexion, le calme, on attire un public en quête de sens , pas seulement de selfies. Utopie ou futur du voyage maritime ? Si l’idée reste encore marginale, elle séduit une nouvelle génération de voyageurs : moins pressée, plus consciente, plus ouverte à une forme de lenteur choisie . Les croisières thématiques en pleine mer – qu’elles soient axées sur la méditation, le yoga, la littérature ou la gastronomie – pourraient bien dessiner les contours d’un nouvel art de naviguer . Naviguer autrement Et si, au lieu de cocher des ports, on apprenait simplement à être présent à l’instant ? Loin de la frénésie des escales, ces croisières « sans but » apparent nous ramènent à l’essentiel : l’écoute, le souffle, le silence . Naviguer pour se retrouver. Méditer pour s’ancrer. Voyager sans fuir. Et pourquoi pas......???? ETIENNE

  • Changement de cap au Club Med : Henry Giscard d’Estaing évincé par Fosun, Stéphane Maquaire prend les rênes. ( à confirmer encore)

    Le géant chinois Fosun, actionnaire principal du Club Med, vient de tourner une page majeure de l’histoire du groupe en écartant Henry Giscard d’Estaing, président emblématique de l’entreprise depuis plus de deux décennies. Il est remplacé par un autre Français, Stéphane Maquaire, un vétéran de la grande distribution (Carrefour, Monoprix, Printemps). Ce bouleversement stratégique soulève des inquiétudes sur l’avenir du Club Med en Europe, alors que Fosun est aux prises avec une dette colossale. Un départ brutal après 21 ans de règne Henry Giscard d’Estaing avait orchestré la transformation du Club Med en misant sur le haut de gamme, les marchés émergents, et une stratégie axée sur les resorts « all inclusive » premium. Il était aussi la figure rassurante d’un Club Med « à la française », même après son rachat en 2015 par Fosun, groupe chinois aux ambitions mondiales. Mais ce 18 juillet 2025, Fosun a décidé de tourner la page, dans un contexte économique tendu. Selon des sources internes, cette décision a été imposée directement depuis Shanghai, signe d’une reprise en main plus directe de l’opérateur de tourisme par son actionnaire. Stéphane Maquaire, un profil gestionnaire Le futur nouveau patron, Stéphane Maquaire, n’est pas un inconnu du monde de la distribution. Passé par Carrefour, Monoprix, Printemps, puis par la direction du groupe sud-américain GPA (filiale de Casino), il s’est forgé une réputation de gestionnaire efficace, capable de redresser des structures complexes. Un choix qui pourrait indiquer que Fosun cherche désormais à rationaliser ses opérations et à améliorer les marges à court terme. La dette de Fosun, une épée de Damoclès Le groupe Fosun, fortement endetté (plus de 35 milliards d’euros selon les dernières estimations), multiplie depuis deux ans les cessions d’actifs et les restructurations. Dans ce contexte, le Club Med pourrait devenir une variable d’ajustement. La rentabilité des villages européens — souvent moins rentable que ceux d’Asie ou d’Amérique latine — pourrait être remise en question. Des fermetures de sites, une réduction des effectifs ou même une révision du positionnement haut de gamme en Europe ne sont plus des scénarios à exclure. L’ADN du Club Med, fait d’hospitalité « à la française », d’ambiance conviviale et d’une clientèle fidèle, pourrait être mis à rude épreuve. Quel avenir pour le Club Med ? La nomination de Stéphane Maquaire marquerait  une rupture stratégique. Le risque est grand que le Club Med perde une partie de son identité pour s’aligner sur des logiques plus industrielles, voire financières. Fosun, confronté à la nécessité de rembourser ses créanciers, pourrait privilégier la rentabilité immédiate aux ambitions long terme qui avaient fait du Club Med une référence mondiale du tourisme expérientiel. Ce changement de direction intervient alors que le secteur touristique mondial se transforme, avec des voyageurs de plus en plus exigeants sur le rapport qualité/prix, la durabilité et l’authenticité. Une occasion à saisir — ou un virage dangereux pour une marque aussi iconique. ETIENNE

  • TUI quitte l’aéroport de Liège début janvier 2026 : quel impact pour les agents de voyage et pour l’aéroport ?

    Après plus de 30 ans de présence à l’aéroport de Liège (LGG) , TUI mettra fin à ses opérations à compter de janvier 2026 . Cette décision stratégique s’inscrit dans un recentrage des activités du groupe, qui privilégiera désormais les aéroports de Bruxelles, Ostende et Anvers . Un repositionnement initié dès septembre 2024 Ce retrait s’inscrit dans la transformation globale de TUI, officialisée en septembre 2024 avec le lancement du concept “TUI Global Curated Leisure Marketplace” . Cette nouvelle stratégie vise à proposer une offre touristique plus ciblée, digitalisée et alignée avec les nouvelles attentes des voyageurs internationaux. Parmi les objectifs de ce repositionnement : Optimisation logistique et financière en concentrant les opérations sur des hubs à plus fort rendement ; Harmonisation de l’offre à l’échelle mondiale ; Amélioration de l’expérience client via des produits mieux segmentés et un accès renforcé via le digital. Quel impact pour les agents de voyage ? Ce retrait bouleverse l’écosystème des agences de voyage, notamment en Wallonie : Perte d’un point de départ de proximité très apprécié par les familles, les seniors ou les groupes ; Nécessité de réorienter les clients vers Bruxelles, Anvers, voire des aéroports frontaliers comme Charleroi, Maastricht ou Düsseldorf ; Risque de perte de fidélisation , avec une clientèle qui pourrait explorer d’autres canaux ou concurrents en ligne. Les agents devront s’adapter rapidement, revoir leur argumentaire commercial, et repenser leur logique de départs. Quel impact pour l’aéroport de Liège ? Le choc est structurel. TUI était l’unique opérateur de vols passagers réguliers à Liège. Son retrait signifiera donc la disparition de près de 170 000 passagers par an , mettant fin au pôle “loisirs” de l’aéroport . Cela remet en cause la diversification de Liège Airport, qui devra sans doute recentrer ses efforts sur le fret , son cœur de métier historique. Les aéroports frontaliers : une alternative naturelle ? Privés de leur aéroport local, les voyageurs liégeois pourraient se tourner vers des aéroports frontaliers, proches et compétitifs : Aéroport Temps moyen depuis Liège Avantages Charleroi (CRL) ~1h Low-cost (Ryanair), nombreuses destinations Maastricht (MST) ~30 min Proximité, vols saisonniers Düsseldorf (DUS) ~1h30 Grande connectivité, offre variée Bruxelles (BRU) ~1h10 Accès TUI maintenu, destinations mondiales Ce redéploiement risque de profiter à l’étranger plus qu’à la Wallonie, et affaiblir encore la position des aéroports secondaires belges s’ils ne parviennent pas à offrir d’alternatives concrètes. Conclusion Avec le départ de TUI, l’aéroport de Liège perd son seul opérateur de vols passagers réguliers , et environ 170 000 passagers par an . Cette décision de TUI , dans la lignée du repositionnement stratégique lancé dès septembre 2024 , aura un impact régional majeur : les agences de voyage devront rediriger leur offre, les passagers se tourneront vers des aéroports frontaliers , et Liège Airport devra revoir ou  abandonner ? son ambition touristique . Un vrai tournant, non seulement pour l’infrastructure aéroportuaire, mais pour tout l’écosystème du tourisme en province de Liège et en Wallonie . ETIENNE

  • Live to Travel : C’est bientôt le moment !

    Le Roadshow annuel Live To Travel approche à grands pas, et vous êtes chaleureusement invité(e) ! Profitez d’une soirée conviviale remplie de présentations, de réseautage, de délicieuses bouchées et boissons. Faites connaissance avec nos fournisseurs préférés d’Afrique, d’Océanie, du Moyen-Orient et de destinations balnéaires. Et qui sait… peut-être repartirez-vous avec l’un des superbes prix de notre tombola ! Où & quand ? Lundi 15/09/2025 – De Montil, Affligem (Belgique) Ateliers & présentations dès 17h30. Fin vers 00h00. Mardi 16/09/2025 – Off Meeting, Event & Hotel, Wavre (Belgique) Ateliers & présentations dès 17h30. Fin vers 23h30. Mercredi 17/09/2025 – Van der Valk Hotel, Vianen (Pays-Bas) Présentations dès 14h00, atelier dès 17h00. Fin vers 22h00. Pas de souci donc si, en tant qu’agent de voyages flamand, vous ne pouvez pas être présent le lundi ! Ceux qui le souhaitent peuvent tout à fait participer à l’événement destiné à nos partenaires wallons ou néerlandais. Pourquoi vous ne voulez surtout pas manquer ça : Rencontres & échanges Faites connaissance avec nos formidables fournisseurs, l’équipe Live To Travel, ainsi que vos collègues agents de voyages. Nouveau cette année : fournisseurs sur scène ! Nous lançons un tout nouveau concept en Belgique ! Après des éditions réussies aux Pays-Bas, où une session de présentations a lieu l’après-midi, nous l’introduisons maintenant en Belgique dans un format soirée chaleureux. Attendez-vous à des présentations courtes, percutantes et inspirantes de nos fournisseurs, pleines de conseils concrets. Le programme suivra. Tombola Les prix tant convoités seront à nouveau de la partie cette année, avec une condition supplémentaire : seuls ceux qui assistent à une ou plusieurs présentations auront une chance de gagner un prix. La connaissance paie – littéralement ! Good vibes only Un lieu agréable, de délicieuses bouchées, un verre à la main… et une bonne dose d’inspiration voyage. Car qui a dit que travailler ne pouvait pas être fun ?

  • Changement de coordination au sein de Gigatour : Geoffrey Melin succède à Guillaume Dubois

    Gigatour annonce une transition importante dans sa structure organisationnelle. Guillaume Dubois, coordinateur et secrétaire du réseau, passe le relais opérationnel pour rejoindre le Conseil d’administration, où il succède à son père, Éric Dubois, membre co-fondateur du réseau Gigatop devenu Gigatour.   « Après quelques temps à coordonner les opérations de terrain, devenir administrateur chez Gigatour est une étape naturelle pour moi. Je quitte le poste de coordinateur et secrétaire l’esprit tranquille, convaincu que Geoffrey Melin saura relever ce défi avec passion et compétence. » —  Guillaume Dubois   Le choix s’est porté sur Geoffrey Melin pour son expérience professionnelle dans le secteur touristique, son enthousiasme ainsi que sa volonté d’assurer une continuité tout en insufflant une nouvelle dynamique.   Professionnel du tourisme depuis de nombreuses années, Geoffrey Melin (39 ans), originaire de Namur, a occupé plusieurs postes à responsabilité dans le secteur : gestionnaire de projets touristiques, responsable commercial pour une plateforme de réservation dédiée aux agences de voyages, puis directeur d’agences chez Interhome. Il dispose ainsi d’une vision à 360° du secteur.   « J’ai volontairement quitté mon précédent poste pour m’investir pleinement dans ce projet collectif. Je suis honoré de la confiance accordée. C’est avec beaucoup d’enthousiasme que je m’engage au service du réseau. Je serai un interlocuteur attentif, réactif et engagé aux côtés de chaque membre & des partenaires/fournisseurs. » —  Geoffrey Melin   Ce changement symbolise la continuité intergénérationnelle et une volonté forte de construire l’avenir avec ambition. L’ensemble des membres de Gigatour souhaite beaucoup de succès à Guillaume et Geoffrey dans leurs nouvelles fonctions & remercie Eric en sachant que leurs chemins se croiseront encore. Ensemble, continuons à faire vivre un réseau solide, profondément humain et tourné vers l’avenir.

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