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  • C. PRESSE : Le Paul Gauguin sublimé après une rénovation en cale sèche

    Mai 2025 – Paul Gauguin Croisières, qui fait partie depuis 2019 du PONANT EXPLORATIONS GROUP, créateur de voyages inspirants à bord de petits navires d’exploration, annonce l’achèvement de la mise en valeur du Paul Gauguin, navire emblématique des eaux polynésiennes. Cette importante mise en valeur a été réalisée tout en préservant le charme unique et l'authenticité du navire. Après sept semaines en cale sèche à Singapour, le navire a repris la mer le 1er avril avec des espaces sublimés, des équipements modernisés et de nouvelles technologies plus durables.   Le projet de rénovation du Paul Gauguin a tenu ses promesses en offrant une refonte contemporaine du restaurant Le Grill , de l’espace piscine, et la création de quatre nouvelles cabines communicantes. Les espaces intérieurs ont été repensés, tout en intégrant des technologies avancées plus durables afin de minimiser l’emprunte environnementale du navire.   « Nous sommes ravis d’accueillir à nouveau nos passagers à bord du Paul Gauguin récemment rénové », a déclaré Hervé Gastinel, Président de PONANT EXPLORATIONS GROUP. « Ce projet de rénovation incarne notre vision d’allier design raffiné et technologies plus durables. Il nous permet ainsi de réduire notre empreinte environnementale tout en enrichissant l’expérience immersive de nos passagers. Présent toute l’année à Tahiti et dans les îles de Polynésie, le Paul Gauguin est bien plus qu’un navire : il est le reflet de notre attachement sincère à cette région et à ses communautés. »   Partenaire de longue date de PONANT EXPLORATIONS GROUP, Stirling Design International a su traduire avec finesse la vision de voyages d’exploration à la fois authentique et raffinée du Paul Gauguin . Son expertise s’illustre dans la métamorphose des espaces intérieurs et des ponts extérieurs du navire. Les lignes élégantes du mobilier, les éléments en toile et les structures en bois ouvragé se marient harmonieusement avec des finitions en bois chaleureux, créant une atmosphère qui se fond parfaitement dans la lumière naturelle, tout en célébrant la beauté des paysages tropicaux qui entourent le navire.

  • Saviez-vous que ?

    1) BRUSSELS AIRPORT Depuis le 7 avril, le nouveau Discount Parking 2 a ouvert ses portes à BRU Cargo, offrant 600 places supplémentaires   au tarif le plus avantageux . Le parking coûte 74 euros par semaine et une navette y relie le terminal toutes les 30 minutes . Comme ce parking se remplit rapidement, il est recommandé de réserver son emplacement à l'avance. Consultez le plan et effectuez votre réservation sur le site web de Brussels Airport. 2) UNE ENQUETE DE TUI Les séries et émissions télévisées ne se contentent plus de nous divertir, elles influencent aussi nos envies de voyages. C’est ce qu’il ressort d’une enquête menée par TUI,  auprès de 1100 répondants. Près de 60 % des Belges francophones affirment avoir déjà été influencés par une émission ou une série télévisée dans le choix d’une destination de vacances. France, Grèce, Italie…ce sont principalement les programmes diffusés sur les chaînes françaises qui façonnent l’imaginaire touristique des Belges francophones. Et dans plus d’un cas sur 2, l’envie se transforme en réservation. A noter que d'autres TO utilisent déjà certains canaux télévisés pour mettre en avant leurs produits. Un exemple parmi d'autres Penta USA qui promotionne ses produits , avec succès,via une télé régionale, et bientot le Canada. 3) NOTRE GASTRONOMIE BELGE... Le Guide Michelin 2025 est sorti.  Nous n'allons pas faire l'analyse des résultats pour la Belgique, mais simplement vous exprimer notre éternel coup de coeur pour  le Restaurant "les Pieds dans le Plat" situé à Hotton.  Son Chef Jean-Michel Dienst garde fièrement son Etoile Michelin depuis 11 années. Vous avez bien lu.  Cet établissement reste pour moi le meilleur rapport qualité/prix.  Bravo pour cette performance. (voir vidéo) 4) TOURING MAGAZINE SE REINVENTE. Dans son dernier numéro Spécial Camping 2025,  il passe en revue 14 tendances camping 2025 ,  11 pays sont analysés avec  169 campings sélectionnés. Bel outil d'informations pour les amateurs. ETIENNE

  • Restaurer Alcatraz comme prison ? Une menace pour le tourisme à San Francisco

    L’annonce récente de Donald Trump évoquant la possibilité de restaurer Alcatraz comme prison active relance un débat controversé. Bien plus qu’un simple projet sécuritaire, cette initiative poserait un risque majeur pour le tourisme à San Francisco, un pilier essentiel de l’économie locale. Car Alcatraz, au-delà de son passé carcéral, est aujourd’hui un symbole culturel, historique et économique. Un site touristique emblématique en danger Perchée au cœur de la baie de San Francisco, l’île d’Alcatraz attire chaque année près de 1,7 million de visiteurs du monde entier. Autrefois prison de haute sécurité ayant abrité des figures célèbres comme Al Capone, elle est aujourd’hui un site historique national, géré par le National Park Service. Visites guidées, expositions immersives, et reconstitutions historiques en font l’un des points forts de l’offre touristique de la ville. La réactivation de la prison nécessiterait la fermeture du site au public, mettant ainsi fin à une source de revenus cruciale pour la ville et pour de nombreux acteurs du secteur. Un impact économique en cascade Alcatraz ne se limite pas à son île. Elle fait vivre tout un écosystème : compagnies de ferry, guides touristiques, hôtels, restaurants et commerces du front de mer dépendent directement de son attractivité. Sa fermeture entraînerait inévitablement une baisse de fréquentation touristique dans toute la région. À une époque où les villes luttent pour se remettre des effets économiques de la pandémie, s’attaquer à une telle source de revenus semble non seulement risqué, mais contre-productif. Un affront à l’image de San Francisco San Francisco est réputée pour son esprit d’ouverture, son engagement pour les droits humains et ses valeurs progressistes. Restaurer une prison tristement célèbre, et en faire un symbole politique sécuritaire, viendrait heurter profondément cette identité. Cela enverrait un message à contre-courant des combats sociaux et culturels menés dans la ville depuis des décennies. Alcatraz, un lieu de mémoire effacé ? Au-delà de son passé carcéral, Alcatraz est aussi un lieu de mémoire pour les communautés autochtones. En 1969, l’île fut occupée pendant 19 mois par un groupe de militants amérindiens, marquant un tournant dans la lutte pour les droits des peuples autochtones. Depuis, elle est devenue un lieu de commémoration, de dialogue culturel et d’éducation. Réactiver Alcatraz comme prison serait perçu comme un effacement brutal de cette mémoire collective, au profit d’une instrumentalisation politique. Un appauvrissement culturel certain L’île accueille aujourd’hui des expositions artistiques, des événements éducatifs et des visites pédagogiques qui attirent un public international. Supprimer cet espace au profit d’un usage carcéral reviendrait à sacrifier une richesse culturelle au nom d’un projet de confinement. Conclusion : un choix à contresens La proposition de restaurer Alcatraz comme prison active ne peut être considérée à la légère. Elle impliquerait une perte économique, culturelle, et symbolique considérable pour San Francisco. Plus qu’un simple site touristique, Alcatraz est un miroir de l’histoire américaine, un pont entre mémoire et éducation. Le réduire à un outil politique sécuritaire serait une régression à la fois économique et morale. ETIENNE

  • Universal Studios débarque au Royaume-Uni : un parc à thème aux ambitions colossales

    L’Angleterre s’apprête à accueillir un nouveau géant du divertissement : Universal Studios Great Britain , un projet de parc à thème qui promet de redéfinir le paysage touristique du pays. Prévu pour s’implanter à Bedfordshire, à environ 70 km au nord de Londres, ce parc sera le tout premier Universal Studios en Europe. Retour sur ce projet titanesque, ses ambitions, et son impact à venir. Des attractions inspirées des plus grandes franchises Même si la liste officielle des attractions reste à confirmer, les spéculations vont bon train. Universal détient certaines des franchises les plus populaires au monde, et il est probable que plusieurs d’entre elles soient au cœur du futur parc : Harry Potter : incontournable au Royaume-Uni, une zone immersive autour du monde des sorciers paraît presque inévitable. Jurassic Park , Fast & Furious , Les Minions , ou encore Transformers : ces univers à succès pourraient inspirer montagnes russes, expériences interactives, et spectacles en direct. Le parc comprendra également un complexe hôtelier de 500 chambres, ainsi qu’une zone de restauration et de loisirs ouverte au public, sans billet d’entrée requis. L’attraction la plus populaire au Royaume-Uni aujourd’hui Avant même l’arrivée d’Universal Studios, le parc à thème le plus visité au Royaume-Uni est actuellement Warner Bros. Studio Tour London – The Making of Harry Potter , situé à Leavesden. Ce site, qui propose une immersion dans les coulisses des films Harry Potter, attire plus de 2 millions de visiteurs par an . La popularité durable de cet univers renforce l’hypothèse selon laquelle le futur parc Universal pourrait inclure une zone Harry Potter , ce qui créerait une synergie plutôt qu’une concurrence directe. Une fréquentation estimée à plus de 8 millions de visiteurs par an Dès sa première année, Universal Studios UK ambitionne d’attirer 8,5 millions de visiteurs . Cela en ferait immédiatement l’une des principales attractions touristiques du pays. À titre de comparaison, Disneyland Paris accueille environ 15 millions de visiteurs annuels. Le marché européen, friand de parcs à thème, représente donc une opportunité stratégique de croissance pour Universal. Un prix d’entrée dans la moyenne des parcs internationaux Même si les tarifs définitifs ne sont pas encore dévoilés, les prix des parcs Universal existants permettent d’estimer le coût d’une journée au futur parc britannique : Entre £100 et £130 par personne , selon la saison, le type d’entrée et les éventuels accès coupe-file. Ces prix sont comparables à ceux des parcs américains à Orlando ou Hollywood. Une ouverture prévue pour 2031 Le projet avance selon un calendrier ambitieux : Début de la construction : prévu en 2026 , après l’obtention des autorisations nécessaires. Ouverture au public : estimée à 2031 , soit dans moins d’une décennie. Outre l’aspect touristique, l’impact économique est majeur : près de £50 milliards de retombées sont attendues pour l’économie britannique d’ici 2055, ainsi que la création de 28 000 emplois . Vers une redéfinition du tourisme en Europe ? L’arrivée d’Universal Studios en Angleterre pourrait transformer l’Europe du divertissement, jusque-là dominée par Disneyland Paris. Toutefois, les parcs américains de la marque conserveront leur attrait international, notamment grâce à des expériences exclusives et leur rôle dans des vacances longue distance. ETIENNE

  • Pour les inconditionnels de Ryanair... Bon courage

    Ryanair a récemment renforcé sa politique tarifaire en introduisant de nouveaux suppléments et amendes pour ses passagers, applicables à partir du 1er mai 2025. Voici les principales mesures à connaître : Amende de 100 € pour arrivée tardive Les passagers qui se présentent à l'aéroport moins de 40 minutes avant l'heure de départ de leur vol devront s'acquitter d'une amende de 100 €, même s'ils parviennent à embarquer. Cette mesure vise à encourager la ponctualité et à réduire les retards liés aux enregistrements de dernière minute. Fin des cartes d'embarquement papier À partir du 3 novembre 2025, Ryanair supprimera les cartes d'embarquement papier. Les passagers devront utiliser l'application mobile de la compagnie pour obtenir leur carte d'embarquement numérique. Cette initiative vise à réduire les déchets et à améliorer l'expérience client, bien qu'elle puisse poser des défis pour les voyageurs sans smartphone. Augmentation des frais de bagages Ryanair a également revu à la hausse ses frais de bagages. Les frais pour les bagages en cabine peuvent atteindre 60 € s'ils sont ajoutés après la réservation ou à l'aéroport. Les bagages en soute sont facturés entre 10 et 60 € jusqu'à 20 kg, avec un supplément de 13 € par kilogramme supplémentaire. Frais inattendus pour objets personnels Des passagers ont signalé des frais imprévus, comme une amende de 63 $ pour avoir transporté une bouteille d'eau en métal attachée à un sac à dos, rendant le bagage plus volumineux que les dimensions autorisées pour un billet non-prioritaire . Conseils pour éviter les frais supplémentaires Arrivez à l'aéroport au moins 2 heures avant le départ pour les vols court-courriers, et 3 heures pour les vols long-courriers. Enregistrez-vous en ligne via l'application Ryanair pour éviter les frais d'enregistrement à l'aéroport. Respectez les dimensions et le poids autorisés pour vos bagages à main et en soute. Assurez-vous que votre smartphone est chargé et que l'application Ryanair fonctionne correctement pour accéder à votre carte d'embarquement numérique. En respectant ces recommandations, vous pourrez éviter les frais supplémentaires et voyager sereinement avec Ryanair. ET POUR LES FUTURS NOUVEAUX AVIONS RYANAIR QU'EN EST-IL?? À ce jour, Ryanair n'a pas concrétisé l'achat d'avions chinois, mais la compagnie envisage cette possibilité à moyen ou long terme. En 2011, Ryanair a signé un protocole d'accord avec le constructeur chinois COMAC pour participer au développement du C919, un avion monocouloir concurrent des Boeing 737 et Airbus A320 . Le PDG Michael O'Leary a récemment réaffirmé l'intérêt de Ryanair pour une alternative aux deux grands constructeurs occidentaux, tout en soulignant que le C919 ne sera probablement pas pertinent pour la compagnie avant la seconde moitié des années 2030 . Cette ouverture vers COMAC s'inscrit dans un contexte de tensions commerciales entre les États-Unis et l'Union européenne, notamment en raison de l'imposition de tarifs douaniers sur les avions américains. O'Leary a averti que Ryanair pourrait annuler ses commandes de Boeing si ces tarifs augmentaient les coûts de manière significative . Il a également exprimé sa volonté de considérer des fournisseurs alternatifs, y compris COMAC, si cela permettait de réduire les coûts de 10 à 20 % par rapport à Airbus . Cependant, des obstacles subsistent. Le C919 n'est pas encore certifié en Europe, et sa capacité actuelle ne répond pas aux besoins spécifiques de Ryanair . De plus, des préoccupations politiques et sécuritaires ont été soulevées. Un membre du Congrès américain a mis en garde Ryanair contre l'achat d'avions chinois, invoquant des risques liés à la sécurité nationale et aux liens présumés entre COMAC et l'armée chinoise . En résumé, bien que Ryanair n'ait pas encore acheté d'avions chinois, la compagnie reste ouverte à cette option à long terme, en fonction de l'évolution du marché, des considérations économiques et des développements géopolitiques. ETIENNE

  • Voyage durable et conseil expert : le futur des agences et TO belges en 2025

    Vous le savez probablement déjà, mais un petit rappel peut toujours servir. En 2025, l’industrie du voyage en Belgique est à un tournant. Les agences et tour-opérateurs (TO) doivent faire face à des mutations rapides : pression concurrentielle des plateformes en ligne, attentes accrues en matière de durabilité, et besoin de réhumaniser l’expérience client. Dans ce contexte, deux leviers majeurs émergent comme clés de différenciation : l'engagement dans le voyage durable et la valorisation du conseil humain expert . Le tourisme durable : d’une tendance à une exigence La prise de conscience environnementale des consommateurs belges transforme profondément la manière dont les voyages sont conçus, vendus et vécus. Aujourd’hui, la majorité des clients recherchent : Des hébergements écologiques ou certifiés durables Des circuits favorisant la mobilité douce ou les transports collectifs Des expériences en lien avec les communautés locales Des compensations carbone et une transparence sur l’impact du voyage Les agences belges doivent adapter leur catalogue et former leurs équipes pour répondre à ces nouvelles attentes. L’intégration du développement durable dans les offres ne peut plus se limiter à un label : il doit être visible, cohérent et crédible à chaque étape du parcours client. Le retour en force de l’expertise humaine Si la digitalisation a bouleversé la vente de voyages, elle n’a pas effacé la valeur ajoutée du contact humain. Au contraire, à l’heure où tout semble automatisable, le conseil sur mesure devient un facteur de confiance et de fidélité. Les clients veulent être écoutés, conseillés, rassurés. Ils attendent une expertise authentique, des recommandations adaptées à leurs envies, et une capacité à réagir en cas d’imprévu. Le rôle du conseiller devient celui d’un “designer d’expériences” , capable de combiner émotions, logistique et sens. L’avenir des agences passe donc par une montée en gamme du service, l’adoption d’outils digitaux pour libérer du temps à forte valeur ajoutée, et une formation continue à l’écoute des évolutions sociétales. Nouvelles alliances, nouvelles pratiques La mutation en cours ne peut se faire sans coopération entre agences et TO. Ensemble, ils peuvent : Développer des produits co-construits, personnalisables et flexibles Mutualiser des outils technologiques (gestion client, contenu dynamique, veille réglementaire) S’unir pour faire pression sur les fournisseurs afin d’améliorer la traçabilité et l’impact des prestations Mettre en place des programmes de formation axés sur la durabilité, l’UX client et la gestion des crises Ces partenariats renforcent la résilience du secteur et permettent d’innover plus vite face aux géants numériques. Conclusion : réinventer, pas seulement résister Les agences de voyages et TO belges ne doivent pas seulement s’adapter : ils doivent réinventer leur rôle, leur modèle, leur valeur ajoutée. En misant sur la durabilité, la qualité de service, la proximité client et la coopération, ils peuvent redevenir les acteurs centraux d’un tourisme plus humain et plus conscient. L’enjeu n’est plus de vendre des billets, mais de donner du sens au voyage . Et c’est là que réside leur avenir. ETIENNE

  • UN NOUVEAU REMANIEMENT QUI POSE QUESTION.

    SOFIE VAN DEN DRIESSCHE, ROOSMARIJN QUARTIER ET INGE GOEDEFROO QUITTENT TUI Après une longue et brillante carrière chez TUI,  Sofie Van den Driessche , Director Product BeNe,  Roosmarijn Quartier , Director Marketing & Distribution Support BeNe et  Inge Goedefroo , Head of Retail Distribution Belgium, quittent l'entreprise. Sofie, Roosmarijn et Inge ont quittés  leurs fonctions chez TUI à compter du 30 avril dernier.. En raison de la mise en place de la nouvelle organisation dans le cadre de la transformation de Markets + Airline, elles ne seront pas remplacées dans leurs fonctions actuelles. Le secteur touristique belge est souvent considéré comme « inféodé » ou subordonné aux Pays-Bas ou à la France pour plusieurs raisons historiques, économiques et culturelles. Voici quelques facteurs qui expliquent cette situation : Poids touristique des voisins La France est la première destination touristique mondiale depuis des décennies, avec Paris, la Côte d'Azur, la Provence, etc. Les Pays-Bas , bien que plus petits, ont développé une image forte grâce à Amsterdam, ses musées, ses canaux, et un bon marketing. Résultat : la Belgique, prise entre deux géants du tourisme, peine à se démarquer à l’international. Manque de stratégie unifiée La Belgique est divisée en plusieurs entités régionales (Wallonie, Flandre, Bruxelles), chacune avec sa propre politique touristique. Cette fragmentation nuit à la cohérence et à la visibilité internationale de la "marque Belgique", contrairement à la stratégie centralisée de ses voisins. Moins d’icônes touristiques mondialement connues La Belgique possède de nombreux atouts (Bruges, Bruxelles, Ardennes, patrimoine UNESCO), mais elle souffre d’un manque d’images fortes comparables à la Tour Eiffel ou aux moulins hollandais dans l’imaginaire collectif. Mobilité transfrontalière et proximité culturelle Les touristes européens, notamment néerlandais et français, traversent facilement la frontière belge. Les offres touristiques belges sont souvent vues comme une extension naturelle des offres françaises ou néerlandaises (même langue, même culture parfois). Moins d’investissement en promotion internationale La Belgique investit moins en marketing touristique à l’étranger , comparée à la France ou aux Pays-Bas, qui ont des agences de promotion très actives. Et je passe sous silence d'autres facteurs tels que fiscalité et administration parfois ,si pas souvent ,plus attractif chez nous voisins Dossier à suivre en tout cas car des réorganisations trop régulières vont inquièter le marché. ETIENNE

  • CP : Brussels Airlines améliore ses résultats au premier trimestre 2025, malgré certains défis

    La stratégie de la compagnie porte ses fruits   Bruxelles, le 29 avril 2025 - Au premier trimestre 2025, Brussels Airlines annonce un EBIT ajusté de -53 millions d'euros, ce qui représente une amélioration de 9% par rapport au premier trimestre de l'année précédente. Bien qu'un résultat négatif au premier trimestre soit courant dans le secteur de l’aviation, Brussels Airlines reste confiante quant à l'atteinte de la rentabilité pour l'ensemble de l'année 2025.   Brussels Airlines a pu améliorer ses performances au premier trimestre par rapport à la même période en 2024. La compagnie aérienne a également connu une augmentation significative de sa capacité, avec plus de 450 vols supplémentaires par rapport au premier trimestre 2024. Le nombre de sièges-kilomètres disponibles a augmenté de 7,3 %.   Trois facteurs importants ont influencé les résultats de Brussels Airlines au cours du premier trimestre 2025 : les tensions et mouvements sociaux en Belgique, avec trois manifestations nationales, ont eu un impact de 5 millions d'euros sur la compagnie aérienne belge. Les troubles politiques en Afrique centrale pèsent également sur les résultats. La situation a des conséquences importantes sur plusieurs marchés d'Afrique subsaharienne desservis par Brussels Airlines. En outre, la flotte long-courrier de la compagnie a dû subir une maintenance planifiée et non planifiée. Un accord temporaire de location avec équipage ( wet-lease ) a permis de maintenir la stabilité opérationnelle, mais a entraîné des coûts supplémentaires.   Malgré ces défis, Brussels Airlines a amélioré ses performances par rapport à la même période en 2024.

  • LE CONGRES  VVR/ UPAV 2025 ETAIT AUSSI UN NETWORKING RICHE EN INFORMATIONS

    Nous partageons avec vous les détails des réponses données par les participants concernés: MSC  -2024, une année record (en juin les objectifs fixés étaient déjà atteints) -La compagnie s'attribue à ce jour plus de 50 % du marché belge des croisières -L'ouverture,à Miami, du plus grand Terminal de croisières du monde, avec une capacité de 36.000 passagers par jour!  MIA CRUISE CAPITAL OF THE WORLD. (Frank Van den Steen) RIU -100 hotels de par le monde. En 2024 ouverture de leur hotel à Chicago, et fin 2025 celui de Toronto -Au printemps 2026 , inauguration de leur 1er hotel en Thailande, à Phuket. -Pour fin 2026, un 3ème hotel à Zanzibar, et un en construction à Dubai. -Et pour rappel,  2 hotels à l'ile Maurice depuis juin 2024.( Peter Hahn) ALLIANZ -2024, excellente année, sauf petit souci technique en septembre 2024. -Nos conditions générales s'avèrent etre excellentes par rapport à la concurrence. Avantageux pour l'AGV et pour le client passager. -Notre place de leader comme assureur  des AGV sur le marché belge  est consolidée..( Olivier Gordenne) DIGITRIPS 3 faits marquants de 2024 Croissance de l’offre Package Dynamic + 32% vs 2023 Intégration de l’offre Rail - Eurostar qui permet aux agences de concevoir un package Train + Hébergement depuis Bruxelles vers Paris, Londres et Amsterdam Mise en ligne de la fonctionnalité Best Price Tracker qui permet aux agences de bénéficier des meilleures conditions tarifaires pour les Hotel only   les 3 nouveautés et prévisions de 2025 En plus de la ligne d’urgence client à destination, activation d’une ligne d’urgence B2B tout produits avec des équipes DigitripsPro disponibles 7/7 24/24 Enrichir l’offre et les fonctionnalités du Dynamic Package afin de permettre aux agences d’être totalement autonomes et leurs permettre de concevoir, en toute autonomie, des offres séjour de plus en plus complètes, et donc, atteindre voire dépasser les progressions de 2024. Inscription record aux Roadshow du printemps avec plus de 175 agents de voyages inscrits Nouveau Branding Digitrips : The easy way to sell travel /  .  DIGITRIPS propose une plateforme de technologie de voyages flexible et dédiée aux professionnels. Dans un écosystème multi-produits, multi-sources et multi-canal. Nous simplifions l’accès aux meilleures offres du marché, optimisons la gestion des réservations et maximisons la rentabilité de nos partenaires. Notre portefuille de solutions permet à chaque marque de développer ses ventes de voyage rapidement et simplement. (Denis Pappi)   AIR EUROPA -2024, une bonne année avec une progression à 2 chiffres. - Pour 2025, nous sommes sur les objectifs, et n'enregistrons pas encore un effet Trump. -Pour 2024 et 2025, un taux d'occupation de plus de 80%, avec une très belle part de marché sur l'Amérique  Latine. -Après 13 années de présence en Belgique, un excellent relationnel/ commercial B2B, avec un helpdesk dédié aux AGV belges. (Manzah Marie-Louise) VOYAGES COPINE -2024 une année plus que positive avec des pertes récupérées en 4 ans plùtot que 5. (après covid) -Des équipes de plus en plus motivées et impliquées dans la stratégie de développement de l'entreprise. -Explosion de succès de notre brochure Wanderlust et du business avec l'arrivée de Karine Bernard. (Tony Hamadouche) PENTA REIZEN / USA -Une croissance générale à tous les niveaux. +12% en 2024. -Jusqu'en février 2025 + 30%,  et puis l'effet Trump.....Mais depuis les ventes sont restées au meme niveau qu'en 2024; -Notre marketing basé (entr'autre) sur une collaboration avec la télévision régionale a prouvé un grand succès et une redoutable efficacité. -Le Canada sera la prochaine destination phare.( Pieter Demuynck) LIVE TO TRAVEL -2024 , LE  chiffre d'affaire le plus important jamais réalisé par notre entreprise. Aussi le lancement de nos destinations vers le Moyen-Orient. (Qatar / Oman / Dubai) -Pas de produits vers les USA. Focus sur l'Afrique du Sud, la Namibie, Tanzanie et Botswana. L'Australie a récupéré son meme niveau de ventes d'avant Covid. -Merci à notre équipe d'Alost qui compte maintenant 27 personnes, et 6 personnes aux Pays Bas. -En 2025 notre site web dédié aux AGV  offrent des vacances de plages inclus l'aérien et un choix h'hotels, l'ensemble commissionné à 12%. -Notre programme Ascension  Kilimandjaro a déjà atteint les 100 passagers en 2025.(Hans Van der Stock) Merci à nos interlocuteurs. Etienne

  • La présentation d'Emirates pendant le Congrès UPAV / VVR mérite une attention particulière.

    Jean-Pierre Martin, GM Belgique a parfaitement résumé le "renouveau" de sa compagnie. 258 appareils en service, 316 en attente de livraison. Pour compenser le retard des fournisseurs, Emirates a implanté depuis novembre 2022 un programme de retrofit sur 110 A380 et 81 B777, avec l'introduction d'une nouvelle Business Class et Premium Economy. Un investissement considérable...   Des nouveaux sièges (38 ou 40)  Business "full flat" cuir dans une configuration 1-2-1, avec mini-bar personnel et 24 sièges Premium Eco en version 2-4-2, ainsi que 256 Eco, disponibles sur leurs vols au départ de Bruxelles. Et last but not least, 2 nouvelles destinations au départ de Dubai à partir du 2 juin prochain, Da Nang via BKK 4 x semaine, et Siem Reap aussi via BKK 3 x semaine.  Et enfin Shenzhen à partir du 2 juillet 2025.  Toutes ces lignes opérées en B777-300. Et enfin, une First class qu'il sera difficile d'égaler. Le confort passager n'arrête pas d'évoluer, ses exigences non plus d'ailleurs. ETIENNE

  • Chaos à l’aéroport de Charleroi : files d’attente interminables, crise sociale… et départ du CEO

    L’aéroport de Charleroi (BSCA) traverse une zone de turbulences. Entre chaos logistique, malaise social et départ confirmé de son CEO Philippe Verdonck, les dernières semaines ont mis en lumière des dysfonctionnements profonds au sein de l’un des hubs aériens les plus fréquentés de Belgique. Des passagers à bout dans des files d’attente interminables Tout a commencé fin mars et début avril 2025, quand des centaines de passagers ont dû faire face à des files d’attente de plusieurs heures pour passer les contrôles de sécurité. Malgré leur arrivée anticipée, certains ont même raté leur vol. La scène était surréaliste : voyageurs assis par terre, enfants en pleurs, agents de sécurité débordés, voire agressés verbalement dans certains cas. La cause ? Un manque criant de personnel chez G4S, prestataire chargé de la sécurité, couplé à une mauvaise anticipation de l’affluence. Un agent de sécurité évoquait même un “sous-effectif organisé”, pointant du doigt les commandes insuffisantes de personnel par la direction de BSCA Security. Grève, tensions, et démissions en interne La situation a rapidement dégénéré. Le personnel de sécurité a brièvement arrêté le travail pour dénoncer la dégradation de leurs conditions. Dans les coulisses, le climat n’était guère plus serein. Plusieurs plaintes pour harcèlement moral visaient la direction, et le médecin du travail de l’aéroport a même claqué la porte, parlant de “harcèlement silencieux”. Le CEO sur le départ : une surprise… ou pas ? C’est dans ce contexte tendu que le conseil d’administration de BSCA a annoncé le départ de Philippe Verdonck, CEO de l’aéroport depuis 2019. Officiellement, il restera en place jusqu’à la nomination d’un successeur. Officieusement, la grogne sociale, les dysfonctionnements organisationnels, et la pression médiatique ont précipité cette décision. “Les problèmes de sécurité ont été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase”, a rapporté La Libre Belgique . Une direction à reconstruire Le départ de Verdonck n’est pas un cas isolé. Ces derniers mois, plusieurs membres clés de la direction ont quitté le navire, réduisant l’équipe de gestion à trois personnes seulement. À cela s’ajoute la colère de compagnies comme Ryanair, qui ont publiquement critiqué la gestion du flux passager. Et maintenant ? L'aéroport tente de rassurer en recommandant aux voyageurs d’arriver trois heures à l’avance. Mais tant qu’une nouvelle direction ne sera pas nommée, et tant que les problèmes de fond ne seront pas résolus, la confiance des passagers — et des employés — reste en suspens. ETIENNE

  • Air Belgium : 10 500 passagers et des centaines d’agences de voyages laissés pour compte. Il est temps de créer un fonds de garantie.

    La faillite d’ Air Belgium a fait l’effet d’un séisme pour plus de 10 500 passagers . Des voyages réservés, parfois depuis des mois, envolés. Des remboursements inexistants. Et un sentiment d’abandon profond. Mais les clients ne sont pas les seuls à avoir subi des pertes. Des centaines d’agences de voyages ont, elles aussi, été frappées de plein fouet : billets payés mais non honorés, remboursement impossible, et dans certains cas, obligation de rembourser leurs clients sur fonds propres . Une double peine injustifiable. Une inégalité flagrante Les agences de voyages sont légalement tenues de contribuer à un fonds de garantie (comme le Fonds de Garantie Voyages en Belgique). Ce système protège les consommateurs en cas de faillite de l’agence ou du tour-opérateur. Mais du côté des compagnies aériennes ? Rien. Aucune obligation de constituer un fonds. Aucun mécanisme de protection. Si une compagnie fait faillite, les passagers sont abandonnés, les agences en crise, et les institutions... silencieuses. Un obstacle bien connu : le lobby aérien Pourquoi ce vide persiste-t-il ? Parce qu’un obstacle majeur bloque toute tentative de réforme : le lobby des compagnies aériennes . Et parmi ses figures les plus farouchement opposées à un fonds de garantie, Ryanair en tête. La compagnie low-cost milite depuis des années contre l’idée de "payer pour les autres". Elle refuse toute forme de mutualisation des risques, menaçant même de quitter des marchés si elle est contrainte de contribuer à un fonds. Cette logique individualiste oublie que l’aviation est un secteur interconnecté : quand une compagnie tombe, c’est tout un écosystème – agences, passagers, aéroports – qui vacille. Il est temps de rétablir l’équilibre Créer un fonds de garantie aérien n’est pas une révolution. C’est une mesure de bon sens, équitable et responsable. Il pourrait être financé par une micro-contribution de 0,50 à 1 € par billet vendu – une somme négligeable pour le consommateur, mais cruciale en cas de crise. Ce fonds servirait à : Rembourser les billets non honorés, Couvrir les frais de rapatriement, Protéger les agences de voyages intermédiaires.  La Belgique peut (et doit) montrer l’exemple L’Union européenne tarde à harmoniser ce type de protection. En attendant, la Belgique peut prendre les devants . Comme elle l’a fait pour d’autres mécanismes de solidarité, elle peut instaurer un modèle que d’autres suivront. Laisser-faire ou protection des citoyens ? Face aux pressions du secteur aérien , faut-il céder au chantage économique ? Ou défendre les droits des passagers et des professionnels du voyage ? La réponse devrait être évidente. Il est temps d’agir . Pas demain. Pas après la prochaine faillite. Maintenant. Etienne

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