Résultats de recherche
271 résultats trouvés avec une recherche vide
- Belgique : L’Art de Taxer Après Coup – Quand la Boarding Tax Atterrit sur Vos Billets Déjà Payés
Bienvenue en Belgique, ce laboratoire surréaliste où la fiscalité semble parfois écrite par des scénaristes de théâtre d’absurde. Dernier acte en date : la “boarding tax”, une taxe d’embarquement revue et corrigée pour atteindre 5 € sur les vols intra-européens de plus de 500 km… y compris ceux réservés avant son entrée en vigueur. Brussels Airlines, pourtant en convalescence post-Covid , doit aujourd’hui encaisser une facture d’un million d’euros pour des billets vendus en toute légalité, bien avant que le gouvernement ne sorte cette trouvaille fiscale de son chapeau. Résultat : une provision d’urgence, un été plombé, et une concurrence qui jubile. Une taxe rétroactive : l’art de punir après service Imaginez : vous achetez un billet en mars pour partir en juillet. En avril, une nouvelle taxe est imaginée. En mai, elle est votée. Et en juillet, elle vous est appliquée… mais uniquement du côté de la compagnie aérienne. Le passager, lui, ne verra rien sur son ticket. Le transporteur, en revanche, doit avaler la pilule. C’est un peu comme si un restaurateur recevait une facture de TVA surprise sur des menus déjà servis… et digérés. Taxe écologique ou cache-misère budgétaire ? Officiellement, la boarding tax vise à encourager le train pour les courts trajets. L’intention semble louable. Dans les faits, c’est une autre chanson. Les vols de moins de 500 km sont déjà surtaxés à 10 € ; Les vols long-courriers, pourtant les plus polluants, ne sont pas concernés par cette hausse ; Et les passagers déjà enregistrés… ne sont pas épargnés. La conclusion est limpide : cette taxe ne change rien aux habitudes de vol, elle incite simplement à éviter Bruxelles comme aéroport de départ. Une spécialité belge : se tirer dans l’aile Le gouvernement fédéral, sous pression de Bart De Wever, cherche à rebalancer les efforts fiscaux entre Régions. Résultat : on frappe Brussels Airlines en pleine montée en régime, tout en épargnant les low-costs établis à Charleroi ou les géants comme Lufthansa. Pendant ce temps, Ryanair, Transavia ou même les aéroports frontaliers (Lille, Eindhoven, Cologne) attirent les voyageurs en quête d’un vol plus… rationnellement taxé. Bravo pour l’attractivité économique. Et après ? Une taxe sur la poignée de valise ? À ce rythme, tout devient envisageable : une redevance sur les valises restées trop longtemps sur le tapis roulant ? Un prélèvement sur les minutes passées dans la file de contrôle ? Tout sauf toucher à la voiture, toujours reine des politiques molles. Conclusion : Taxer l’avion, oui. Le faire à l’aveugle, non. Ce n’est pas la taxation du transport aérien qui choque. C’est la méthode, improvisée, rétroactive, injuste, qui transforme une mesure soi-disant verte en sanction budgétaire déguisée. Et comme souvent en Belgique, ce sont nos propres compagnies qui dégustent. En attendant la prochaine idée lumineuse, préparez-vous : l'été sera chaud… et surtaxé. ETIENNE
- Le WTTC salue la Flandre comme modèle du tourisme de demain
Bruxelles, juillet 2025 — Le Conseil mondial du voyage et du tourisme (WTTC) vient de désigner la Flandre comme un exemple phare en matière de gestion durable du tourisme. Dans son dernier rapport intitulé "Managing Destination Overcrowding: A Call to Action" , l’organisation internationale souligne la pertinence de la stratégie flamande "Travel to Tomorrow" , en l’érigeant en référence pour les destinations confrontées aux défis du sur-tourisme. Une vision tournée vers l’avenir Au cœur de cette reconnaissance, la démarche de Visit Flanders , qui développe depuis plusieurs années une approche novatrice centrée sur le bien-être des résidents, la durabilité et l’inclusion . La stratégie "Travel to Tomorrow" encourage un tourisme respectueux, qui ne vise pas uniquement à accroître le nombre de visiteurs, mais à maximiser la valeur sociale et économique pour la communauté locale. Le WTTC insiste sur le fait que les destinations qui placent les habitants au cœur de la planification touristique sont mieux préparées à faire face aux tensions croissantes liées à la surfréquentation. En cela, la Flandre fait figure de pionnière. Une gouvernance participative exemplaire Le rapport du WTTC souligne l’importance de la concertation locale mise en œuvre en Flandre. Les politiques touristiques sont développées en dialogue avec les citoyens , les autorités locales et les acteurs du secteur. Cette gouvernance intelligente permet d’anticiper les impacts, d’adapter les capacités d’accueil, et d’assurer une meilleure cohabitation entre résidents et visiteurs . En parallèle, la Flandre se distingue par l’utilisation rigoureuse de données locales pour orienter ses décisions : flux de visiteurs, retours d’expérience des habitants, indicateurs de pression… Une méthode saluée pour sa rigueur et sa transparence. Le tourisme comme levier de qualité de vie Plutôt que de voir le tourisme comme une fin en soi, la Flandre l’aborde comme un outil au service du territoire et de ses habitants . Cela se traduit par : des investissements locaux grâce aux recettes touristiques, la préservation du patrimoine culturel et naturel , et le soutien aux initiatives locales valorisant le vivre ensemble . Cette approche humaniste et équilibrée, qui refuse la logique purement quantitative, est selon le WTTC un modèle à suivre pour d'autres régions du monde. Un appel global à repenser le tourisme En publiant ce rapport, le WTTC appelle les destinations à adopter des modèles inspirés de celui de la Flandre , fondés sur trois piliers : participation, durabilité et résilience . L'organisation met toutefois en garde contre les réponses simplistes comme les taxes touristiques punitives ou les interdictions arbitraires, qui risquent de nuire à l’économie locale sans résoudre les causes profondes. En résumé La Flandre est aujourd’hui saluée sur la scène internationale pour avoir su transformer le tourisme en un levier d’équilibre, de durabilité et d’enrichissement mutuel. À travers la stratégie "Travel to Tomorrow" , elle prouve qu’un autre tourisme est possible : plus respectueux, plus juste, et mieux intégré aux dynamiques locales. Le WTTC espère que d’autres territoires emboîteront le pas. ETIENNE
- Scan-cars et tickets virtuels : la chasse à la voiture, nouvel art de vivre bruxellois… au détriment du Tourisme et pas que... !
Chapeau : À Bruxelles, les automobilistes sont devenus les cibles préférées d’une politique de stationnement automatisée, punitive et inefficace. Derrière l’argument écologique, ce sont le commerce de proximité, le tourisme et l’économie urbaine tout entière qui trinquent. Chronique d’un acharnement bureaucratique devenu stratégie par défaut. Une ville sans gouvernement, mais avec des amendes Pendant qu’on attend toujours un gouvernement régional à Bruxelles – après tout, pourquoi se presser quand on peut prolonger la vacance du pouvoir comme on prolonge les délais de recouvrement des amendes –, la machine à punir l’automobiliste tourne à plein régime. Qu’on se le dise : le stationnement est devenu le grand jeu de société local. Les règles sont simples : tu te gares, tu perds. Tu contestes, tu perds plus tard. Et si tu ne payes pas, tu figures dans une statistique de recouvrement lamentable, mais ça n’empêche personne d’annoncer triomphalement des recettes record. Les scan-cars, champions des recettes virtuelles En 2024, les scan-cars – ces sympathiques robots au service de la vertu urbaine – ont craché pour 138 millions d’euros de redevances. C’est beau, c’est propre, ça fait sérieux. Enfin, sérieux… jusqu’au moment où l’on découvre que moins d’un tiers est effectivement encaissé. Mais ce détail n’émeut pas nos gestionnaires. Ils préfèrent se féliciter de cette pluie de contraventions, persuadés qu’ils tiennent là la solution à tous les maux de la ville : réduire la voiture, remplir les caisses (même virtuellement) et convaincre les habitants qu’ils vivent dans la capitale la plus exemplaire d’Europe. Le centre-ville se vide, la périphérie se frotte les mains Résultat ? Les Bruxellois, qui n’en peuvent plus de se faire scanner comme du bétail stationné, ont trouvé la parade : ils filent faire leurs courses et leurs loisirs en périphérie, là où le ticket n’est pas un péage sur le droit de vivre. Les commerçants de Waterloo, Dilbeek ou Wavre disent merci. Les restaurateurs de la périphérie se frottent les mains. Les centres commerciaux extra-muros alignent les parkings gratuits comme des appâts. Et pendant ce temps, le cœur de Bruxelles se vide, lentement mais sûrement, de sa clientèle la plus précieuse : celle qui consomme. Un tourisme freiné à coups de procès-verbaux Mais la saignée ne s’arrête pas là. Le tourisme aussi paie le prix de cette croisade motorisée. On a beau vanter les charmes de la Grand-Place, de l’Atomium ou des institutions européennes, il faut encore pouvoir y accéder. Et dans une ville où le moindre arrêt devient un guet-apens à amende, beaucoup de touristes choisissent désormais de contourner Bruxelles.Les autocaristes rechignent à s’y aventurer, les visiteurs en voiture optent pour Bruges ou Gand, et même les voyageurs étrangers, une fois descendus du Thalys ou de l’avion, découvrent à leurs frais qu’un city-trip dans la « capitale de l’Europe » commence par une course d’obstacles tarifée : taxis chers, parkings rarissimes, signalétique confuse, et une ambiance plus punitive qu’accueillante. Les hôtels s’en plaignent discrètement, les musées comptent leurs visiteurs, et les guides touristiques adaptent leur discours : « Bruxelles ? Charmante, mais gare-toi ailleurs. » Quelle promotion pour une ville qui se rêve vitrine internationale. On voulait un tourisme durable, on obtient un tourisme distant. On pensait réguler, on dissuade. Des principes verts, des résultats gris Ah, bien sûr, on nous explique que c’est une question d’écologie, de mobilité durable, de réappropriation de l’espace public. Très bien. Mais personne ne parle de la dimension économique du désastre. Personne ne se demande combien d’emplois dépendaient de ces flux de visiteurs qui, jadis, venaient faire un peu de shopping, dîner en ville ou se payer une sortie culturelle. Non, ça, c’est secondaire. Ce qui compte, c’est de montrer qu’on lutte contre la voiture, qu’on interdit, qu’on tarifie, qu’on sanctionne. Même si la moitié des amendes finit par s’évaporer. La gouvernance par contravention On en arrive au comble du ridicule : des communes qui inscrivent dans leur budget des recettes fictives – ces fameux “droits constatés” qui ne seront jamais recouvrés – et qui, faute de rentrée réelle, compensent par des hausses d’autres taxes ou une réduction des services. On applaudit la cohérence. On applaudit surtout l’institutionnalisation de la punition automobile comme horizon politique. Car pendant que la Région se cherche un exécutif, les scan-cars, eux, gouvernent déjà. Ils roulent, ils flashent, ils dressent procès-verbal sans débat, sans opposition, sans discernement. C’est la démocratie automatique, le parcmètre vengeur devenu juge et partie. Et qu’on ne vienne pas prétendre que tout cela va financer la mobilité douce : une fois déduits les frais de fonctionnement de cette formidable usine à PV, il ne reste que des miettes pour investir dans les pistes cyclables, les trottoirs ou les transports publics. Bruxelles contre elle-même En réalité, la politique du stationnement bruxellois est devenue un prétexte commode pour masquer l’incapacité chronique de nos élus à élaborer une vision économique cohérente. Le commerce de proximité s’effondre ? C’est la faute d’Amazon. Les restaurants ferment ? C’est la conjoncture. Les salles de spectacle peinent à remplir ? C’est le goût des gens. Le tourisme se replie ? Ce sont les aléas du marché.Mais surtout, surtout, ne jamais remettre en question le dogme anti-voiture qui fait fuir les familles, les seniors, les clients d’un soir et désormais… les visiteurs d’un week-end. ETIENNE
- Brussels Airport passe en mode festival
Les lundis 21 et 28 juillet, Brussels Airport se transforme en mini-festival. De 7h à 19h, des DJ mixeront en live près des portes A (au niveau de Beers & Cheers ). Line-up 21 juillet 07h–09h : Louis XIV · 09h–11h : Breaze · 11h–13h : Mars 13h–15h : 5napback · 15h–17h : Jana Vitiligo · 17h–19h : Hide n Seek Line-up 28 juillet 07h–09h : DJ Sef sansT · 09h–11h : Averix · 11h–13h : Bryan V 13h–15h : Karakals · 15h–17h : Lady Bee · 17h–19h : Andrei Stan Prêt à partir ? L’appli, aussi ! Votre client voyage-t-il bientôt au départ de Brussels Airport ? Alors, n’oubliez pas de lui recommander de télécharger l’application Brussels Airport . Elle lui permet de rester informé en temps réel du statut de son vol et des temps d’attente aux contrôles de sécurité et de douane. Un outil pratique pour un voyage plus fluide et sans stress. Téléhargez l'app
- Changement de coordination au sein de Gigatour : Geoffrey Melin succède à Guillaume Dubois
Gigatour annonce une transition importante dans sa structure organisationnelle. Guillaume Dubois, coordinateur et secrétaire du réseau, passe le relais opérationnel pour rejoindre le Conseil d’administration, où il succède à son père, Éric Dubois, membre co-fondateur du réseau Gigatop devenu Gigatour. « Après quelques temps à coordonner les opérations de terrain, devenir administrateur chez Gigatour est une étape naturelle pour moi. Je quitte le poste de coordinateur et secrétaire l’esprit tranquille, convaincu que Geoffrey Melin saura relever ce défi avec passion et compétence. » — Guillaume Dubois Le choix s’est porté sur Geoffrey Melin pour son expérience professionnelle dans le secteur touristique, son enthousiasme ainsi que sa volonté d’assurer une continuité tout en insufflant une nouvelle dynamique. Professionnel du tourisme depuis de nombreuses années, Geoffrey Melin (39 ans), originaire de Namur, a occupé plusieurs postes à responsabilité dans le secteur : gestionnaire de projets touristiques, responsable commercial pour une plateforme de réservation dédiée aux agences de voyages, puis directeur d’agences chez Interhome. Il dispose ainsi d’une vision à 360° du secteur. « J’ai volontairement quitté mon précédent poste pour m’investir pleinement dans ce projet collectif. Je suis honoré de la confiance accordée. C’est avec beaucoup d’enthousiasme que je m’engage au service du réseau. Je serai un interlocuteur attentif, réactif et engagé aux côtés de chaque membre & des partenaires/fournisseurs. » — Geoffrey Melin Ce changement symbolise la continuité intergénérationnelle et une volonté forte de construire l’avenir avec ambition. L’ensemble des membres de Gigatour souhaite beaucoup de succès à Guillaume et Geoffrey dans leurs nouvelles fonctions & remercie Eric en sachant que leurs chemins se croiseront encore. Ensemble, continuons à faire vivre un réseau solide, profondément humain et tourné vers l’avenir.
- Silverjet dit au revoir à Maité Quijo – et souhaite la bienvenue à Isabelle Antoine
Silverjet remercie chaleureusement Maité Quijo pour ses nombreuses années d’engagement et lui souhaite beaucoup de succès dans sa nouvelle aventure. Parallèlement, nous sommes ravis d’accueillir Isabelle Antoine au sein de notre équipe. Isabelle est bien connue du marché francophone : avec plus de 20 ans d’expérience notamment chez Uniclam et Rainbow, elle apporte une expertise précieuse. Elle se concentrera principalement sur les ventes et débutera le 18 août . Nous nous réjouissons déjà de cette future collaboration !
- Fonds de garantie voyages : Existe depuis 30 ans et vous souhaite un bel été en toute sécurité !
ASSEMBLEE GENERALE ANNUELLE 2025 GFG: Melsbroek, 02/07/2025 Le Fonds de Garantie Voyages (GFG), lors de son Assemblée Générale du 13 juin 2025, a approuvé les comptes 2024, avec un résultat de 100.000 euros. Les fonds propres ont augmenté pour atteindre 4,5 millions d'euros et les différentes réserves (provisions : 20,53 millions) ont été valablement reconstituées. Après l'Assemblée Générale, le Fonds de Garantie Voyages a célébré son 30ème anniversaire dans l'emblématique hôtel Silt de Middelkerke en compagnie de plus de 180 de ses membres, tous, des entreprises de voyages belges. Un magistral feu d'artifice a clôturé cette soirée festive. Les membres se sont réjouis de constater que le Fonds de Garantie Voyages compte 725 jours sans sinistre suivant une faillite et même 745 jours aujourd'hui. La dernière demande d'indemnisation remonte au 19 juin 2023. Il s'agit évidemment du meilleur scénario pour les voyageurs, à savoir ne pas être confrontés à la faillite. Pour éviter les faillites, le Fonds de Garantie Voyages passe au crible ses 442 entreprises membres qui doivent satisfaire à certaines exigences financières, notamment en matière de solvabilité. Les entreprises doivent avoir une base financière solide (pour ceux que cela intéresse : en premier lieu, avoir 15% de fonds propres nets par rapport au total du bilan). Par conséquent, le secteur du voyage, et plus particulièrement le segment des voyagistes, des organisateurs de voyages, du MICE et des agences de voyages, présente l'un des taux d'insolvabilité les plus bas de tous les secteurs en Belgique. Eric Van den Broele, directeur de la recherche et du développement de la célèbre société GraydonCreditsafe, affirme que les membres du GFG constituent un super secteur . « Le Graydon-Creditsafe Ninegrid, qui projette à la fois la santé opérationnelle et la résilience aux chocs des membres du GFG, montre un groupe d'entreprises particulièrement solide ». Vous trouverez plus d'informations à ce sujet dans l'annexe. Il est d'autant plus regrettable que la santé de nos entreprises ait été affectée cette année par des facteurs externes, tels que les vagues de grèves irresponsables et la surréglementation des différents autorités. Les faillites ne peuvent cependant pas être évitées et c'est à ce moment-là que le Fonds de Garantie Voyages prend des mesures exemplaires pour aider les voyageurs : ils seront alors remboursés sans frais à 100 % des sommes versées et s'ils sont à destination, le GFG veillera avant tout à ce qu'ils puissent y rester et rentrer chez eux le jour prévu. Dans le cas contraire, un rapatriement sera envisagé. En 30 ans d'existence, le GFG a ainsi permis à 68 faillites de se terminer avec succès pour les voyageurs . Il a coûté au total 40,5 millions d'euros pour aider un total de 93.000 voyageurs. L'intervention la plus médiatisée a concerné la faillite du groupe Thomas Cook en 2019. Enfin, pour ceux qui connaissent le secteur de l'assurance (en ce qui concerne Solvabilité II ): le SCR (capital de solvabilité requis) du GFG au 31/12/2024 était de 6.881.021 euros, soit un ratio de 317 % (contre 270 % l'année dernière). À titre de comparaison, le ratio SCR moyen des petits, moyens et grands assureurs en Belgique au quatriè me trimestre 2024 était respectivement de 210,8 %, 213,0 % et 183,9 % (source: Assuralia). Le MCR (Minimum Capital Requirement) de GFG au 31/12/2024 était de 2.700.000 €, soit un ratio de 808% (contre 649% l'année précédente). Le Fonds de Garantie Voyages assure actuellement 442 entreprises du secteur des voyages représentant un total de plus de 700 points de vente en Belgique et au Luxembourg. Nous sommes heureux de constater que l'appétit pour les affaires dans le secteur du voyage n'a pas diminué. Au contraire, saviez-vous que le Fonds de Garantie Voyages a attiré 34% de nouveaux membres pendant et après la crise coronale et ce en l'espace d'une demi-décennie. Saviez-vous aussi que le Fonds de Garantie Voyages peut se targuer de la fidélité de ses membres depuis des années. Pas moins de 34% des membres sont affiliés depuis avant l'an 2000. Les noms de tous les membres peuvent être consultés sur le site GFG.be ou sur simple demande via mail@gfg.be . Plus d’info sur www.gfg.be et auprès du GM Mark De Vriendt, tél. 02/240 68 00, mail@gfg.be . Analyse du secteur des voyagistes et agents de voyage (membres de GFG) par GraydonCreditsafe (21/05/2025) Eric Van den Broele, Director Research & Development chez le réputé GraydonCreditsafe, affirme que les membres du GFG forment un « super-sector ». Le 9Grid de Graydon-Creditsafe, qui projette à la fois la santé opérationnelle et la résilience des membres du GFG, ré vèle un groupe d’entreprises particulièrement solide . L’axe X du 9Grid de GraydonCreditsafe projette la santé opérationnelle des membres du GFG. Cette donnée se lit donc en colonnes. La somme de la colonne de gauche indique que seulement 1,1 % des membres du GFG sont consi dérés – selon une méthodologie développée par GraydonCreditsafe mais largement reconnue – comme étant en diffi culté structurelle sur le plan opérationnel. À titre de comparaison, ce chiffre s’élève en moyenne à 6 % dans l’ensemble du tissu entrepreneurial belge, ce qui souligne le caractère exceptionnellement bas de ce pourcentage chez les membres du GFG. Inversement, 96,5 % des membres (somme des entreprises figurant dans la colonne de droite) sont jugées comme étant en bonne voire très bonne santé opérationnelle. Cela positionne les membres du GFG comme l’un des groupes d’entreprises les plus solides de notre pays. L’axe Y indique dans quelle mesure une entreprise est également résistante aux chocs, c’est-à-dire capable d’absorber de futures perturbations de manière autonome, sans devoir recourir à un apport de liquidités supplémentaires sous forme d’injections de capital ou de prêts. Contrairement à l’approche opérationnelle, qui se concentre principalement sur la situation actuelle et l’évolution à court terme, la résistance aux chocs offre un aperçu clair des capacités à long terme. Elle reflète la capacité d’une entreprise à assurer sa continuité. Ici aussi, le chiffre est particulièrement révélateur : parmi les 96,5 % d’entreprises opérationnellement saines, 49,2 % (segment 9) se révèlent en outre particulièrement résistantes aux chocs. On peut affirmer que les membres du GFG – une fois encore en comparaison avec la moyenne des entreprises belges – comptent parmi les groupes d’entreprises les plus solides du pays. © GraydonCreditsafe Segment 1 : Immediate risk of failure and very vulnerable for shocks Segment 2 : Risk of failure and very vulnerable for shocks Segment 3- : Healthy but vulnerable for shocks (Shock Resistance Score = 0) Segment 3+ : Healthy but vulnerable for shocks (Shock Resistance Score = 1) Segment 4 : Immediate risk of failure and vulnerable for shocks Segment 5 : Risk of failure and vulnerable for shocks Segment 6 : Healthy but vulnerable for shocks Segment 7 : Serious risk of failure but shock resistant Segment 8 : Risk of failure but shock resistant Segment 9 : Healthy and shock resistant
- Le Brésil se prépare pour une saison record d’observation de baleines
Entre mai et novembre, le Brésil offre un spectacle naturel unique le long de ses côtes. Les deux espèces les plus fréquentes sont les baleines à bosse (baleia jubarte) et les baleines franches australes, chacune ayant des habitats et des périodes d’observation distinctes. Les baleines à bosse, appelées baleias jubarte en portugais, sont les vedettes de cette saison le long d’une grande partie du littoral brésilien. Ces impressionnants mammifères marins migrent chaque année des eaux froides de l’Antarctique vers les côtes chaudes et calmes du Brésil pour s’y reproduire et mettre bas. Elles sont appréciées des touristes pour leurs comportements « aériens » spectaculaires : avec maints sauts, coups de queue et de nageoires. Elles offrent un véritable ballet aquatique. Fait remarquable : la population de baleines à bosse a fortement augmenté ces dernières années, et l’espèce ne figure plus sur la liste des animaux en danger d’extinction. Cette renaissance témoigne du succès des efforts de conservation au niveau mondial. Selon le dernier recensement aérien de l’Institut Baleia Jubarte, environ 30 000 baleines à bosse longent actuellement la côte brésilienne. Les principales régions d’observation et leurs périodes recommandées sont: - Littoral Nord de São Paulo : la saison d’observation s’y étend de mai à novembre, avec un pic en juin et juillet. En 2025, la saison a commencé tôt avec des premiers signalements dès le 1er mai à Ilhabela et dès le 28 avril à São Sebastião. Au 9 juin, plus de 200 baleines avaient déjà été repérées, laissant présager une saison record. Le Projet Baleia à Vista (ProBaV) joue un rôle clé dans le suivi et l’identification photo des baleines. À ce jour, 718 individus ont été catalogués dans cette région. Le tourisme d’observation devrait attirer 120 000 visiteurs et générer 138 millions R$ (plus de 21 millions d’euros) dans la région, notamment à Caraguatatuba et Ilhabela, où plus de 200 professionnels ont été formés aux bonnes pratiques d'observations. - Bahia (Abrolhos, Praia do Forte) : cette région du nord-est est le principal sanctuaire de reproduction. La saison dure de juillet à novembre, avec un pic en août-septembre. À Praia do Forte, le Projet Baleia Jubarte propose des sorties en mer et des activités éducatives. - Arraial do Cabo (État de Rio de Janeiro) : considérée comme la meilleure zone d’observation terrestre au Brésil selon l’Institut Baleia Jubarte, cette station balnéaire offre une saison d’observation de juin à septembre. Les points de vue de Pontal do Atalaia et Flávia Alessandra offrent d’excellentes opportunités. Le lancement de la saison inclut des conférences et une baleine gonflable géante de 16 mètres permettant d’explorer son anatomie de l’intérieur. - Santa Catarina : sanctuaire des baleines franches australes : classées comme espèce menacée, les baleines franches australes choisissent le littoral sud de l’État de Santa Catarina comme principal site de reproduction. Elles migrent de l’Antarctique vers ces eaux plus calmes pour s’y accoupler, mettre bas et élever leurs petits. La saison s’étend habituellement de juillet à novembre, avec un pic en août-septembre. Mais en 2025, les premiers signalements ont eu lieu entre le 27 et le 29 mai à Praia do Rosa (Imbituba) et Praia do Sol (Laguna). Deux femelles connues, déjà identifiées par le Projet Franca Austral (ProFRANCA), ont été observées. En septembre 2024, 216 baleines franches avaient été recensées entre Rio Grande do Sul et Florianópolis, dont 214 femelles avec leurs petits. L’arrivée anticipée cette année souligne l’importance d’un respect accru des règles d’observation, notamment pour les bateaux et les drones. Quelques conseils pour effectuer une observation responsable Choisir un opérateur certifié : privilégiez les agences accréditées par les autorités locales. Respecter les distances : rester à au moins 100 mètres des animaux en toute circonstance. Utilisation du bateau : moteur allumé, mais hélice arrêtée à l’approche ; interdiction de poursuivre ou de perturber les animaux. Des amendes sont prévues en cas de non-respect. Patience et respect : l’observation dépend des conditions naturelles. C’est aussi un moment de connexion avec la nature et de prise de conscience de la nécessité de protéger nos océans.
- MSC Cruises devient Partenaire Principal Officiel de Tudor Pro Cycling.
3 juillet 2025, Lille, France - MSC Cruises s’associe à Tudor Pro Cycling en tant que Partenaire Principal Officiel jusqu’à la fin de la saison 2027, avec un début marqué par la participation au Tour de France 2025, qui commence le 5 juillet. Le partenariat a été officiellement dévoilé aujourd’hui, lors de la présentation officielle des équipes du Tour de France à Lille, où les maillots de l’équipe ont été révélés pour la première fois, avant le Grand Départ qui aura lieu à Lille, en France, le 5 juillet. MSC Cruises bénéficiera d’une forte visibilité sur la tenue de l’équipe Tudor Pro Cycling, avec un marquage bien en évidence sur les maillots des coureurs ainsi que sur les véhicules de l’équipe, y compris les voitures d’assistance et les bus. Le public découvrira cette nouvelle identité visuelle pour la première fois lors du Tour de France 2025, qui débute ce samedi. Pierfrancesco Vago, Executive Chairman MSC Cruises: « Nous sommes fiers de nous associer à l’équipe Tudor Pro Cycling en tant que Partenaire Principal Officiel, au début de ce nouveau chapitre passionnant pour l’équipe, qui participe pour la première fois au plus grand événement cycliste au monde. Nous sommes impatients de soutenir l’équipe dans ses courses à travers le monde, tout en présentant notre marque à un nouveau public international passionné par ce sport. Les sports collectifs, comme celui-ci, reflètent notre engagement à offrir des expériences exceptionnelles, fondées sur le travail d’équipe, l’excellence et la passion. » Cette initiative marque la première incursion de MSC Cruises dans le monde du cyclisme professionnel, et constitue le dernier partenariat sportif de la compagnie de croisière, qui collabore également avec la Formule 1 ainsi qu’avec certains des clubs de football les plus prestigieux au monde. Raphael Meyer, CEO Tudor Pro Cycling: « Nous sommes honorés et enthousiastes d’accueillir MSC Cruises en tant que nouveau Partenaire Principal de Tudor Pro Cycling. Leur soutien intervient à un moment véritablement historique pour notre équipe, alors que nous nous préparons à participer à notre tout premier Tour de France. Cette étape marque un nouveau chapitre audacieux dans notre parcours, et nous sommes ravis d’avoir MSC Cruises à nos côtés. Ensemble, nous partageons un engagement envers l’excellence, l’innovation et le dépassement des limites, des valeurs qui nous porteront aussi bien sur la route qu’en dehors. » Avec MSC Cruises dont le siège est à Genève, en Suisse, et Tudor Pro Cycling, une équipe suisse fière de ses racines, ce partenariat reflète un héritage national commun et une attention particulière portée aux normes opérationnelles élevées. Les deux organisations accordent une grande importance à la planification, à l’expertise technique et à l’exécution fiable, que ce soit dans la gestion d’opérations complexes de croisière ou dans le soutien aux athlètes d’élite sur la route.
- ABTO : Un Conseil d’Administration resserré sous haute surveillance
Bruxelles, juillet 2025 – L’Association belge des Tours Opérateurs (ABTO) tourne une nouvelle page. Lors de sa dernière assemblée générale, elle a élu un nouveau Conseil d’Administration dont la composition marque une rupture : réduction du nombre de membres , prise de pouvoir par un nouveau président , et redistribution partielle des rôles . Un remaniement stratégique qui soulève autant d’espoirs que de questions. Un nouveau président, une équipe réduite C’est désormais Tim Van den Bergh , Chief Commercial Officer du groupe Sunweb , qui présidera aux destinées de l’ABTO. Il succède à Geert Raes (Wings n Wheels), qui occupait le poste depuis six ans. Le changement le plus marquant ? Le Conseil d’administration passe de neuf à sept membres . Selon les dirigeants, cette réduction vise à « fluidifier la gouvernance et renforcer l’agilité décisionnelle ». La nouvelle composition est la suivante : Président : Tim Van den Bergh (Sunweb Group) Vice-présidents : Thierry Coppejans (TUI) et Paul Ryckaseys (Imagine Travel) Administrateurs : Pierre Fivet (Neckermann), Frank Van den Steen (MSC Cruises), Gunther Batsleer (TUI) Administrateur sortant : Geert Raes (Wings n Wheels) Une représentativité sous tension Si la concentration est censée améliorer l’efficacité, elle interroge la représentativité du secteur dans son ensemble. Deux postes sur sept sont désormais occupés par des représentants de TUI , acteur dominant du marché belge. Les autres membres proviennent eux aussi de groupes bien établis, comme MSC, Sunweb ou Neckermann. Les petits et moyens opérateurs sont, de fait, absents. De même, aucun membre francophone n’a été mis en avant, ce qui soulève une critique récurrente sur la bipolarité communautaire au sein des instances professionnelles du voyage. « Ce conseil est-il à l’image du secteur belge ? Pas encore. On attend des signes d’ouverture. » – Un professionnel du secteur, souhaitant garder l’anonymat. De grands dossiers sur la table Malgré ces réserves, les enjeux sont nombreux et urgents. Parmi les priorités identifiées par les membres du nouveau CA : Renforcer la position du secteur face aux autorités européennes (notamment en ce qui concerne la directive sur les voyages à forfait et la transition verte). Soutenir les agences indépendantes encore fragiles après les crises successives (COVID, inflation, conflits géopolitiques). Intégrer les principes de durabilité dans l’offre touristique, sans céder à une écologie de façade. Accroître la transparence dans les relations B2B et B2C (frais, remboursements, responsabilités contractuelles). Un test de gouvernance à venir Ce nouveau conseil joue gros. Il devra prouver qu’il peut fédérer au-delà des grandes enseignes , répondre aux préoccupations du terrain, et impulser une vision moderne du voyage, inclusive et durable. Le mandat de Tim Van den Bergh s’ouvre donc sous le signe d’un équilibre délicat : moderniser sans exclure, accélérer sans diviser, et surtout, redonner du sens à une association censée parler au nom de tous les tours opérateurs belges . BRAVO AUX HEUREUX ELUS ET BON COURAGE ETIENNE
- « Euroairlines » lance des vols affrétés vers Punta Cana et Cancún depuis Bruxelles dès octobre 2025 — mais ce n’est pas une vraie compagnie aérienne
À partir d’octobre 2025, des vols au départ de Bruxelles (BRU) vers Punta Cana et Cancún apparaîtront sous le nom Euroairlines sur plusieurs plateformes de réservation. Pourtant, malgré son nom, Euroairlines n’est pas une compagnie aérienne au sens classique du terme . Explications. Une « compagnie » atypique Euroairlines est une société espagnole fondée en 2000. Contrairement aux transporteurs traditionnels, elle : exploite quelques vols de taxi aérien , agit comme distributeur de services aériens via les systèmes de réservation mondiaux (GDS), utilise sa plaque IATA (Q4‑291) pour commercialiser des vols opérés par d’autres transporteurs, notamment pour des vols affrétés. Autrement dit, elle ne possède pas de flotte long-courrier ni de réseau régulier . Son rôle est essentiellement commercial et logistique, ce qui peut prêter à confusion pour les voyageurs non avertis. Des vols affrétés vers les Caraïbes dès octobre 2025 En collaboration avec World2Fly Portugal , Euroairlines proposera néanmoins deux lignes saisonnières au départ de Bruxelles : Bruxelles – Punta Cana (PUJ) Premier vol : vendredi 24 octobre 2025 Fréquence : un vol par semaine (vendredi) Opérateur réel : World2Fly Portugal Avion : Airbus A330-300 Bruxelles – Cancún (CUN) Premier vol : jeudi 23 octobre 2025 Fréquence : un vol par semaine (jeudi) Opérateur réel : World2Fly Portugal Avion : Airbus A330-300 Ces vols sont vendus sous le nom Euroairlines, mais opérés en réalité par un autre transporteur , dans le cadre d’un affrètement. Pourquoi la prudence est de mise Le nom « Euroairlines » peut induire en erreur : Les voyageurs pourraient croire réserver auprès d’une compagnie aérienne classique, alors qu’il s’agit d’un intermédiaire . Les conditions de transport (bagages, modifications, annulations) peuvent varier selon l’opérateur réel et les politiques du tour-opérateur ou de la plateforme de réservation. En cas de litige ou d’annulation, la responsabilité directe peut être difficile à établir entre Euroairlines, l’opérateur, et le distributeur. Ce qu’il faut retenir Avantages Points de vigilance Vols directs vers deux destinations phares Euroairlines n'est pas une compagnie exploitante Opérés par un Airbus A330 de World2Fly Bien lire les conditions avant d’acheter Offres intégrées aux packages vacances Vérifier qui est réellement l’opérateur Conclusion : Si vous réservez un vol estampillé « Euroairlines » vers Cancún ou Punta Cana à partir d’octobre 2025, sachez qu’il s’agit d’un vol affrété , opéré par World2Fly Portugal . Cette configuration n’est pas inhabituelle dans le monde du tourisme, mais il est essentiel de comprendre avec qui vous voyagez réellement pour éviter toute mauvaise surprise. ETIENNE
- La VVR célèbre ses 50 ans : une année de festivités inoubliables !
2025 est une année pas comme les autres pour la Vereniging Vlaamse Reisbureaus (VVR) : l’institution fête ses 50 ans d’existence ! Un demi-siècle d’engagement, de passion et de professionnalisme au service des agences de voyages flamandes. Et pour marquer ce cap historique, la VVR voit les choses en grand ! Sous l’impulsion de son CEO charismatique, Koen Van den Bosch et son équipe , un programme festif a été concocté pour remercier les membres, rassembler la grande famille du voyage et honorer ce riche parcours. 25 août : une journée magique à Pairi Daiza Première grande étape de cette célébration : le 25 août prochain , les membres de la VVR sont invités, avec leurs enfants, à vivre une journée exceptionnelle au cœur du parc animalier Pairi Daiza .450 personnes ont déjà confirmé leur venue, et plus de 100 sont encore sur liste d’attente ! Un engouement à la hauteur de l’événement. Afin de préserver le confort de tous, le parc se devra de limiter l’accès — mais pour les chanceux présents : entrée gratuite, parking offert, et un somptueux barbecue festif pour clore cette journée en beauté. Ce sera l’occasion parfaite de partager un moment de joie en famille , dans un cadre enchanteur. 17 octobre : le grand événement anniversaire Le point culminant des festivités aura lieu le 17 octobre . Pour cette soirée d’exception, la VVR lance un défi à ses agences MICE membres et candidates : imaginer un événement à la hauteur des 50 ans de l’organisation. Trois projets prometteurs ont déjà été reçus, et une première session de sélection est prévue la semaine prochaine . Le comité de sélection choisira le concept gagnant et le lieu prestigieux où se déroulera ce moment phare. Suspense garanti, mais excellence assurée. Un livre pour retracer une épopée collective Cette année anniversaire ne serait pas complète sans un hommage à l’histoire remarquable de la VVR. C’est donc tout naturellement qu’un livre retraçant les grandes étapes de cette aventure humaine et professionnelle verra le jour. Il sera dévoilé lors de la soirée du 17 octobre. Une œuvre attendue, écrite par une plume que beaucoup reconnaîtront, pour raconter la passion, les défis et les réussites d’une organisation devenue incontournable dans le paysage du tourisme belge. 50 ans de VVR, 50 ans de liens, de rêves et de projets À travers ces événements, la VVR prouve qu’elle est bien plus qu’une association : c’est une communauté soudée, dynamique, tournée vers l’avenir, sans jamais oublier ses racines . Ces célébrations sont à l’image de ce qu’elle a toujours été : humaine, ambitieuse et pleine de cœur . Bon anniversaire à la VVR ! Et longue vie à cette belle aventure collective. ETIENNE