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  • L'aéroport de Charleroi a- t-il encore un avenir sur le long terme ?

    L’aéroport de Charleroi (Brussels South Charleroi Airport, ou BSCA) a longtemps été une plaque tournante des compagnies low-cost, en particulier Ryanair. Mais son avenir suscite effectivement des interrogations, surtout avec les défis actuels dans le secteur aérien et les pressions environnementales. Voici quelques éléments pour nuancer la réponse : Arguments en faveur de son avenir : Demande toujours présente pour les vols low-cost : Beaucoup de voyageurs, surtout en Wallonie et dans le nord de la France, préfèrent encore Charleroi pour son accessibilité et ses prix attractifs. Investissements récents : L’aéroport a réalisé des travaux pour moderniser ses infrastructures (nouvelle aérogare, extension des parkings, projets d’intermodalité). Ce sont des signes qu’on continue à croire en son potentiel. Diversification progressive : BSCA essaie d’attirer d'autres compagnies que Ryanair, ainsi que du fret aérien, et propose aussi des vols vers des destinations hors Europe. Position géographique stratégique : Proche de Bruxelles, de la frontière française, et bien connectée par autoroute et transports publics. Mais aussi des incertitudes sérieuses : Dépendance à Ryanair : L'aéroport est extrêmement dépendant de Ryanair. Si la compagnie réduit ses vols (comme elle l’a fait temporairement en 2023 en raison d’un désaccord sur les taxes d’aéroport), l’impact est direct et sévère. Pressions écologiques : Le secteur aérien est dans le viseur des politiques climatiques, et les vols courts et low-cost sont particulièrement critiqués. Des taxes environnementales pourraient menacer ce modèle économique. Concurrence : L'aéroport de Zaventem (Bruxelles) reste très proche et attire de plus en plus de low-cost, en plus des compagnies classiques. Evolution du tourisme post-COVID : Certains voyageurs se tournent vers des formes de tourisme plus locales ou plus durables. En résumé : Charleroi a encore un avenir , mais il devra se réinventer . Diversifier ses partenaires, s’adapter à la transition écologique, et mieux intégrer le fret ou les services intermodaux seront les clés pour sa survie à long terme. Mais l’aéroport est-il rentable ? Globalement, oui , l’aéroport a été rentable pendant plusieurs années, mais cela dépend de la période. Avant le COVID (jusqu’en 2019) : BSCA faisait des bénéfices réguliers. 2019 : environ 8 millions de passagers , des résultats financiers positifs. Le modèle Ryanair (low-cost, gros volumes, frais réduits) lui permettait de dégager une marge. Pendant la pandémie (2020-2021) : Gros coup d’arrêt . Le nombre de passagers a chuté drastiquement , comme partout dans le monde. L’aéroport a subi des pertes importantes , compensées en partie par des aides publiques. Après la pandémie (2022-2024) : Le trafic est reparti à la hausse (plus de 7 millions de passagers en 2023, proche des niveaux d’avant crise). Retour à l’ équilibre voire au bénéfice , selon les données disponibles. MAIS : les coûts énergétiques , les taxes environnementales potentielles, et les tensions avec Ryanair (qui réclame des conditions plus favorables) rendent la rentabilité plus fragile . Et donc en conclusion : Charleroi a été rentable dans le passé , et reste potentiellement bénéficiaire maintenant, mais c’est tendu . La dépendance à un seul modèle économique (low-cost, Ryanair) rend la situation instable à moyen terme. S’il y a trop de pression sur les prix, ou si les règles environnementales deviennent plus dures, la marge peut s’évaporer vite . Etienne

  • Communiqué de Presse : Grèves générales : un lourd impact pour notre secteur

    En collaboration avec la VVR, voici les derniers chiffres sur les retombées des grèves : plus de 16 millions d’euros  de pertes pour le secteur du voyage au premier trimestre 2025, plus de 100 000 voyageurs  impactés (dont un tiers via une agence de voyage), et 5,5 millions d’euros  de coût direct pour les agences lors de la dernière grève. L’UPAV continuera de faire entendre la voix du secteur, en rappelant dans la presse que faire appel à une agence de voyages reste la meilleure option pour les voyageurs , particulièrement dans un contexte de perturbations.    N'hésitez pas à les contacter si vous avez besoin de soutien ou de précisions quant à une situation précise que vous rencontrez. Ils préparent actuellement des fiches pratiques qui pourront vous être utiles en cas de grèves dans le transport aérien. info@upav.be www.upav.be

  • L’avenir du train de nuit au départ de Bruxelles

    L’avenir du train de nuit au départ de Bruxelles est en train de reprendre un bel élan après des années de déclin. Voici un petit état des lieux et les perspectives à venir :  Le retour des trains de nuit depuis Bruxelles Pendant longtemps, Bruxelles avait perdu la plupart de ses liaisons nocturnes, mais les choses changent :  Trains actuellement en service ou prévus : Bruxelles – Vienne/Innsbruck : Opéré par Nightjet (ÖBB) . Ce service a repris en 2020 et fonctionne quelques fois par semaine. Bruxelles – Berlin : Lancement prévu ou déjà partiellement en place selon les projets d’opérateurs comme European Sleeper . Bruxelles – Prague : Un autre objectif à moyen terme via Berlin avec European Sleeper .  Les acteurs principaux du renouveau : Nightjet (ÖBB) : Le pionnier du renouveau des trains de nuit en Europe, très actif pour connecter les grandes villes européennes. European Sleeper : Coopérative néerlandaise qui veut relancer plusieurs lignes dont certaines passent ou partent de Bruxelles. Midnight Trains : Une startup française avec des projets ambitieux, mais sans ligne active depuis Bruxelles pour l’instant.  Les défis et opportunités :  Opportunités : Transition écologique : Moins polluant que l’avion sur de longues distances. Confort moderne : Nouvelles cabines plus confortables, wifi, douche, etc. Demande croissante : L’intérêt pour les voyages lents et durables augmente.  Défis : Créneaux ferroviaires : Difficile d’obtenir des horaires nocturnes sur des lignes déjà chargées. Coûts élevés : L’exploitation d’un train de nuit est chère, surtout en comparaison de l’avion. Infrastructure européenne peu harmonisée : Gestion des réseaux, normes de sécurité, etc.  Lignes possibles à l’avenir : Bruxelles – Barcelone/Madrid Bruxelles – Milan Bruxelles – Copenhague/Stockholm Ces lignes sont souvent citées dans les études de faisabilité, mais aucune date officielle n’est encore annoncée. ETIENNE

  • Communiqué de Presse : La Division Croisière du MSC Group inaugure son nouveau terminal au port de Barcelone

    Barcelone, Espagne – 3 avril 2025  – À l’occasion de la première escale d’ EXPLORA II à Barcelone, la Division Croisière du MSC Group a officiellement inauguré son nouveau terminal de croisière. Ce navire est le deuxième de la flotte d’Explora Journeys, la marque de luxe du MSC Group, dédiée à la croisière haut de gamme. La cérémonie d’inauguration, marquée par la traditionnelle découpe du ruban, s’est tenue en présence de nombreuses personnalités, parmi lesquelles : Jose Antonio Santano Clavero, Secrétaire d’État espagnol aux transports et à la mobilité durable ; Carlos Prieto, Délégué du gouvernement central ; Jordi Valls, quatrième adjoint au maire en charge de l’économie, de la fiscalité, de la promotion économique et du tourisme ; Albert Dalmau, Ministre de la Présidence du Gouvernement de Catalogne ; et Jose Alberto Carbonell, Président du Port de Barcelone. Étaient également présents : Pierfrancesco Vago, Président exécutif de la Division Croisière du MSC Group, Gianluca Suprani, Vice-President Senior du développement portuaire chez MSC Cruises, ainsi que Anna Nash, Présidente d’Explora Journeys. Pierfrancesco Vago a déclaré : « Barcelone est un partenaire stratégique du MSC Group depuis plus de quarante ans, et de MSC Cruises depuis plus de 25 ans. Notre engagement envers la ville est indéfectible. Ce nouveau terminal n’est pas seulement un investissement dans des infrastructures portuaires modernes, il incarne également notre volonté de nous inscrire pleinement dans la stratégie de la ville en faveur d’un modèle touristique plus équilibré et durable. C’est aussi un vecteur de retombées économiques positives pour la région. Nous nous réjouissons d’ouvrir ce nouveau chapitre aux côtés du Port de Barcelone et d’offrir aux hôtes de MSC Cruises et d’Explora Journeys tous les avantages qu’apporte ce terminal innovant, moderne et durable. » Le terminal emblématique a été conçu par le célèbre cabinet catalan Ricardo Bofill Taller de Arquitectura. Ce bâtiment avant-gardiste a été pensé pour offrir une parfaite continuité avec l’expérience de croisière. Dès leur arrivée, les hôtes vivent une expérience fluide, reflétant déjà à quai l’élégance, le confort et le service qu’ils retrouveront à bord. Les espaces commerciaux, le vaste salon d’attente disposant de nombreux sièges, ainsi que le salon VIP exclusif réservé aux hôtes MSC Yacht Club et Explora Journeys, offrent une expérience d’embarquement raffinée, sublimée par une belle vue sur le port. À l’extérieur, le revêtement en céramique aux couleurs de la mer rend hommage à l’héritage artistique de Barcelone inspiré de Gaudí.   Soigneusement conçu avec une attention particulière portée à l’environnement et à l’efficacité énergétique, le terminal intègre des technologies à faible consommation et des matériaux durables. Parmi ses nombreuses installations : des panneaux solaires, une optimisation de la lumière naturelle pour limiter l’éclairage artificiel, ainsi qu’un système de récupération des eaux de pluie utilisées pour l’alimentation des sanitaires et l’arrosage des espaces paysagers, afin de réduire la consommation d’eau. Le terminal a obtenu la certification LEED® Gold ( Leadership in Energy and Environmental Design ), qui récompense sa performance énergétique et son exemplarité en matière de responsabilité environnementale.   À partir de 2027, le terminal proposera le service de branchement électrique à quai, permettant aux navires de couper leurs moteurs lors de l’escale en se raccordant au réseau électrique local, permettant ainsi d’éliminer les émissions atmosphériques. ​ ​ ​   Cet été, pour ses itinéraires en Méditerranée, MSC Cruises proposera cinq navires au départ de Barcelone : MSC World Europa, MSC Seaview, MSC Seaside, MSC Magnifica et MSC Orchestra . EXPLORA II fera également des escales régulières à Barcelone, qui figure parmi ses principaux ports d’embarquement.

  • Communiqué de Presse : MSC Cruises et Chantiers de l'Atlantique

    MSC Cruises et Chantiers de L’Atlantique célèbrent à Saint-Nazaire trois étapes clés pour les navires World Class   Le nouveau fleuron ultramoderne de MSC Cruises, MSC World America, est livré en vue de sa cérémonie de baptême au tout nouveau terminal de croisière de PortMiami. Deux autres étapes importantes sont également célébrées avec la cérémonie de la pièce de MSC World Asia et la découpe de la première tôle de MSC World Atlantic, dont le nom vient d’être dévoilé.    Genève, Suisse, le 27 mars 2025  – MSC Cruises et Chantiers de l’Atlantique ont célébré aujourd’hui à Saint-Nazaire, trois étapes majeures pour les navires World Class, avec la livraison de  MSC World America , la cérémonie de la pièce de  MSC World Asia  et la découpe de la première tôle de  MSC World Atlantic , récemment nommé.   Parmi les personnalités présentes figuraient le Commandant Gianluigi Aponte, fondateur et Président du MSC Group, Pierfrancesco Vago, Président exécutif de la Division Croisière du MSC Group, Laurent Castaing, Directeur Général de Chantiers de l’Atlantique, ainsi que Marc Ferracci, Ministre français de l’Industrie et de l’Énergie, accompagnés des équipes de construction de MSC Cruises et des équipes de Chantiers de l’Atlantique ayant participé à la construction du navire au cours des 30 derniers mois.   MSC World America  devient le 23ème navire de la flotte moderne de MSC Cruises. Il sera officiellement baptisé le 9 avril aux États-Unis, dans le nouveau terminal de croisière MSC à Miami, le plus grand au monde. Ce nouveau navire inaugure des espaces inédits et des concepts pensés spécialement pour le marché américain, tout en mariant l’élégance européenne emblématique de la marque au confort à l’américaine. ​ MSC World America – Dimensions   Avec 22 ponts, MSC World America affiche une jauge brute de 216.638t et mesure 333,3 mètres de long pour 47 mètres de large. Avec 2.614 cabines et 38.400 m2 d’espaces publics, il peut accueillir jusqu’à 6.762 passagers et 2.138 membres d’équipage.   MSC World America – Caractéristiques pour les hôtes   MSC World America dévoile un nouveau monde de croisière, alliant à la perfection l’élégance européenne au confort à l’américaine. Ses caractéristiques principales sont:   Sept espaces thématiques distincts conçus pour que chaque passager puisse trouver son bonheur à bord, vivant ainsi une expérience de vacances sur-mesure. 19 points de restauration, y compris le premier restaurant Eataly en mer. 18 bars et lounges, y compris les nouveaux All-Stars Sports Bar et The Loft Comedy Club. The Harbour, un tout nouvel espace extérieur dédié aux familles, comprenant entre autres un manège inédit « Cliffhanger » : une balançoire perchée au-dessus de la mer, ainsi qu’un parcours d’accrobranche, un parc aquatique, une aire de jeux, des espaces dédiés à la détente et une offre de restauration rapide. La World Promenade à ciel ouvert, bordée de boutiques et de restaurants, offre une vue imprenable sur la mer. La pièce maîtresse de cet espace est un des plus hauts toboggans secs en mer s’étirant sur une hauteur de 11 ponts. La World Galleria occupe ici 3 niveaux et regorge d’activités et d’animations en tous genres, de bars, de boutiques et de restaurants. Le plus vaste MSC Yacht Club disponible aux Caraïbes. Cet écrin d’exception dans un monde de choix offre exclusivité et intimité avec un service de majordome à toute heure, un accès réservé par carte-clé et des installations privatives.

  • Coup de gueule d’un lecteur fidèle !

    Bonjour les Tagueurs, Lecteur assidu et admiratif de vos publications depuis le début, je me permets aujourd’hui de vous adresser un coup de gueule que je souhaiterais partager avec votre communauté. Il s’agit d’un billet d’humeur né d’une exaspération profonde face aux 88 jours de grève prévus à la SNCB d’ici fin août. Une grève sur un jour sur trois, qui dépasse largement le cadre syndical pour devenir un sabotage déguisé de toute la mobilité – et en particulier du tourisme. Voici mon coup de gueule :  Touristes en transit, pays en déroute – Le rail belge prend l’Europe en otage 88 jours de grève d’ici fin août. Un jour sur trois. Bienvenue en Belgique, carrefour de l’Europe… et aujourd’hui capitale de l’imprévisible. Pendant qu’on nous serine que le train est la colonne vertébrale de la mobilité durable, il est à l’arrêt. Vertèbre après vertèbre, tout se déboîte. Et ce ne sont pas seulement les navetteurs qui trinquent : ce sont des milliers de touristes, de familles en partance, de voyageurs long courrier, tous pris de court, perdus dans des correspondances fantômes. Un été sabordé par l’immobilité. Les trains ne partent plus ? Les avions, eux, n’attendent pas. Les aéroports s’emmêlent, les compagnies s’adaptent… ou subissent. La logistique aérienne – déjà un casse-tête environnemental et économique – est prise en tenaille entre les grèves sur rails et les injonctions à la vertu verte. Et que propose-t-on aux familles avec poussette, valise, stress et billet non remboursable ? Rien. Ou plutôt : retards, désorganisation, et si vous prenez la voiture pour sauver votre vol, un radar en prime. On veut quoi ? Un tourisme durable… sans mobilité ? Une économie touristique sans souffle ? Une transition verte sans colonne ? À force de grèves, on fracture le lien entre les territoires, les gens, les rêves. Et quand tout sera à l’arrêt, on fera quoi ? On racontera que c’était pour la planète ? Non. Ce n’est pas une transition. C’est une désertion. Signé : Slot (parce qu’un slot, ça se rate vite. Et qu’à force de tout bloquer, on finit par les perdre tous.)

  • Bruxelles risque t-elle de perdre son statut de Capitale de l'Europe ?

    Des journaux sérieux, au-travers d'analyses fournies par des économistes et autres, ont déjà lancés des cris d'alarmes...Mais rien n'avance ni ne change. Dans un souci de "neutralité" nous avons posé la question à ChatGPT son avis.  Voici sa réponse... non corrigée. Ainsi que les dangers pour le Tourisme! ​Bruxelles, en tant que siège des principales institutions de l'Union européenne, est souvent considérée comme la "capitale de l'Europe". Actuellement, il n'existe pas d'indications selon lesquelles elle pourrait perdre ce statut officiel. Cependant, la ville est confrontée à des défis économiques et politiques significatifs qui pourraient, à terme, affecter son rôle central en Europe.​ La Région de Bruxelles-Capitale traverse une crise politique majeure, étant sans gouvernement depuis plus de 230 jours. Cette paralysie institutionnelle a des répercussions économiques notables, notamment une augmentation de la dette régionale qui atteint désormais 14,5 milliards d'euros, contre 5,5 milliards en 2018. Les dépenses dépassent les recettes, générant un déficit important et fragilisant la confiance des investisseurs. En conséquence, l'agence de notation Standard & Poor's a abaissé la note de la région à A+, signalant une diminution de la fiabilité financière de Bruxelles. ​ Les organisations professionnelles, telles que BECI, expriment leur inquiétude face à cette situation, craignant une possible faillite de la région. Elles appellent à un changement radical pour éviter une dégradation supplémentaire de la situation économique. ​ Malgré ces défis, il n'y a pas de discussions officielles ou de projets visant à déplacer les institutions européennes hors de Bruxelles. Néanmoins, si les problèmes économiques et politiques persistent, ils pourraient potentiellement remettre en question l'attractivité de la ville en tant que centre névralgique de l'Union européenne. La situation financière de Bruxelles pourrait avoir un impact sur le tourisme, mais cela dépend de plusieurs facteurs : Investissements dans l'infrastructure et les attractions : Si la ville réduit les budgets alloués à l’entretien des infrastructures touristiques, aux événements culturels ou à la promotion du tourisme, cela pourrait rendre la destination moins attractive. Services publics et sécurité : Une crise financière pourrait affecter la qualité des services publics (propreté, transports, sécurité). Une ville perçue comme moins bien entretenue ou moins sûre peut voir une baisse de fréquentation touristique. Hausse des taxes et des prix : Pour combler son déficit, Bruxelles pourrait augmenter certaines taxes touristiques (taxes de séjour, prix des transports en commun, etc.), ce qui pourrait dissuader certains visiteurs. Impact sur l’image de la ville : Une détérioration de la situation économique pourrait aussi avoir un effet indirect sur la perception de la ville à l’étranger. Une ville en difficulté financière pourrait être perçue comme moins dynamique ou accueillante. Restons positif mais réaliste!

  • Communiqué de Presse : Brussels Airlines dévoile "Atomium", sa nouvelle Icône Belge

    Et emmène un autre petit bout de la Belgique dans les airs   Bruxelles, le 26 mars 2025 - Brussels Airlines, en fière collaboration avec l'Atomium, est ravie de présenter sa nouvelle Icône Belge dédié au célèbre monument. Après un concours lancé en août dernier, le design gagnant de l'architecte Thomas Faes (Faes Architecture) a été concrétisé. "Atomium" célèbre l’esprit de créativité, d’innovation et de fierté du pays. L’Airbus 320 (immatriculé OO-SNM) est arrivé à Bruxelles tôt ce matin en provenance de l’atelier de peinture et effectuera son premier vol vers Prague demain.   Lors d’un événement organisé dans le hangar de Maintenance & Engineering de Brussels Airlines, les médias, les invités et les employés se sont réunis pour assister à la grande révélation. "Atomium" rend hommage à l’un des symboles les plus reconnus de la Belgique.   L’avion rejoint fièrement la prestigieuse collection des Icônes Belges, renforçant ainsi l’engagement de la compagnie aérienne à mettre en avant le patrimoine local à travers le monde et à transporter un petit bout de la Belgique dans les airs.   D’un concours à la réalité au-dessus des nuages   En août dernier, Brussels Airlines a lancé un concours invitant les Belges et résidents à soumettre des designs capturant l’essence du pays. La réponse a été impressionnante, avec plus de 900 propositions créatives mettant en avant la diversité du patrimoine belge : du cyclisme à l’Art Nouveau, en passant par les bandes dessinées et bien sûr, l’Atomium. Après un processus de sélection rigoureux, 15 finalistes ont été retenus, et un vote public de plus de 50 000 participants a permis de réduire le nombre à cinq finalistes.   Un jury prestigieux - composé notamment de la chanteuse Sandra Kim, du musicien Alex Callier, de l’artiste Philippe Geluck et de la créatrice Gabrielle Szwarcenberg - a finalement choisi le design de l’Atomium, réalisé par l’architecte belge Thomas Faes (Faes Architecture). Son concept a su capturer l’importance historique et l’attrait intemporel du monument emblématique. Depuis son enfance, Thomas était fasciné par cette structure, une admiration qui a inspiré son approche technique du design.

  • Communiqué de Presse : BeTravelCongress 2025 – Vous n’étiez pas encore tout à fait décidé ?

    C’est le moment de sauter le pas ! Les inscriptions partent vite et avec moins de 30 places restantes , il serait dommage de passer à côté de cet évènement incontournable. Pourquoi ne pas manquer cette édition  ? Cette année, le Monténégro  nous ouvre ses portes pour un congrès inspirant et ressourçant . Entre mer et montagne, fjords majestueux et villages de charme, ce joyau méconnu des Balkans  sera le décor idéal pour penser l’avenir du secteur… et faire le plein de connexions. Côté contenu : Bruno Colmant , pour prendre du recul sur notre environnement économique et repartir avec des clés concrètes Dr Sales , un boost commercial pour vendre autrement, avec énergie et efficacité Des ateliers collaboratifs , des échanges riches et des rencontres de qualité dans une ambiance bienveillante Et côté cadre ? Une immersion inoubliable vous attend : Dégustation de vins  dans une ancienne base militaire, visite guidée de Budva , cité fortifiée aux allures vénitiennes, croisière féérique  dans la baie de Kotor avec escale sur l’île Notre-Dame-du-Rocher, et panorama grandiose  depuis le téléphérique dominant la baie Ce congrès , c’est l’occasion de prendre de la hauteur, d’échanger avec d’autres professionnels passionnés, et de vivre un moment fort pour votre réseau et votre activité. Date limite d’inscription : 8 avril   Mais ne tardez pas, les places s’envolent ! Je m’inscris Voir le programme complet   Découvrir les conférences

  • Osons des questions sur certains segments touristiques ?

    1) La communauté LGBT+ internationale va-t-elle éviter les Etats-Unis comme destination touristique?? La communauté internationale LGBTQ+ manifeste une inquiétude croissante quant à la sécurité des voyages aux États-Unis. Des mesures récentes, telles que l'obligation pour les voyageurs d'indiquer leur « sexe à la naissance » lors des procédures d'entrée, suscitent des préoccupations particulières pour les personnes transgenres et non binaires. ​ Plusieurs pays ont émis des recommandations à l'attention de leurs ressortissants LGBTQ+. Par exemple, le Danemark conseille aux personnes transgenres de contacter l'ambassade américaine avant leur voyage si leur passeport comporte la mention de genre « X » ou si elles ont changé de sexe. L'Allemagne a également alerté sur les risques potentiels pour les voyageurs trans et non binaires à l’entrée du territoire américain. Certains États américains restent très accueillants et favorables aux droits des personnes LGBT+. Des villes comme San Francisco, New York, Los Angeles, Chicago et Seattle continuent d’être des destinations sûres et inclusives. Des États comme la Californie, le Massachusetts, l’État de New York, le Vermont et l’Oregon ont des lois fortes en faveur des droits LGBT+, protégeant contre la discrimination et offrant un environnement plus sûr. Cependant, avec les récentes lois fédérales et les restrictions sur les droits des personnes transgenres dans certains États conservateurs (comme la Floride ou le Texas), beaucoup de voyageurs LGBT+ préfèrent éviter certaines régions ou se renseigner avant leur voyage. Donc, bien que les États-Unis ne soient pas un bloc homogène, la prudence reste de mise selon la destination spécifique ! 2) Le tourisme vers la Turquie va-t-il être altéré suite à la répression des nombreuses manifestations? Les récentes manifestations en Turquie, déclenchées par l'arrestation le 19 mars 2025 du maire d'Istanbul, Ekrem Imamoğlu, ont entraîné des troubles significatifs dans plusieurs grandes villes du pays. Ces événements ont conduit à une répression policière intense, avec près de 2 000 arrestations signalées depuis le début des manifestations. ​ Cette situation a incité, entre autres, le ministère français des Affaires étrangères à recommander aux voyageurs de faire preuve de prudence et d'éviter tout rassemblement ou manifestation en Turquie. À Istanbul, des mesures de sécurité renforcées ont été mises en place, notamment des points de contrôle et la fermeture temporaire de certaines stations de métro, ce qui peut perturber les déplacements des touristes.​ Historiquement, des périodes de troubles en Turquie ont eu un impact négatif sur le secteur touristique. Par exemple, lors du mouvement protestataire de 2013, une baisse significative des réservations d'hôtels avait été observée. En conséquence, il est probable que les manifestations actuelles et la répression qui en découle affectent le tourisme en Turquie, du moins à court terme. Les voyageurs potentiels pourraient reconsidérer leurs plans en raison des risques perçus et des perturbations possibles. Il est donc recommandé aux touristes de se tenir informés des développements en cours et de suivre les conseils des autorités compétentes avant de planifier un voyage en Turquie. Qu'en pensez-vous?  Nous attendons vos réactions ou commentaires. Etienne

  • L'Antarctique... le Voyage d'Une Vie ?

    La dernière croisière "L'Antarctique emblématique" de la saison 2024/2025 à bord du Boréal de Ponant s'est déroulée du 2 au 12 mars 2025. Ce voyage d'expédition a offert aux passagers, dont nous faisions partie, une immersion profonde dans les splendeurs du continent blanc.​ Le périple a débuté à Ushuaia, en Argentine, considérée comme la porte d'entrée vers l'Antarctique. Les passagers ont ensuite traversé le légendaire passage de Drake, connu pour ses eaux tumultueuses, avant d'atteindre la péninsule Antarctique. La météo nous fut clémente, juste un fort roulis nous a réveillé un tant soit peu, sans être malade, ni à l'aller ni au retour.. Un très bon signe pour la suite. Qui dit Expédition dit Equipement polaire. La  compagnie offre une parka à chaque passagers et mets à disposition une paire de bottes indispensables. A chacun d'apporter ses propres vêtements et sous-vêtements thermiques. Avons nous souffert du froid ? Durant cette croisière, à vrai dire non!  Bien évidemment un peu de gel, mais lorsque le soleil apparait  le froid est vite oublié. Par contre lorsque le vent se lève, une sensation de moins dix se ressent très vite.  Durant l'expédition, les participants ont eu l'opportunité d'explorer des paysages immaculés, d'observer une faune exceptionnelle, notamment les colonies de manchots papous et à jugulaire, les phoques, léopards des mers, rorquals, baleines à bosses, et diverses espèces d'oiseaux marins prédateurs et autres.  Lors d'une sortie, un groupe de baleines est resté près de notre embarcation pendant plus d'une heure... Notre adrénaline a véritablement explosée. La faune est superbe, mais les paysages sont incomparables, montagnes enneigées, fjords, glaciers, icebergs qui vous offrent des sculptures naturelles à couper le souffle. Vous traversez , en zodiac, une mer de glaçons qui s'entrechoquent sous la coque. Vous découvrez un "autre silence" lorsque le moteur s'éteint, un autre "air" s'empare de vous. Les sorties  sont encadrées par une équipe expérimentée de guides naturalistes. Ceux-ci nous ont permis des approches au plus près de cette nature préservée. ​Des informations précises nous sont distillées tout au long des excursions, et résumées chaque soir au théâtre. Dès le départ de la croisière, le Commandant annonce le programme, qui peut être modifié chaque jour, en fonction de la météo. Nous avons donc fait escale à Aitcho, Palaver Point, Recess Cove, Orne Harbour, Neko Harbour, Port Charcot, Petermann Island, Paradise Bay, Damoy, Portal Point, et Melchior Islands. Et pour les Belges, traverser le Détroit de Gerlache donne un sentiment de fierté et d'admiration pour ces pionniers compatriotes qui ont survécu l'hiver Antarctique. Des découvertes journalières uniques. Des règles aussi. Après chaque sortie à terre, les bottes devaient être nettoyées et désinfectées. L'environnement se doit d'être protégé et préservé.   Nous avons expérimenté beaucoup de croisières, et donc beaucoup d'équipages.  L'équipe du Commandant Mickael DEBIEN  mérite l'excellence. Une présence et assistance constantes. Un commandant toujours présent lors des sorties, non pas pour le "protocole" mais pour le bien être des passagers. Faut-il avoir une bonne condition physique ? Les PMR auront un peu de mal à accompagner certaines sorties, mais oui, un minimum de forme physique nous semble préférable. Le Boréal, est un navire de taille humaine  alliant luxe et confort, qui offre une expérience unique, combinant exploration et bien-être. Les passagers peuvent profiter de conférences enrichissantes sur l'écosystème antarctique, renforçant encore le caractère "Expédition" de cette croisière. La Compagnie du Ponant flattait la gastronomie "française", celle-ci est toujours présente, mais n'est pas l'argument primordial durant ce voyage, pour sélectionner ce croisiériste. ​ Cette aventure a permis aux voyageurs de vivre des moments inoubliables au cœur de l'un des environnements les plus isolés et préservés de la planète, faisant de cette croisière une véritable expédition méritée. Etienne

  • Les Provos

    Le français, c'est une langue magnifique ! J'ai appelé un ami et je lui ai demandé ce qu'il faisait. Il m'a répondu qu'il travaillait sur « le traitement aquathermique des céramiques, du verre, de l'aluminium et de l'Acier sous un environnement contraint ». J'ai été très impressionné... mais pour mieux comprendre, je lui ai demandé des précisions et il m'a déclaré qu'en fait, il faisait la vaisselle à l'eau chaude... sous la surveillance de sa femme! Un esquimau rentre dans un restaurant, il commande le une assiette froide. L'habitude sans doute. Attraction touristique, les marionnettes de Toone sont devenues Wi-Fi : sans fil... les girafes ont développé un très long cou. Tellement elles puent des pieds.

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