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  • Air Belgium : 10 500 passagers et des centaines d’agences de voyages laissés pour compte. Il est temps de créer un fonds de garantie.

    La faillite d’ Air Belgium a fait l’effet d’un séisme pour plus de 10 500 passagers . Des voyages réservés, parfois depuis des mois, envolés. Des remboursements inexistants. Et un sentiment d’abandon profond. Mais les clients ne sont pas les seuls à avoir subi des pertes. Des centaines d’agences de voyages ont, elles aussi, été frappées de plein fouet : billets payés mais non honorés, remboursement impossible, et dans certains cas, obligation de rembourser leurs clients sur fonds propres . Une double peine injustifiable. Une inégalité flagrante Les agences de voyages sont légalement tenues de contribuer à un fonds de garantie (comme le Fonds de Garantie Voyages en Belgique). Ce système protège les consommateurs en cas de faillite de l’agence ou du tour-opérateur. Mais du côté des compagnies aériennes ? Rien. Aucune obligation de constituer un fonds. Aucun mécanisme de protection. Si une compagnie fait faillite, les passagers sont abandonnés, les agences en crise, et les institutions... silencieuses. Un obstacle bien connu : le lobby aérien Pourquoi ce vide persiste-t-il ? Parce qu’un obstacle majeur bloque toute tentative de réforme : le lobby des compagnies aériennes . Et parmi ses figures les plus farouchement opposées à un fonds de garantie, Ryanair en tête. La compagnie low-cost milite depuis des années contre l’idée de "payer pour les autres". Elle refuse toute forme de mutualisation des risques, menaçant même de quitter des marchés si elle est contrainte de contribuer à un fonds. Cette logique individualiste oublie que l’aviation est un secteur interconnecté : quand une compagnie tombe, c’est tout un écosystème – agences, passagers, aéroports – qui vacille. Il est temps de rétablir l’équilibre Créer un fonds de garantie aérien n’est pas une révolution. C’est une mesure de bon sens, équitable et responsable. Il pourrait être financé par une micro-contribution de 0,50 à 1 € par billet vendu – une somme négligeable pour le consommateur, mais cruciale en cas de crise. Ce fonds servirait à : Rembourser les billets non honorés, Couvrir les frais de rapatriement, Protéger les agences de voyages intermédiaires.  La Belgique peut (et doit) montrer l’exemple L’Union européenne tarde à harmoniser ce type de protection. En attendant, la Belgique peut prendre les devants . Comme elle l’a fait pour d’autres mécanismes de solidarité, elle peut instaurer un modèle que d’autres suivront. Laisser-faire ou protection des citoyens ? Face aux pressions du secteur aérien , faut-il céder au chantage économique ? Ou défendre les droits des passagers et des professionnels du voyage ? La réponse devrait être évidente. Il est temps d’agir . Pas demain. Pas après la prochaine faillite. Maintenant. Etienne

  • Le BeTravelCongress 2025 : L’UPAV et la VVR réunissent la profession au Monténégro

    Du 24 au 27 avril 2025, les acteurs du tourisme belge se sont donné rendez-vous à Budva, sur la côte monténégrine, à l’occasion du BeTravelCongress 2025, un événement organisé conjointement par l’Union Professionnelle des Agences de Voyages (UPAV) et la Vereniging Vlaamse Reisbureaus (VVR). Ce congrès annuel s’est imposé comme un moment clé de réflexion, de partage et d’inspiration pour les professionnels du voyage francophones et néerlandophones. Un cadre exceptionnel pour une rencontre stratégique Le Monténégro, petit pays aux paysages spectaculaires et à l’hospitalité reconnue, a accueilli les congressistes dans la charmante ville de Budva. Entre mer Adriatique et montagnes, les participants ont pu profiter d’un cadre inspirant pour échanger autour des enjeux du secteur. L’hôtel Eurostars Queen of Montenegro a servi de point d’ancrage pour les presque 200 professionnels présents, venus de toute la Belgique pour renforcer les liens entre les communautés linguistiques, mais aussi avec les partenaires monténégrins. Parmi les invités de marque, la présence de la ministre  du Tourisme du Monténégro, Ms. Simonida Kordić, a marqué les esprits. Lors de son discours d’ouverture, elle a salué l’initiative belge et exprimé sa volonté de renforcer les partenariats touristiques entre les deux pays, soulignant l’importance du tourisme durable et du rôle central des agences de voyages dans sa promotion.  Conférences de haut niveau et échanges fructueux La journée du vendredi fut marquée par une série d’interventions percutantes. Parmi les orateurs, des figures de renom comme Bruno Colmant , Christophe Jauquet et Laurent H.J. De Smet ont captivé l’auditoire. L’intervention de Bruno Colmant , très attendue, a été l’un des moments forts du congrès. L’économiste belge a livré une analyse brillante et nuancée des perspectives économiques mondiales à l’approche des l’élections mid-term américaines, en mettant en lumière les effets actuels de l'ère Trump au pouvoir sur le tourisme international . Il a notamment alerté sur l’impact que cela pourrait avoir sur la volatilité des marchés financiers et sur le dollar américain , avec des répercussions directes sur les habitudes de consommation touristique et les flux de voyageurs transatlantiques. Son intervention a été largement saluée pour sa clarté et sa pertinence stratégique. Les sessions de networking ont ensuite permis aux agences, tour-opérateurs, compagnies aériennes et acteurs institutionnels de créer ou renforcer leurs collaborations. À la découverte du Monténégro Samedi, les participants ont exploré les merveilles du Monténégro à travers des excursions thématiques : croisière sur le lac Skadar, visite de la vieille ville de Kotor, randonnée dans les parcs nationaux, ou encore découverte du sud du pays à Ulcinj. Ces expériences ont illustré le potentiel touristique de la destination, encore méconnue mais pleine de promesses. Le soir, un gala élégant au Chedi Lustica Bay a permis de célébrer la cohésion et la passion qui unissent les professionnels du voyage. Une clôture inspirante La dernière journée s’est conclue par une croisière dans la baie de Kotor, une vue panoramique depuis les hauteurs grâce à un spectaculaire téléphérique, et un dîner de clôture à l’hôtel Voco à Podgorica. Les congressistes sont repartis avec des idées neuves, des contacts enrichis, et une motivation renouvelée pour faire face aux défis de 2025. Un congrès placé sous le signe de l’unité et de la relance Le BeTravelCongress 2025 aura été, plus qu’un simple événement, un symbole fort de collaboration entre les différentes fédérations belges du voyage, et un tremplin pour la relance du tourisme. Un remerciement tout particulier est adressé à Sébastien Crucifix, Sécrétaire Général de l’UPAV, à Koen van den Bosch, CEO de la VVR, ainsi qu’aux présidents respectifs des deux fédérations, Philippe Hagelstein et Annick Desmet ,pour leur engagement sans faille, leur vision commune et leur capacité à rassembler toute la profession autour de cet événement fédérateur. Leur travail en amont et leur présence bilingue sur le terrain ont grandement contribué au succès de cette édition. Les organisateurs donnent déjà rendez-vous à la profession pour la prochaine édition qui aura lieu à Vilnius du 26 au 29 mars 2026. ETIENNE

  • Communiqué de Presse : Ne ratez pas l'offre Early Bird

    Chers professionnels du tourisme, L’horloge tourne… Il ne vous reste plus que quelques jours pour bénéficier de notre offre exclusive early bird. En effet, celle-ci prend fin le 30 avril 2025. Les exposants les plus réactifs peuvent économiser jusqu’à €525 sur leur réservation de stand pour les deux jours de BTExpo 2025. Pourquoi exposer à BTExpo ? BTExpo est le seul salon à vous assurer une visibilité nationale vous permettant de toucher des agents de voyages de Wallonie, Flandre et Bruxelles. Un événement 100% B2B dédié à la rencontre d’agents de voyages et de professionnels clés. Dates & lieux NOUVEAU: Dimanche 16 novembre 2025 - soirée conviviale entre exposants et agents de voyages au restaurant et au bar du Van der Valk Nivelles. Lundi 17 novembre 2025 - Van der Valk Nivelles. Mardi 18 novembre 2025 - KAA Gent Arena. Programme Réservez votre stand dès maintenant :  Bon de commande BTExpo 2025 Pour toute question n’hésitez pas à contacter Ignace Vermeylen : ignace.vermeylen@btexpo.com

  • Grève générale du 29 avril : le début des vacances de printemps sous tension pour les voyageurs

    Alors que les écoles francophones belges entament leurs vacances de printemps, une grève générale annoncée pour le mardi 29 avril 2025 menace de paralyser l’ensemble du pays , avec des répercussions particulièrement fortes sur le secteur du voyage . À l’appel de plusieurs syndicats, cette journée d’action vise à contester les réformes socio-économiques du gouvernement, mais ses effets collatéraux risquent d’avoir un prix élevé pour les voyageurs… et pour les professionnels du tourisme. Des aéroports potentiellement à l’arrêt Les grèves générales en Belgique ont, par le passé, affecté durement les transports publics et les infrastructures aéroportuaires . L’annonce de celle du 29 avril ravive les inquiétudes : des retards massifs, des annulations de vols ou une paralysie complète des aéroports comme Bruxelles-National ou Charleroi sont redoutés. Une situation qui risque d’impacter de nombreuses familles qui avaient prévu de s’envoler pour quelques jours de détente. Faute de personnel suffisant ou de contrôles de sécurité opérationnels, des centaines de vols pourraient être compromis . Les agences de voyage en première ligne Pour les agences de voyages , le scénario s’annonce une fois de plus complexe. Elles devront répondre dans l’urgence aux appels des clients, reprogrammer des vols, réorganiser des séjours, tout en supportant elles-mêmes les frais liés aux modifications ou aux pertes de réservations . Une réalité financière de plus en plus difficile à encaisser pour un secteur déjà fragilisé par les crises successives. Des compagnies aériennes peu réactives Jusqu’à présent, aucune politique d’assouplissement particulière (ni bons de voyage, ni reports sans frais) n’a été annoncée par les grandes compagnies opérant en Belgique. Cette absence d’anticipation accentue la pression sur les agences et sur les passagers qui se retrouvent dans l’incertitude la plus totale à quelques jours du départ. Et après le 29 avril ? Une série noire en perspective Comme si cela ne suffisait pas, les syndicats ont d’ores et déjà annoncé deux nouvelles journées de grève : Le 27 juin 2025 , soit le tout début des vacances d’été , une période critique pour les départs en avion. Le 22 septembre 2025 , au moment de la reprise scolaire et professionnelle. Ces grèves à répétition, programmées lors des périodes clés du calendrier touristique , laissent peu de place au doute : c’est toute une industrie qui se retrouve prise en otage. Le secteur du voyage dénonce de plus en plus une forme de sabotage économique , ciblant sciemment des moments stratégiques pour maximiser l’impact social , quitte à fragiliser durablement une économie déjà sous pression. Que peuvent faire les voyageurs ? En attendant, les clients sont invités à : Vérifier régulièrement le statut de leur vol et les avis sur les sites officiels. Contacter leur agence de voyage pour connaître les options de report ou de modification. Éviter de se rendre à l’aéroport sans confirmation , au risque de rester bloqués sur place. Conclusion La grève du 29 avril n’est peut-être que le premier épisode d’une série noire pour l’industrie du tourisme . À l’heure où les professionnels du secteur appellent à la stabilité pour garantir la relance, ces mobilisations à répétition – souvent sans dialogue structurant – pourraient bien éroder la confiance des voyageurs et entraîner des dégâts économiques irréversibles . Il devient urgent que les pouvoirs publics, les transporteurs et les syndicats prennent la mesure des dommages collatéraux de ces actions. ETIENNE

  • Rome sous pression : entre deuil papal et raz-de-marée touristique

    Rome, 25 avril 2025 Depuis l’annonce du décès du pape François, survenue le 21 avril à 07H35, la capitale italienne est entrée dans une période de deuil historique… et de surchauffe logistique. En quelques heures à peine, la ville éternelle est redevenue le centre du monde catholique, attirant fidèles, curieux et médias du monde entier. Un événement spirituel majeur, mais aussi un défi colossal pour Rome, confrontée à une vague touristique sans précédent depuis le Jubilé de 2000. Rome en état d’alerte À peine l’annonce officielle du décès diffusée par le Vatican, les autorités italiennes ont déclenché l’activation du plan de gestion de crise "San Pietro", conçu pour encadrer les grands rassemblements religieux. La priorité : garantir la sécurité des lieux saints, assurer la fluidité du trafic, et encadrer l’arrivée de centaines de milliers de personnes attendues dans les  prochains jours. Plus de 8 000 policiers, carabiniers et militaires ont été mobilisés à Rome, notamment autour de la Cité du Vatican, de l’aéroport Léonard-de-Vinci et des principales gares. Des unités anti-drones ont été déployées, et une zone d’exclusion aérienne a été décrétée au-dessus de la basilique Saint-Pierre. Le calendrier est serré : exposition du corps du pape pendant trois jours, messe de funérailles solennelle, puis conclave à huis clos pour l’élection du successeur. La ville s’attend à accueillir jusqu’à 2 millions de personnes en une semaine — un record absolu depuis la canonisation de Jean-Paul II en 2014. Le tourisme religieux : entre foi et business Le décès d’un pape est un événement spirituel d’une ampleur unique, mais il fait aussi tourner une mécanique touristique bien huilée. Depuis lundi matin, la ville éternelle est devenue la capitale mondiale du recueillement… et de la consommation religieuse. Des dizaines de milliers de pèlerins affluent chaque jour sur la place Saint-Pierre. Certains viennent prier, d’autres simplement "voir" : voir le Vatican en deuil, voir le cercueil du pape exposé dans la basilique, voir un moment d’Histoire. Les files d’attente s’étendent parfois sur plus de 2 kilomètres , sous un soleil d’avril. Les vendeurs ambulants, eux, n’ont pas attendu. Chapelets, portraits du pape, foulards "In Memoriam", bouteilles d’eau estampillées d’une colombe : tout se vend, partout. À peine le décès annoncé, les boutiques de souvenirs ont actualisé leurs vitrines. Certains produits sont même proposés à des prix gonflés de 50 à 70 % , sans vergogne. Un phénomène que certains observateurs dénoncent comme une forme de “ pèlerinage à double vitesse ” : « Ceux qui peuvent payer sont à l’hôtel, bien installés. Les autres dorment dans la rue ou dans les halls de gare. L’émotion est réelle, mais elle cohabite avec une logique de profit très visible », explique un prêtre français en mission à Rome. Les agences de voyage spécialisées en tourisme religieux ont vu leurs réservations exploser. Plusieurs compagnies ont affrété des vols spéciaux depuis l’Amérique latine, les Philippines ou la Pologne, pays historiquement attachés au Vatican. Certaines places pour assister aux funérailles se négocient désormais sur Internet, malgré les mises en garde du Saint-Siège contre toute forme de revente. Bien que l’accès aux funérailles soit gratuit et libre , des offres illégales ont été repérées en ligne — un rappel cynique de la marchandisation de la foi. Le quotidien des Romains bouleversé Si Rome a l’habitude des foules, le décès d’un pape provoque un choc d’une autre envergure. Entre la ferveur religieuse et la pression touristique, le quotidien des habitants tourne au parcours d’obstacles. Dans les transports en commun, les scènes sont dignes des heures de pointe à Tokyo : métros bondés , lignes de bus saturées, et de longues marches imposées à ceux qui n’ont pas le courage d’attendre. Les écoles situées près du Vatican ont adapté leurs horaires, et de nombreuses entreprises autorisent le télétravail pour éviter les déplacements. Du côté des commerces, l’afflux de visiteurs fait grimper les ventes... et les tensions. « On n’arrête pas. Lundi, on a fait en une matinée ce qu’on fait normalement en trois jours », confie Claudio, gérant d’une pizzeria près de Borgo Pio. À l’inverse, d’autres, comme les pharmaciens ou les habitants des quartiers historiques, dénoncent une ville “verrouillée” par la sécurité et dénaturée par l’afflux massif . Rome, comme à chaque moment charnière de l’histoire catholique, vacille entre la fierté de son rôle central et la fatigue d’être envahie. Conclusion : une ville entre recueillement et rentabilité Rome vit un moment rare, à la croisée de l’Histoire et de la ferveur. Si la tristesse est bien réelle sur les visages, elle se mêle à une effervescence presque paradoxale. Derrière chaque pèlerin, il y a une réservation, un repas, une dépense. Derrière chaque prière, une logistique millimétrée. C’est le paradoxe de Rome, ville sacrée et ville-monde : capable de vibrer au rythme d’un deuil universel , tout en absorbant l’impact économique d’un événement planétaire. Entre recueillement sincère et tensions visibles, la capitale italienne, une fois encore, marche sur un fil. Bientôt le conclave pour élire le nouveau Pape, les paris sont ouverts... Aussi, pour ceux qui ne l'ont pas encore visionné au cinéma ou ailleurs, je vous recommande de regarder le film "Conclave"... Une découverte fiction dans les coulisses du Vatican, avec une surprise finale qui ne laissera personne indifférent. ETIENNE

  • Communiqué de Presse : Brussels South Charleroi Airport

    Bonjour ,  Le printemps est là, les beaux jours sont de retour et les journées s’allongent… Des envies d’évasion ? L’aéroport de Charleroi et sa mascotte Charlie vous accueillent dans une ambiance chaleureuse à l’occasion des vacances de printemps.  Que diriez-vous d’une petite escapade ? L’aéroport de Charleroi vous propose un large choix de destinations, que ce soit pour profiter des prochaines semaines de congé en famille, ou pour rentabiliser les week-ends prolongés qui nous attendent. Pour un voyage tout en douceur, et en raison de la forte affluence attendue durant les vacances de printemps et au-delà, il est fortement recommandé de se présenter à l’aéroport trois heures avant l’heure de départ prévue . Des envies d’ailleurs ?   C’est le coup d’envoi de la saison estivale à l’aéroport de Charleroi ! A cette occasion, nous célébrons l’arrivée de plusieurs destinations et le retour de quelques autres qui devraient vous faire rêver : Katowice, cette superbe cité industrielle devenue culturelle Salerne, nichée entre mer et montagnes Volos, qui vous séduira par son charme grecque authentique Mais pas que ! A BSCA, c’est plus de 200 destinations, dont 140 en vols directs vers plus de 60 pays. De quoi vous faire rêver jusqu’aux prochaines vacances !

  • Congrès UPAV/ VVR 2025

    Un Congrès fully booked et bien chargé.  Avec une découverte du Montenegro selon les goûts des participants.  Nous reviendrons plus en détails sur cet événement dans notre prochaine.  Un rapide résumé quand même : Des conférenciers triés sur le volet, dont Bruno Colmant qui a bluffé son auditoire avec un contenu d'actualité pour l'industrie du voyage. Un pays qui veut promotionner son tourisme au travers d'une intervention de son Ministre responsable.  Des déclarations positives de quelques figures de notre industrie sur l'année 2024/2025. Et bien sûr ce Congrès jumelé UPAV/ VVR qui en est à sa 3ème édition, et qui grâce à ses instances dirigeantes ont réussi à rendre cet événement incontournable. Petit clin d'œil particulier pour un participant qui a eu la surprise de devoir fêter son anniversaire avec toute l'assemblée : Pieter Demuynck. Suite dans le prochain numéro, et en attendant quelque photos pour partager des moments forts.  Beau succès en tout cas.  Etienne

  • Communiqué de Presse : TUI Tendances

    Grâce à la réforme du calendrier scolaire et à la séparation des périodes de congé entre écoliers francophones et néerlandophones, les vacances de printemps s’imposent aujourd’hui comme une période de choix pour les voyageurs francophones. Moins de pression sur la demande, des prix de basse saison, une meilleure disponibilité des vols, des hébergements et des destinations : les conditions sont idéales pour partir à l’étranger ou s’offrir une escapade près de chez nous. Les chiffres de réservations de TUI, le premier touropérateur du pays, montrent le succès des destinations méditerranéennes, même si les stations balnéaires égyptiennes, à l’ensoleillement garanti, enregistrent des croissances importantes. Selon les chiffres de réservations de TUI, le premier tour-opérateur du pays, 85 % des francophones choisissent des vacances en avion pour ces vacances de printemps. Du côté des destinations, les choix sont assez classiques : l’Espagne reste la destination la plus prisée et attire près d’un tiers des voyageurs. Les îles Canaries restent très populaires, Tenerife en tête. Fuerteventura, sa voisine plus discrète, enregistre une progression remarquable de 89 % par rapport à l’année passée. La Grèce, dont l’offre n’était pas encore disponible pour les vacances de Pâques néerlandophones, commence sa saison sur les chapeaux de roue et arrive en 2e position des destinations les plus choisies. Enfin, ce sont surtout les destinations non européennes, qui garantissent un ensoleillement optimal, qui enregistrent les meilleures croissances : la Turquie, la Tunisie ou l’Égypte complètent le top 5 des destinations les plus prisées. Particulièrement plébiscitée par les familles, cette dernière tire son épingle du jeu grâce à son excellent rapport qualité-prix, avec hôtels cinq étoiles, formules all inclusive et nombreuses infrastructures. La station balnéaire de Marsa Alam se distingue avec une croissance spectaculaire de 74 % des réservations. Malgré un choix prédominant pour les destinations ensoleillées, les escapades près de chez nous sont également très populaires. Dans cette catégorie, c’est notre plat pays qui s’impose et réunit un francophone sur deux. La côte belge connait une croissance impressionnante de 61 % des réservations par rapport à l’année passée. Les séjours se concentrent surtout la première semaine avec le jour férié du 1er mai. La première semaine des vacances est globalement plus populaire. De ce fait, le budget de vacances est de 10 %  plus élevé que pour la seconde semaine. Depuis 3 ans, les budgets alloués restent stables : 1109€ en moyenne pour des vacances en avion et 204 € pour une escapade près de chez nous. La destination la plus économique pour des vacances à forfait (formule vol et hébergement) est la Tunisie, en moyenne 884 € pour un séjour moyen de 7 nuits. Á l’opposé, les Maldives figurent comme la destination la plus chère avec 2805€ en moyenne. Top 5 des pays pour des vacances en avion : Espagne, Grèce, Turquie, Tunisie, Égypte ; Top 5 des régions pour des vacances en avion : riviera turque, Tenerife, Djerba, Héraklion, Majorque ; Top 5 des escapades en voiture : Belgique, France, Allemagne, Luxembourg, Pays-Bas.

  • Communiqué de Presse : Webinar # 5 – Season 5 by Visit USA Belgium - VOYAGER AUX USA

    Nous vivons des moments difficiles. Les medias ne cessent de diffuser toutes sortes d’informations sur des difficultés à l’immigration, les parcs nationaux qui fermeraient…ce qui est naturellement fake news, car les parcs sont les joyaux des Etats Unis d’Amérique. Qui mieux que Ira BELL  (Head of Commercial Affairs – US Embassy Brussels) et Pieter DEMUYNCK  (Vice Président Visit USA BELU) peuvent séparer le bon grain de l’ivraie en vous parlant des documents de voyage nécessaires,  le passage des contrôles, l’accès aux parcs et autres attractions ?  A ne pas manquer si vous souhaitez visiter votre destination préférée sans aucun problème.  « Strictly Travel, No Politics » sera le fil conducteur de ce webinar qui aura lieu le mardi 29 avril 2025   à 16 heures. Inscrivez-vous maintenant ! Comme d’habitude ce webinaire fera partie de notre programmeVisit USA Belgium Travel Specialist saison 2024/2025 Visit USA Team Inscrivez-vous ici

  • Le renouveau européen de Brussels Airport

    Zaventem – Avril 2025 Brussels Airport n’est plus seulement une porte d’entrée vers l’Europe. Il devient un symbole du renouveau aéroportuaire , en conjuguant transition écologique, innovation technologique et confort passager. Avec sa stratégie baptisée SHIFT 2027 , l’aéroport bruxellois entend s’imposer comme un modèle européen d’aéroport du futur. Une vision à long terme Derrière le slogan « Wider horizons, sustainable ambitions » , Brussels Airport déploie une feuille de route ambitieuse articulée autour de trois piliers : renforcer son rôle de hub international , diversifier ses activités économiques ,et atteindre la neutralité carbone d’ici 2030 . Plus qu’un plan d’expansion, il s’agit d’un véritable changement de paradigme , dans un secteur aérien en pleine mutation. Des investissements à hauteur d’ambition Avec un plan  de 500 millions d’euros prévu d’ici 2032, Brussels Airport voit grand. Le terminal A s’apprête à être entièrement rénové et agrandi , des technologies de pointe sont mises en œuvre pour fluidifier les opérations, et le fret aérien continue d’évoluer grâce à des infrastructures modernisées et à faible impact environnemental. Confort et expérience passager repensés Le passager est au cœur de cette transformation. L’aéroport mise sur l’hospitalité, le bien-être et l’intelligence numérique .Dès leur arrivée, les voyageurs découvriront : des espaces végétalisés , des zones de repos et de coworking , une signalétique intuitive et des bornes interactives , et bientôt, un embarquement simplifié via reconnaissance biométrique . Une application mobile dédiée offrira une vue en temps réel sur l’attente aux contrôles, les promotions en boutiques ou encore la localisation des bagages. Un aéroport plus vert, plus connecté Objectif carbone neutre : l’aéroport déploie des carburants d’aviation durables (SAF) , des véhicules électriques pour les opérations au sol, et investit massivement dans l’efficacité énergétique de ses bâtiments. Côté accessibilité, le grand projet reste la nouvelle ligne de tram directe entre Brussels Airport et le centre de Bruxelles, attendue à l’horizon 2028 . Un lien rapide, régulier et surtout bas carbone , qui s’ajoutera à une offre ferroviaire déjà dense. Brussels Airport ne se réinvente pas uniquement pour lui-même, mais pour l’Europe. Dans un monde où voyager exige plus de sens, plus de fluidité et moins d’impact, l’aéroport bruxellois prend une longueur d’avance. Etienne

  • Communiqué de Presse UPAV : Bienvenue à nos 2 nouveaux administrateurs !

    À l’issue de notre dernière Assemblée Générale, nous avons le plaisir d’accueillir Florian Vanderhoudelingen (CEO du Groupe Jumbo ) et Gautier Nguyen (Responsable production & vente chez Corsica Travel ) au sein du Conseil d’Administration de l’UPAV . Deux profils aussi différents que complémentaires, qui incarnent à merveille la diversité et la richesse de notre secteur.   Florian Vanderhoudelingen , figure bien connue du monde de l’autocar, a rejoint l’entreprise familiale à Bury dès ses 21 ans, après avoir obtenu son permis de conduire autocar. Il a fait évoluer Jumbo vers une offre toujours plus large, intégrant récemment les voyages en avion et les solutions innovantes basées sur l’intelligence artificielle. Défenseur de la dimension humaine et de l’esprit d’équipe, Florian est aussi engagé de longue date au sein de la FBAA.   Gautier Nguyen , quant à lui, incarne une nouvelle génération de professionnels du tourisme. Avec un parcours atypique — yacht, montagne, guidage, gestion de production — il est aujourd’hui un pilier de Corsica Travel. Fin connaisseur des produits, des tendances et des attentes clients, il s’investit pour une vision durable, agile et connectée du métier, avec une réelle envie de faire bouger les lignes. Les éléments complets de l’Assemblée Générale seront partagés très bientôt.

  • Communiqué de Presse : Le Gate

    Le  GATE  , créé début des années 2000 par la regrettée Nadine DELADRIER -MILLEVILLE, a été relancé en 2024, après une interruption de quelques années en raison notamment de la période COVID, et a trouvé une nouvelle vie sous la forme d'une nouvelle asbl ,résultat de la fusion entre l'asbl "Ski and Discovery Club of Travel Agents"  et l'association originale GATE "Golf Association of Travel Executives". Cette nouvelle asbl s'appelle donc dorénavant "GATE - Golf Ski & Travel Club ASBL/VZW".  En résumé nous l'appelons "GATE"  . Le but du GATE  est d'organiser , suggérer et promouvoir des activités à ses membres issus de l’industrie du tourisme et du voyage en Belgique, principalement pour l'instant autour du Golf et du Ski. Entre 10 et 12 événements durant l'année sont proposés à des conditions spécialement intéressantes et négociées, des éduc-tours ou voyages découvertes autour de ces activités. L'occasion aussi d'échanges entre professionnels en Belgique comme à l'étranger. La cotisation annuelle au GATE est fixée à 100€. En ce début 2025 le GATE compte 45 membres, majoritairement golfeurs mais aussi skieurs, voire les deux. Un tout nouveau site internet vient d’être lancé où vous trouverez le programme des activités à venir et des souvenirs des activités passées :   www.gatetravelclub.be Si vous êtes membres de l'industrie belge du tourisme et du voyage et que vous êtes golfeur et/ou skieur, n'hésitez pas à rejoindre le GATE et inscrivez-vous via ce lien https://forms.gle/Hxjj2uCUiau3oH9eA  ou en contactant le secrétariat à: info@gatetravelclub.be Le COMITÉ du GATE : Mr Denis PAPPI (DIGITRIPS) , Président du GATE Mr Koen van den BOSCH (VVR) Mr Philippe HAGELSTEIN (UPAV & GIGATOUR) Mr Charles-Eric VILAIN XIIII (CRIOLO EVENTS) Mr Luc DEWOLF Mrs Lut DEMAECKER ( OMNIA Travel) Mr Pierre COENEGRACHTS (TOPICS) , Secrétaire Général du  GATE Les 3 premières gagnantes : Karin RUYTHOOREN (TUI Mechelen) Lut DEMAECKER (OMNI TRAVEL) Marianne DEVISSCHER (KLM AIR France)

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