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Mai 2025 — La compagnie aérienne Qatar Airways a récemment annulé sa commande de 25 Boeing 737 MAX 10, assortie de 25 options supplémentaires. Cette décision stratégique marque un tournant dans la politique d’achat de la compagnie, privilégiant désormais une flotte monocouloir entièrement Airbus. Mais au-delà des implications opérationnelles, quelles sont les conséquences financières de cette manœuvre pour les géants de l’aéronautique, Boeing et Airbus ? Retour sur les raisons de l’annulation La commande du 737 MAX 10, annoncée en 2022, faisait suite à une rupture temporaire entre Qatar Airways et Airbus, liée à un litige sur la qualité de la peinture de plusieurs A350. En réponse à l’annulation par Airbus d’une commande de 50 A321neo, Qatar Airways s’était tournée vers Boeing. Toutefois, depuis la réconciliation des deux parties en 2023, la stratégie de Qatar Airways a évolué. Plusieurs éléments ont motivé l’annulation du contrat avec Boeing : Retards persistants dans la certification du 737 MAX 10, compromettant la livraison à temps. Retour en grâce d’Airbus , avec la relance de la commande d’A321neo. Volonté de standardisation de la flotte monocouloir , pour améliorer la rentabilité opérationnelle. Gagnants et perdants à court et moyen terme Boeing : un revers tactique, mais un gain stratégique L’annulation de la commande du 737 MAX 10 représente un coup dur pour Boeing, tant en termes de revenus immédiats qu’en image. Le 737 MAX 10 est toujours en attente de certification, et ce retard affecte la confiance de plusieurs clients internationaux. Cependant, Boeing n’en sort pas entièrement perdant. En parallèle, Qatar Airways a officialisé une commande massive de 210 avions gros-porteurs , incluant : 130 Boeing 787 Dreamliner 30 Boeing 777X Options pour 50 appareils supplémentaires Cette commande, estimée à 96 milliards de dollars , représente un soutien considérable à la branche long-courrier de Boeing, qui reste le point fort du constructeur américain. Airbus : un renforcement sur le segment monocouloir Airbus sort clairement gagnant de cet épisode. La reprise de la commande de 50 A321neo , dont 10 A321LR, renforce sa position dominante sur le segment des avions monocouloirs, particulièrement prisés pour les liaisons régionales et moyen-courriers. Au-delà des chiffres, cette décision témoigne d’une confiance renouvelée de Qatar Airways envers Airbus, qui pourrait se traduire par de futures commandes, notamment pour des A350 remotorisés ou des A321XLR. Impact boursier et perspectives financières Les marchés ont réagi modérément à ces annonces : Boeing (NYSE: BA) : légère hausse de 3,20 %, à 207,95 USD, portée par la méga-commande de long-courriers. Airbus (EPA: AIR) : en hausse de 1,45 %, à 139,60 EUR, tirée par la reprise des commandes et la stabilité du segment monocouloir. À court terme , Airbus profite clairement de la décision stratégique de Qatar Airways. À moyen terme , Boeing pourrait sortir renforcé grâce à sa spécialisation dans les gros-porteurs, alors que la demande mondiale pour les vols long-courriers reprend avec vigueur. Conclusion L’annulation de la commande des Boeing 737 MAX 10 par Qatar Airways illustre un réalignement stratégique logique pour la compagnie, qui mise sur l’homogénéité de sa flotte et la fiabilité de ses partenaires. Si Airbus sort gagnant sur le court terme, Boeing, malgré un revers, compense largement avec une commande colossale de long-courriers. Ce nouvel équilibre pourrait inaugurer une ère de coexistence tactique : Airbus pour les monocouloirs, Boeing pour les long-courriers — une division du marché qui, pour Qatar Airways, allie performance, cohérence opérationnelle et résilience financière. ETIENNE

Le 24 mai 2025, United Airlines a inauguré une liaison directe entre Washington D.C. et Dakar , marquant une étape importante dans le développement des liaisons transatlantiques entre les États-Unis et l’Afrique de l’Ouest. Cette nouvelle route, opérée trois fois par semaine en Boeing 767-300ER , vient bouleverser les équilibres établis sur cette desserte, notamment pour une compagnie européenne comme Brussels Airlines , historiquement active sur cette ligne via son hub de Bruxelles. Une concurrence directe pour Brussels Airlines Brussels Airlines, filiale du groupe Lufthansa et membre de Star Alliance (tout comme United Airlines), dessert Dakar depuis de nombreuses années. Elle s’est imposée comme un acteur majeur entre l’Europe et l’Afrique de l’Ouest, offrant aux passagers nord-américains un itinéraire via Bruxelles. L’arrivée d’un vol direct entre les États-Unis et Dakar remet en cause ce modèle en supprimant la nécessité de correspondance pour les voyageurs américains. Cette évolution pourrait entraîner une perte de parts de marché pour la compagnie belge, en particulier sur les segments premium et affaires, très sensibles au gain de temps. Les passagers à destination du Sénégal ou en correspondance pour la région pourraient désormais privilégier United pour sa simplicité et son confort. Une pression accrue sur les prix et les services Cette concurrence directe risque également d’entraîner une pression tarifaire . Brussels Airlines pourrait être contrainte d’ajuster ses prix à la baisse ou d’ajouter de la valeur à ses prestations : plus de flexibilité, programmes de fidélité renforcés, meilleure expérience à bord. De plus, la compagnie devra redoubler d’efforts pour fidéliser sa clientèle africaine et européenne, notamment en consolidant ses avantages compétitifs historiques : connaissance du marché africain, expérience du terrain, et densité du réseau régional. Une réponse stratégique en préparation Loin de rester passive, Brussels Airlines a déjà amorcé une riposte stratégique. Pour la saison été 2025, la compagnie annonce une augmentation de 10 % de sa capacité vers l’Afrique subsaharienne , soit 56 vols hebdomadaires et l’ajout d’un onzième appareil long-courrier à sa flotte. Elle compte ainsi renforcer sa position de leader européen vers l’Afrique de l’Ouest et centrale. Dans le cas spécifique de Dakar, Brussels Airlines pourrait également augmenter ses fréquences ou adapter ses horaires pour mieux capter le trafic régional en provenance de l’Afrique francophone, moins sensible aux effets de la concurrence transatlantique directe. Une opportunité de coopération dans Star Alliance Le fait que United Airlines et Brussels Airlines soient toutes deux membres de Star Alliance ouvre la voie à des partenariats stratégiques , notamment via des accords de partage de code ou de mutualisation des correspondances . Une telle approche pourrait permettre aux deux compagnies de maximiser la connectivité entre l’Amérique du Nord et l’Afrique sans s’affaiblir mutuellement. Conclusion L’entrée de United Airlines sur le marché sénégalais n’est pas seulement un défi pour Brussels Airlines : c’est aussi une opportunité. En misant sur son ancrage historique en Afrique, en renforçant sa flotte, et en explorant des coopérations intelligentes au sein de son alliance, Brussels Airlines peut non seulement résister à cette nouvelle donne, mais aussi renforcer sa stature en tant que passerelle privilégiée entre l’Europe et l’Afrique. Etienne

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Bruxelles – 2025. L’annulation du Salon des Vacances de Bruxelles, événement majeur du calendrier touristique belge, a bouleversé les stratégies de promotion des destinations étrangères. À défaut de salons grand public, les agences de voyages et tour-opérateurs ont misé sur une approche plus ciblée, en multipliant rencontres privées et événements exclusifs . Une mutation stratégique qui semble séduire un public en quête d’authenticité et de personnalisation. Un salon annulé, un marché en mouvement Prévu du 30 janvier au 2 février 2025, le Salon des Vacances de Bruxelles n’a pas eu lieu. Les organisateurs ont justifié cette décision par des changements structurels du marché, le retrait de grands exposants internationaux et un intérêt décroissant du public pour les formats traditionnels. « Nous avons constaté une baisse de rentabilité pour certains exposants et une attente du public pour des expériences plus immersives. Il était temps de repenser le modèle », a déclaré un porte-parole de l’organisation. Des agences réactives et créatives Face à ce vide, les agences de voyages n’ont pas tardé à réagir. Des noms comme Connections , TUI Belgium , Voyages Léonard ou encore des consortiums d'acteurs , qui ensemble,ont opté pour des rencontres clients sur invitation , organisées dans des lieux conviviaux : hôtels de charme, restaurants, clubs privés. Ces événements permettent de : Présenter des destinations phares via des experts ou des ambassadeurs locaux ; Offrir des ateliers thématiques (cuisine du monde, découvertes culturelles) ; Créer des liens plus étroits avec les clients les plus fidèles. Chiffre clé : Selon une enquête menée en avril 2025 , 68 % des agences belges déclarent avoir organisé au moins un événement privé ou en petit comité depuis janvier , contre 41 % en 2023. L’essor du numérique et des micro-événements À ces formats physiques s’ajoutent des initiatives digitales : webinaires sur des circuits en Amérique latine, live sessions avec des guides locaux, visites virtuelles de lodges africains, etc. Les technologies permettent aujourd’hui de faire voyager sans billet d’avion, et les agences l’ont bien compris. Le public cible ? Des voyageurs exigeants, connectés, sensibles à la personnalisation et à la valeur ajoutée humaine , loin de l’effervescence parfois impersonnelle des grands salons. Vers une nouvelle norme ? Ces formats plus intimes ne remplacent pas totalement les salons, mais ils répondent mieux à un besoin de différenciation . Les chiffres semblent  donner raison à cette tendance : selon une étude de l’Union Professionnelle des Agences de Voyages (UPAV), les taux de conversion lors des événements privés atteignent 18 à 25 %, contre 6 à 9 % sur les salons généralistes . Conclusion Loin d’être un simple repli, la disparition du Salon des Vacances 2025 pourrait bien avoir déclenché une réinvention du marketing touristique en Belgique . Entre exclusivité, interaction directe et montée en gamme, les événements privés s’installent durablement dans le paysage. Une tendance qui, plus que jamais, place le client au cœur de l’expérience. Etienne

Paris, France, 19 mai 2025 – MSC Cruises a signé aujourd’hui deux nouvelles commandes pour ses navires World Class, qui rencontrent un succès mondial. Cette commande passée auprès du constructeur naval français Chantiers de l’Atlantique portera le nombre total de navires World Class dans la flotte de MSC Cruises à six. Les deux nouveaux navires commandés – actuellement désignés sous les noms de World Class 5 et 6 – seront livrés respectivement en 2029 et 2030, témoignant de l’engagement continu de la société envers la France et la construction navale européenne.   Pierfrancesco Vago, Executive Chairman, MSC Cruises, explique, « La confirmation des commandes pour les deux nouveaux navires World Class marque une nouvelle étape dans notre remarquable parcours de construction navale en France et la poursuite de notre plan industriel à long terme. Cette étape souligne notre engagement à construire certains des navires les plus performants au monde, créant un héritage d’excellence et d’innovation en collaboration avec Chantiers de l’Atlantique – nos partenaires de longue date depuis plus de 20 ans. La plateforme World Class, qui connaît un grand succès, allie le meilleur de la technologie environnementale aux dernières avancées en matière d’expérience client. » Laurent Castaing, General Manager, Chantiers de l’Atlantique ajoute, « Nous remercions MSC Cruises pour leur confiance continue. C’est la synergie des expertises de nos deux entreprises qui a conduit à la création de cette série World Class à fort potentiel, répondant aux défis tant en matière d’expérience passagers que de performance environnementale. Les navires World Class V et VI marquent une étape importante dans l’histoire de l’industrie de la croisière, avec la meilleure efficacité énergétique. » Les nouveaux navires rejoindront le MSC World Europa et le MSC World America, ainsi que le MSC World Asia et le MSC World Atlantic, qui sont actuellement en construction et entreront en service respectivement en 2026 et 2027.   Les navires World Class sont déjà les navires les plus économes en énergie en service, surpassant largement l’Indice de Conception d’Efficacité Énergétique (EEDI) de l’Organisation Maritime Internationale (OMI). Les nouveaux navires continueront de maintenir les normes élevées d’efficacité énergétique établies par leurs navires jumeaux. Tous les navires World Class sont prêts à utiliser une variété de carburants alternatifs, y compris le GNL bio et synthétique. De plus, ils seront équipés d’une nouvelle configuration des moteurs à combustion interne double carburant de dernière génération, intégrant une technologie innovante visant à réduire davantage les émissions de méthane. MSC World America, MSC Cruises' Second World Class Ship (Credit Ivan Sarfatti) Les nouveaux navires seront équipés de connexions pour l’alimentation électrique à quai afin de réduire les émissions de carbone au port, des systèmes de traitement des eaux usées les plus avancés conçus conformément aux normes de l’OMI, de nouvelles avancées en gestion des déchets, ainsi qu’une gamme complète d’équipements à bord à haute efficacité énergétique pour optimiser l’utilisation des moteurs et les besoins énergétiques des installations hôtelières, afin de réduire encore davantage les émissions.​​Comme pour les autres navires World Class, les nouveaux navires marieront harmonieusement le design européen élégant emblématique de MSC Cruises avec le confort, offrant une expérience client inégalée centrée autour d’un concept de quartiers (« districts ») proposant des installations et des expériences adaptées aux besoins des différents types de voyageurs. Chaque nouveau navire construit par MSC Cruises apporte une nouveauté distinctive, et les World Class 5 et 6 ne feront pas exception.   Les deux nouvelles commandes seront soumises à l’obtention du financement, conformément aux pratiques du secteur.

Plus de 60 agents de voyage réunis pour célébrer la perle de l’océan Indien   Les 21 et 22 mai derniers, Silverjet, en partenariat avec Emirates et la Mauritius Tourism Promotion Authority (MTPA), a organisé deux soirées inoubliables autour de leur destination phare de l’océan Indien : l’île Maurice. Ces événements, qui se sont tenus dans les cadres prestigieux du Château Pironne à Sint-Niklaas et du Château de Ruisbroek à Sint-Pieters-Leeuw, ont réuni plus de 60 professionnels du voyage venus renforcer leur expertise sur cette destination prisée.   Les invités ont ensuite assisté à un workshop enrichissant suivi d’un dîner, propices aux échanges et au réseautage. L’objectif : faire découvrir ou redécouvrir les atouts de l’île Maurice ainsi que ses établissements hôteliers les plus prestigieux.   De nombreux partenaires hôteliers de renom, parmi les meilleurs de l’île Maurice, représentant une large palette de types d’hébergement – du luxe iconique aux expériences plus intimistes, en passant par les séjours familiaux et les resorts golfiques – ont répondu présent, notamment :     Constance Hotels, Resorts and Golf The St.Regis Le Morne Resort One & Only Le Saint Géran Rogers Hospitality (Héritage & Veranda Resorts) Shangri-La Le Touessrok Sunlife The Lux Collective   Chaque partenaire a brillamment illustré l’art de vivre mauricien et l’incroyable palette d’expériences que l’île a à offrir. Ces soirées, riches en découvertes et en partages, confirment l'engagement de Silverjet à proposer des formations de qualité et à maintenir un lien fort entre les agents de voyage et les principaux acteurs de la destination.      Le lien avec les photos :  https://we.tl/t-JYwKnHeWUJ

À l’approche des vacances d’été, des milliers de touristes européens ayant réservés un logement via Airbnb en Espagne pourraient voir leur séjour annulé. Le gouvernement espagnol a demandé à la plateforme de retirer près de 66 000 annonces jugées non conformes à la réglementation nationale. Les consommateurs concernés risquent de devoir trouver un logement alternatif à la dernière minute, parfois à un prix plus élevé. Le Centre Européen des Consommateurs France rappelle leurs droits.   Pourquoi des annonces Airbnb sont supprimées en Espagne ? La Direction générale de la consommation espagnole reproche à ces 65 935 annonces de ne pas respecter les exigences légales : absence de numéro de licence touristique, numéros erronés, ou manque d’information sur le statut juridique de l’hôte (professionnel ou particulier). Les régions concernées incluent notamment l’Andalousie, Madrid, la Catalogne, la région de Valence, les Baléares et le Pays basque.   Quels droits pour les consommateurs ? En cas de suppression de leur réservation, Airbnb indique rembourser les consommateurs ou pouvoir les aider à trouver un autre logement. Mais attention : il n’existe pas d’obligation légale. La plateforme n’est donc pas obligée de proposer un nouveau logement. Ni, par ailleurs, de couvrir la différence de prix si le seul logement disponible est plus cher. « Nous conseillons aux consommateurs de vérifier rapidement dans l’annonce si leur logement dispose d’un numéro de licence valide et si l’hôte est bien identifié. S’ils ne trouvent pas ces informations, il faut les demander à l’hôte. Et en cas de doute, contacter Airbnb » recommande Marie Tixier-Habar, juriste au Centre Européen des Consommateurs France.  «  Si Airbnb refuse de rembourser la réservation annulée, les consommateurs peuvent contacter gratuitement le CEC France  pour tenter un règlement amiable  » conclut la juriste Un règlement européen déjà mis en application en Espagne À partir du 20 mai 2026, tous les hôtes, professionnels comme particuliers, devront s’enregistrer et obtenir un numéro d’enregistrement pour louer leur logement ou une chambre individuelle sur une courte durée. Les plateformes en ligne seront tenues de vérifier l’exactitude des informations données et effectuer des contrôles aléatoires. Et en cas de défaut, elles devront suspendre les annonces aux risques de se voir sanctionner par les autorités nationales ( Règlement européen (2024/1028) ). Des mesures déjà mises en application en Espagne dans une loi du 2 janvier 2025. L’objectif est clair : lutter contre la crise du logement en Espagne. Retrouvez plus de conseils sur vos droits en Europe le site du Centre Européen des Consommateurs France :  www.europe-consommateurs.eu

Une 3 ème Edition du Comedy Club initié par les Partenaires mentionnés : Un indéniable succès avec plus de 150 participants. Avec un walking dinner avant le spectacle, idéal pour un networking très actif. Des comédiens qui ont enflammés la salle avec des humours décalés et différents selon les acteurs. Ces derniers ont été encerclés à la fin du spectacle par les invités pour des selfies bien sympathiques. Bref, un évènement annuel devenu un MUST dans notre industrie. Bravo aux organisateurs.  Etienne

En avril 2025, Brussels Airport a accueilli 2.122.695 passagers , enregistrant une hausse de 8,5 % par rapport au même mois de l’année précédente. Cette croissance s’explique principalement par le calendrier des vacances scolaires , notamment les vacances de Pâques dans les écoles néerlandophones et le début des vacances de mai aux Pays-Bas et dans les écoles francophones , qui ont stimulé le trafic vers la fin du mois. Cette augmentation est d’autant plus remarquable qu’elle intervient malgré la grève nationale du 29 avril , qui a perturbé les plans de voyage de nombreux passagers. Environ 12 % des passagers au départ étaient en correspondance , principalement sur des liaisons à destination et en provenance de l’Afrique et de l’Amérique du Nord . Cela souligne le rôle de plus en plus important de Brussels Airport en tant que hub international. Les 10 destinations les plus populaires en avril étaient, dans l’ordre : l’Espagne , l’Italie , la Turquie , l’Allemagne , le Maroc , le Portugal , la France , les États-Unis , la Suisse et le Royaume-Uni .

La tenue de l'IPW 2025, le principal salon professionnel du tourisme aux États-Unis, intervient dans un contexte difficile pour le tourisme international vers les États-Unis, marqué par un déclin significatif attribué en grande partie aux politiques et à la rhétorique de l'administration Trump. Impact négatif sur le tourisme international vers les États-Unis Depuis le début de l'année 2025, les arrivées internationales aux États-Unis ont chuté de 11,6 % en mars par rapport à l'année précédente, avec des baisses notables en provenance du Canada (-17 %), de l'Allemagne (-28 %), de l'Espagne (-25 %) et du Royaume-Uni (-18 %). Cette tendance est largement attribuée à plusieurs facteurs liés à l'administration Trump Politiques migratoires strictes : Des cas de détentions et de déportations de visiteurs étrangers ont été signalés, suscitant des inquiétudes parmi les voyageurs potentiels . Relations internationales tendues : Les tensions commerciales et diplomatiques avec des alliés traditionnels comme le Canada et l'Union européenne ont conduit à des appels au boycott des États-Unis. Perception négative : La rhétorique politique et les politiques de l'administration ont contribué à une image négative des États-Unis à l'étranger, dissuadant les touristes. Répercussions économiques Le déclin du tourisme international a des conséquences économiques notables : Perte de revenus : Le Conseil mondial du voyage et du tourisme (WTTC) prévoit une baisse de 7 % des dépenses des visiteurs étrangers aux États-Unis en 2025, soit une perte de 12,5 milliards de dollars. Impact sur les entreprises locales : Des destinations majeures comme New York et Las Vegas enregistrent des baisses de fréquentation, affectant les hôtels, restaurants et autres entreprises dépendantes du tourisme. IPW 2025 : une opportunité de redressement Malgré ce contexte, l'IPW 2025 représente une occasion stratégique pour relancer le tourisme international vers les États-Unis. L'événement, qui se tiendra à Chicago, rassemblera des professionnels du tourisme du monde entier et permettra de présenter les atouts des destinations américaines. Cependant, pour que l'IPW 2025 ait un impact positif durable, il sera essentiel que les autorités américaines prennent des mesures concrètes pour améliorer l'accueil des visiteurs étrangers, assouplir certaines politiques restrictives et restaurer la confiance des voyageurs internationaux. En résumé, bien que l'IPW 2025 offre une plateforme pour promouvoir le tourisme aux États-Unis, son succès dépendra largement de la capacité des États-Unis à adresser les préoccupations actuelles des voyageurs internationaux et à améliorer leur image sur la scène mondiale. Visit USA sera présente avec une délégation qui comprendra entre autres USA Travel, Penta USA..... et votre serviteur qui couvrira l'évènement . Etienne

Le 14 mai 2025, Qatar Airways a officialisé une commande géante de 210 avions gros-porteurs auprès de Boeing. Le deal inclut 130 Dreamliners 787 et 30 Boeing 777X, assorti d’options pour 50 appareils supplémentaires. Cette opération, estimée à 96 milliards de dollars, représente le plus gros contrat jamais signé par la compagnie qatarie. Pour Boeing, c'est une bouffée d'oxygène : cette commande colossale permettra de soutenir environ 400 000 emplois aux États-Unis et de renforcer la position de Boeing face à Airbus dans le Golfe. Le cadeau embarrassant : le Qatar offre un Boeing 747 de luxe à Donald Trump En parallèle, la famille royale qatarie a proposé d'offrir à Donald Trump un Boeing 747-8 VIP, d'une valeur de 400 millions de dollars. Ce "palais volant" serait temporairement utilisé comme Air Force One, avant d'être transféré à la future bibliothèque présidentielle Trump. Cette proposition soulève des interrogations juridiques : la clause des émoluments étrangers de la Constitution américaine interdit aux fonctionnaires fédéraux d'accepter des cadeaux de gouvernements étrangers sans l'aval du Congrès. Or, cette procédure n'a pas été respectée pour l'instant. Corruption ou diplomatie ? Le flou autour du "deal" Trump-Qatar-Boeing La coïncidence entre cette commande record et le cadeau d'un 747 à Trump alimente les soupçons. Des voix s'élèvent pour dénoncer un possible conflit d'intérêts ou une forme de renvoi d’ascenseur diplomatique. Bien qu'aucune preuve formelle de corruption n'ait été établie, l'affaire relance le débat sur les liens troubles entre business, politique et diplomatie d’influence. Boeing en profite... mais sous surveillance. Sur les marchés, Boeing a vu son action légèrement progresser après cette annonce. Mais les critiques sur la gestion des Air Force One en retard, et la proximité entre Boeing et l'administration Trump, maintiennent une pression médiatique et politique sur le constructeur aéronautique. A SUIVRE Etienne

MSC Cruises, leader du marché des croisières en Belgique, réagit à la publication des chiffres officiels de la CLIA (Cruise Lines International Association) pour 2024 : "2024 a été l’année la plus réussie de notre histoire, et la tendance à la hausse se poursuit en 2025." L’expérience de vacances maximale et les prix compétitifs sont les atouts majeurs qui poussent de plus en plus de voyageurs à opter pour cette formule de vacances. Quelques tendances importantes se dessinent : un public de plus en plus jeune, avec davantage de familles et de jeunes, ainsi qu'une demande croissante de confort et de luxe.   Bruxelles – 15 mai 2025 – « 2024 a été notre meilleure année à ce jour », a déclaré Frank Van den Steen, Country Manager Benelux chez MSC Cruises. « Des dizaines de milliers de Belges sont partis en voyage avec MSC Cruises en 2024, soit une augmentation de 13 % du nombre de passagers par rapport à notre précédente année record, 2023. »   Croissance mondiale soutenue   Les chiffres de la CLIA 2024, récemment officialisés, confirment la tendance. L’industrie mondiale des croisières est en plein essor. Après un recul temporaire durant la pandémie de COVID-19, les chiffres récents témoignent d’une nette reprise et d’une croissance continue. En 2023, 31,7 millions de passagers ont embarqué sur un navire de croisière à travers le monde, contre 29,7 millions en 2019. Cette hausse se poursuit en 2024 avec 34,6 millions de voyageurs, et devrait encore progresser pour atteindre 42 millions en 2028.   L’Europe profite également de ce succès, avec 8,4 millions de passagers en 2024, soit une légère augmentation par rapport aux 8,2 millions de 2023. En Belgique, le marché connaît une croissance remarquable : de 66 000 passagers en 2019 à 83 000 en 2023, et 93 000 en 2024.   Ces augmentations se reflètent également chez MSC Cruises, ce qui renforce encore sa position de leader en Belgique : plus de la moitié des Belges qui partent en croisière le font avec MSC Cruises.   Les croisières, un excellent rapport qualité-prix   Selon Van den Steen, de plus en plus de voyageurs découvrent le caractère unique des vacances en croisière. « Une croisière combine, en un seul forfait, la découverte de nouvelles destinations avec une expérience de vacances de qualité à bord. La gastronomie, le confort, le bien-être, les animations pour petits et grands ainsi qu’un divertissement de haut niveau jouent également un rôle important. Cette formule tout compris offre un rapport qualité-prix exceptionnel, ce qui en fait son principal atout. »   Rajeunissement et demande croissante de confort   « En 2024, nous observons une augmentation de 14 % du nombre de jeunes familles, ainsi qu'une baisse générale de l'âge moyen. Pour MSC Cruises, cet âge moyen est de 46 ans », remarque Frank Van den Steen. « Cela est logique, étant donné notre offre familiale à bord. En particulier, les nouveaux navires sont très prisés par les familles en raison de l'offre encore plus vaste d'installations pour les enfants et les jeunes. »   « Une autre tendance marquante dans nos réservations est un déplacement des cabines intérieures et des cabines avec vue sur mer vers les cabines avec balcon. 71 % de nos passagers choisissent le plaisir d’un balcon privé, où ils peuvent profiter en toute tranquillité de leur environnement, ce qui correspond également à la demande croissante d’expériences de voyage de plus en plus haut de gamme. »   « Les voyageurs belges sont, plus que d’autres nationalités, prêts à payer davantage pour des vacances qui vont au-delà du confort standard. Cela explique également le succès du MSC Yacht Club. Ce concept de ‘navire dans un navire’ est une zone exclusive du navire, une oasis de calme et de confort avec son propre restaurant exclusif, une terrasse ensoleillée et une piscine, et même un service de majordome exclusif 24h/24, tout en conservant l’accès à toutes les installations d’un grand navire. »   Méditerranée et Caraïbes, priorités majeures pour MSC Cruises   La destination principale reste la Méditerranée (ouest et est), pour 53 % de nos invités. 24 % choisissent l’Europe du Nord, principalement en raison de la popularité des fjords norvégiens. En saison hivernale, les Émirats, les îles Canaries et les Antilles sont particulièrement prisées. Mais ce sont les Caraïbes qui enregistrent la plus forte croissance, avec une augmentation impressionnante de 45 %. Une tendance qui se poursuivra fortement en 2025.   Cette tendance se traduit par des investissements : MSC Cruises étend sa présence dans les Caraïbes avec le tout nouveau navire amiral MSC World America et le terminal de croisière MSC récemment ouvert à Miami, le plus grand terminal de croisière au monde, avec une capacité de 36 000 passagers par jour.   Comportement de réservation : les conseils des professionnels restent importants   « Malgré l'ère numérique, les conseils professionnels restent importants. "La majorité de nos clients réservent via des agents de voyages de confiance et des agences spécialisées", déclare Van den Steen. "La grande majorité des clients réservent entre 6 et 12 mois avant leur départ, mais on constate également une augmentation du nombre de clients qui, en période de doute économique et politique, recherchent des réservations de dernière minute.»   Perspectives 2025 : "Plein cap vers l'avenir"   « Pour 2025, nous voyons que la tendance à la hausse se poursuit", souligne Frank Van den Steen. "Les chiffres parlent d’eux-mêmes, et nous prévoyons une nouvelle année record avec une croissance supplémentaire de 5 à 10 %, ce qui renforcera encore notre position de leader incontesté du marché en Belgique.»