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Un autre média à découvrir pour les félés de bonnes tables

Une fois n’est pas coutume, je vais faire la publicité d’une autre newsletter, française et néanmoins pleine d’humour, superbement écrite, et proposant des articles de fond vachement bien tournés. En voici un exemple, très raccourcis, mais n’hésitez à vous y abonner. Il s’agit de Bouillantes (contact au bas de cet article)

Le titre du jour était : 25 recommandations pour ouvrir le restaurant idéal en 2025. Voyez plutôt si vous adhérez à ces conseils, nous n’en avons choisi que quelques-uns.

-une carte courte…: plus la carte sera longue, plus elle questionnera sur l’artisanat de la production culinaire.

-Casser les codes de la carte des vins ? Le Dry January bat son plein, les études semblent montrer que la nouvelle génération consomme moins de vin, les alternatives sans alcool se diversifient, les accords mets et jus se développent doucement… N’est-il donc pas possible de casser un peu les codes en jouant plutôt sur la distance des vignes par rapport au restaurant, sur les géologies, en créant une carte des vins « de saison » en plus de la carte complète ? Repenser la carte des vins, c’est susciter un nouvel intérêt et donner envie de découvrir des vignerons qui ne demandant que ça.

- Un art de la table singulier : Désormais, l’assiette se fait sur mesure ou se chine, l’un n’étant pas forcément plus économe que l’autre. À chacun de choisir, tant qu’il y a un parti-pris. Et, aussi, une cohérence entre le contenant et le contenu.  

- La nappe, le retour en force

- Et le couteau ? Le restaurant sait se montrer ironique : depuis plusieurs années, le client n’a plus le choix de ce qu’il mange mais on lui fait choisir son couteau.

- Une cuisine ouverte. Le concept plait toujours : voir la brigade travailler, sentir l’énergie, apprécier le spectacle.

- Un vocabulaire individualisé. Le temps de la récitation apprise par cœur a vécu. Encore trop souvent, on entend le même discours répété à l’identique à toutes les tables. Quelle horreur ! (...) À éviter également la récurrence du qualificatif « petit » pour tout et n’importe quoi et, aussi, oublier le « bonne dégustation » un peu trop pompeux. Quant au « ça vous a plu ? » répété à chaque fin de plat, on n’en peut « plu » ; on n’en veut « plu ».

Voilà 7 réflexions sur les 25 que compte la newsletter : allez-y voir !


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